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Préparer les cœurs et les esprits au retour soudain de Yahushua!

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Le salut est un don individuel, pas un don collectif (Partie 1)

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Programme 121

Le salut est un don individuel, pas un don collectif

Partie 1

Eric Thomas : Bonjour, amis auditeurs ! Je suis Eric Thomas-

Jean Olivier : Et je suis Jean Olivier.

Eric : Et nous voulons vous souhaiter la bienvenue sur Radio World's Last Chance.

Aujourd'hui, nous allons parler d'un piège dans lequel beaucoup de chrétiens tombent. Je ne pense pas que ce soit quelque chose dont ils soient vraiment conscients, mais cela arrive. Très souvent.

Jean : Je ne pense pas non plus que la plupart des gens en soient conscients, mais… laisse-moi te poser une question d’abord.

Vous êtes-vous déjà disputé, toi et ta femme à cause d'un problème de communication ?

Eric : Eh bien, je ne suis pas sûr que cela soit allé jusqu’à ce qu’on appelle une dispute, mais, pour honnête, il y a pu y avoir des sentiments blessés, jusqu'à ce que nous comprenions ce qui s'était passé, et où précisémment la mauvaise communication s'était produite.

Jean : La mauvaise communication peut causer de très gros problèmes, pas seulement entre conjoints, mais aussi entre amis, entre collègues de travail, et même entre des pays. As-tu déjà entendu parler de la plus grande erreur de communication de la guerre froide ?

Eric : Tu veux dire quand Khrouchtchev a dit à l'Amérique que les Soviétiques survivraient aux États-Unis, et que les Américains ont paniqué parce qu'ils pensaient qu'il avait dit "Nous allons vous enterrer" ? Ce genre d’erreur de communication ?

Jean : Non, même si ce cas est mémorable, sans aucun doute. Je pense à une erreude communication encore pire.

Eric : Pire ?! Ça, j’ai envie de l'entendre. Raconte.

Jean : Eh bien, en 1977, le président américain Jimmy Carter a fait un voyage en Pologne. Je répète : en 1977. C'était au plus fort de la guerre froide. C'était la première fois qu'un président américain tenait une conférence de presse dans un pays communiste. Il allait répondre à des questions de vrais bons communistes, en chair et en os !

Eric : Ho ! Ça semble sérieux ! Alors, qu’est-ce qui s'est passé ?

Jean : Eh bien, le département d'État américain a engagé un traducteur du nom de Steven Seymour pour traduire les paroles du président.

Eric : Je suppose qu’ils ne pouvaient pas faire confiance aux communistes locaux pour traduire correctement le discours du président américains. Alors, que s'est-il passé ?

Jean : Eh bien, je pense au contraire qu'il aurait été mieux s'ils avaient en fait laissé le gouvernement polonais fournir un traducteur.

Quand le président Carter a fait référence au fait d'avoir quitté les États-Unis ce matin-là, Seymour a traduit le président comme ayant dit qu'il avait abandonné les États-Unis pour toujours.

Quand le président a dit qu'il était venu pour connaître les désirs des Polonais pour l'avenir, Seymour a traduit le président en disant qu'il désirait les Polonais… charnellement.

Eric : Oh, c'est mauvais !

Jean : Il y a pire encore ! Quand le président Carter a dit qu'il était heureux d'être en Pologne, ce que les Polonais ont entendu, c'est qu'il était heureux de "saisir les parties intimes de la Pologne".

Eric : C’est une blague ? !

Jean : Eh bien… ça a certainement fait du président Carter la cible de beaucoup de blagues.

Mais on peut voir, n'est-ce pas, comment une mauvaise communication – que ce soit par les mots ou les idées – peut créer de vrais problèmes, et souvent, les conséquences peuvent être bien plus graves que voir un leader politique embarrassé.

Eric : Oh, oui. Et quand il s'agit de réalités spirituelles, les conséquences peuvent être bien plus dévastatrices. Une idée fausse, à laquelle on s'accroche, peut conduire à la perte de la vie éternelle. C'est un problème vraiment sérieux.

Jean : C'est le piège dans lequel je vois trop de chrétiens tomber.

Eric : Qu’est-ce que tu veux dire ? Peux-tu être plus précis ?

Jean : Ce que je vois se produire encore et encore, ce sont des chrétiens qui abandonnent la responsabilité de leur propre salut à leur prêtre, leur pasteur ou tout autre leader spirituel.

Eric : De quelle manière ? Comment vois-tu cela se produire ?

Jean : Je le vois se produire de plusieurs façons.

As-tu déjà essayé de partager un nouveau concept, une nouvelle vérité spirituelle avec quelqu'un, peut-être une interprétation différente d’une prophétie, et cette personne l'a rejeté simplement parce que tu n'as pas, disons, un doctorat en théologie ? Ou que tu n’es pas un pasteur ?

Eric : Mmm, peut-être pas aussi flagrant que ça. Mais… j'ai des amis qui écoutent ce que j’ai à partager, et… la première chose qu'ils font ensuite, c'est d'en parler à leur pasteur pour avoir son avis. Et ce qui arrive ensuite, c'est qu'ils reviennent en me disant que leur pasteur dit que c'est faux.

Il est très clair qu'ils n'ont pas étudié le concept par eux-mêmes. Ils ne font en général que répéter mot pour mot les arguments utilisés par leur pasteur – et souvent, il est très clair que leur pasteur ne l'a pas étudié non plus, car il utilise des arguments qui auraient trouvé une réponse s’ils avaient pris la peine de regarder les preuves présentées !

Jean : J'ai rencontré cela, aussi. En fait, plusieurs fois, des gens que je connais sont allés jusqu'à dire que s'il y a quelque chose qu'ils ont besoin de savoir, leur pasteur le leur dira.

Eric : Quelqu'un m'a dit que s'il y avait un nouveau développement de la vérité, il pourrait le lire dans leur magazine confessionnel qui sort une fois par mois.

Jean : C'est tout simplement triste. Récemment, ma femme m'a fait part d'une conversation qu'elle avait eue avec une amie. Elle essayait de partager un beau concept qu'elle avait appris récemment, mais son amie ne voulait pas l'entendre. Elle lui a dit : "Tu devrais vraiment partager cela avec mon mari. Tu sais, il est avocat et les hommes sont tellement plus logiques sur ce genre de choses."

Eric : Est-ce qu’elle était en train de dire, pour simplifier, qu'elle n'était pas aussi intelligente que son mari ? Est-ce là son excuse pour ne pas penser, ou étudier, par elle-même ?

Jean : Eh bien, ce n'est pas différent du fait de laisser votre pasteur réfléchir à votre place. Que ce soit votre prêtre, votre pasteur, votre conjoint ou même vos parents, c'est toujours donner la responsabilité de votre propre salut à quelqu'un d'autre, et c'est quelque chose que nous ne devrions jamais faire.

Passons à Ézéchiel 14. Voyons ce que l'Écriture dit à ce sujet. Dans ce passage, Yahuwah met en garde Israël contre les conséquences d'une infidélité persistante, mais l'avertissement vaut aussi pour ceux qui sont trop prêts à laisser leurs pasteurs prendre la responsabilité de leur propre salut.

Commençons à lire au verset 12.

Eric : "La parole de Yahuwah me fut adressée, en ces mots : 13 Fils de l'homme, lorsqu'un pays pécherait contre moi en se livrant à l'infidélité, et que j'étendrais ma main sur lui,-si je brisais pour lui le bâton du pain, si je lui envoyais la famine, si j'en exterminais les hommes et les bêtes, 14 et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, Noé, Daniel et Job, ils sauveraient leur âme par leur justice, dit Adonaï, Yahuwah. "

Jean : Dans les Écritures, le " pain " est un symbole de la vérité. Quand les gens rejettent la vérité, il y a une "famine" de la vérité dans le pays. Maintenant, si vous faites confiance aux éditeurs de votre journal d'église pour vous tenir au courant du dernier développement de la vérité, que va-t-il se passer s'ils ne le publient pas, parce qu'ils l'ont eux-mêmes rejeté ?

Eric : Vous allez rester ignorant.

Jean : Ou vous allez rejeter quelque chose qui est en fait la vérité, pour la seule raison que vous ne l'avez pas lu dans le journal de votre église. Êtes-vous vraiment prêt à faire ce pari – que quelqu'un que vous ne connaissez pas, acceptera la vérité, et décidera d'en parler dans le journal de l'église ?

Eric : C'est un sacré pari – surtout si cette nouvelle vérité contredit l'énoncé des croyances de la dénomination qui embauche ce rédacteur et publie le magazine.

Jean : C'est vrai. Ok, continuons… les versets 15 et 16.

Eric : "Si je faisais parcourir le pays par des bêtes féroces qui le dépeupleraient, s'il devenait un désert où personne ne passerait à cause de ces bêtes, 16 et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, je suis vivant ! dit Adonaï Yahuwah, ils ne sauveraient ni fils ni filles, eux seuls seraient sauvés, et le pays deviendrait un désert. "

Jean : Dans la prophétie, les " bêtes " symbolisent des gouvernements. Des bêtes féroces – des bêtes qui déchirent et dévorent comme celles décrites ici – symbolisent les gouvernements qui sont des puissances persécutrices contre le peuple de Yah.

Maintenant, tournons-nous rapidement vers Romains 13 et lisons les deux premiers versets. Qu'est-il écrit ?

Eric : "Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Yahuwah, et les autorités qui existent ont été instituées de Yahuwah. 2 C'est pourquoi celui qui s'oppose à l'autorité résiste à l'ordre que Yah a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. "

Jean : Maintenant. La plupart des chrétiens sont – à juste titre – en colère contre l'oppression du gouvernement. Nous connaissons notre histoire. Nous avons lu les histoires de braves âmes qui ont été martyrisées pour avoir défendu la vérité lorsque la religion d'État l'a déclarait illégale.

Eric : Eh bien, cela se produit encore. Il y a des pays où les chrétiens, même aujourd'hui, sont opprimés ; où les convertis doivent se cacher ou leurs proches les tueront pour avoir abandonné la religion d'état.

Jean : Et cela va se reproduire dans les jours à venir. Pensez-y : nous savons que ce passage de Romains a déjà été utilisé par des gouvernements dans le passé pour contraindre la conscience de leurs citoyens.

Alors, pensez-y. Quand les gouvernements du monde imposeront la marque de la bête sous peine de mort, je pense qu'il est assez probable que les chefs religieux prêcheront à partir de ce passage. Ils ont toujours fait des compromis sur divers points de vérité. Pourquoi n'exhorteraient-ils pas leurs paroissiens à se conformer à la loi du pays, même si elle viole la loi divine ?

Eric : Il y a plus que cela. Quand on pense aux trompettes décrites dans Apocalypse 8 et 9… Si vous n'êtes pas familier avec cette prophétie, amis auditeurs, nous avons un certain nombre d'articles sur notre site Web à ce sujet. Vous pouvez également écouter un ancien épisode radio. Recherchez l'émission intitulée "Les Sept Trompettes de l’Apocalypse: Apprenez ce que l'avenir nous réserve!". Cela vous expliquera tout.

Quoi qu'il en soit, lors de l'une de ces Trompettes, nous savons que des démons vont créer l’illusion d’une invasion extraterrestre. Ça semble incroyable, je sais, mais c'est écrit en toutes lettres dans le livre de l’Apocalypse. Nous croyons que le pape sera chargé de représenter, soi-disant, les habitants de la terre dans des négociations de paix avec les soi-disant "extraterrestres".

Une fois dans cette position de pouvoir, le pape fera ce que les papes au pouvoir ont toujours fait : il influencera les gouvernements du monde entier pour qu'ils adoptent des lois favorisant le dimanche. Et si vos croyances personnelles ne seront pas en accord avec cela, vous n'aurez pas de chance.

Jean : En temps de danger, ou de chaos, la liberté religieuse est toujours sacrifiée pour le soi-disant "bien commun", ou "bien collectif".

Eric : Eh oui. Quand tout est dans le chaos, les gouvernements insistent sur la conformité de tous à leurs mesures, pas sur l'indépendance. Alors, quand votre famille, vos amis et vos voisins auront peur que les "extraterrestre" reviennent s'ils ne se conforment pas tous aux nouvelles lois, aurez-vous le courage de vous tenir sur la parole de Yah, et la parole de Yah seule, et le courage de refuser de vous conformer ?

Jean : C'est une question que nous devons tous nous poser. Et ce que Yahuwah nous dit à travers le prophète Ezéchiel, c'est que vous ne pouvez pas confier votre âme aux gouvernements, pas plus que vous ne pouvez la confier aux chefs religieux. Chacun doit se tenir seul devant Yahuwah et choisir d'accepter le salut pour lui-même. Vous ne pouvez pas accepter le salut pour quelqu'un d'autre. Et personne ne peut l'accepter pour vous.

Ok. Continuons. Versets 17 à 20, d'Ézéchiel 14.

Eric : " Ou si j'amenais l'épée contre ce pays, si je disais : Que l'épée parcoure le pays ! si j'en exterminais les hommes et les bêtes, 18 et qu'il y eût au milieu de lui ces trois hommes, je suis vivant ! dit Adonaï Yahuwah, ils ne sauveraient ni fils ni filles, mais eux seuls seraient sauvés. 19 Ou si j'envoyais la peste dans ce pays, si je répandais contre lui ma fureur par la mortalité, pour en exterminer les hommes et les bêtes, 20 et qu'il y eût au milieu de lui Noé, Daniel et Job, je suis vivant ! dit Adonaï Yahuwah, ils ne sauveraient ni fils ni filles, mais ils sauveraient leur âme par leur justice."

Jean : Remarquez que le point sur lequel Yahuwah ne cesse d’insister, c’est, si on le paraphrase : "Même si Noé, Daniel et Job – trois individus justes – étaient dans le pays, ils ne pourraient sauver personne d'autre qu'eux-mêmes. "

Chers parents, vous ne pouvez pas sauver vos enfants adultes. Vous pouvez les influencer à faire le bon choix par une éducation spirituelle dévouée, mais en fin de compte, ce sera leur propre choix. Il en va de même pour les pasteurs, les prêtres, les imams, les gourous, les rabbins… qu’importe. Personne ne peut choisir d'accepter le salut à la place de quelqu'un d'autre.

Eric : Qu'est-ce que cela signifie quand il est dit : "ils sauveraient leur âme par leur justice". Nous n'avons aucune propre justice.

Jean : Non, mais tous ceux qui l'acceptent peuvent avoir la justice de Christ créditée à leurs comptes. C'est ce que cela signifie. Noé, Daniel et Job étaient des hommes justes dans le sens où ils ont fait des choix pour Yah. Mais ils étaient encore des pécheurs. Leur "justice" était la justice de Christ, appliquée rétroactivement à leur vie.

Mais personne ne peut accepter la justice de Christ pour quelqu'un d'autre. C'est ce que Yahuwah veut dire ici. Je ne peux pas l'accepter pour toi. Tu ne peux pas l'accepter pour ta femme. Un prêtre ou un pasteur ne peut pas l'accepter pour les membres de son église.

Et pourtant, malheureusement, c'est l'erreur que commet la grande majorité des chrétiens quand ils cessent d'étudier, et de penser indépendamment, par eux-mêmes. Qaund ils font confiance à leurs chefs religieux, ou à leur journal d'église, pour leur dire la vérité, ils rendent en fait, leurs chefs d'église, les rédacteurs de leur journal d'église, responsables de leur salut. Et c'est un piège très sérieux dans lequel on peut tomber.

Eric : Ça l'est vraiment. Nous allons faire une courte pause, les amis, mais à notre retour, nous en reparlerons. Nous revenons dans un instant.

* * *

Annonce

Le grand espoir de tout Chrétien depuis près de 2000 ans est de vivre pour voir le Sauveur revenir dans les nuées de gloire. 1 Corinthiens 15 nous promet que les justes morts seront ressuscités, et que les vivants "seront changés en un instant, en un clin d'œil, à la dernière trompette".

Mais… et ensuite ? Que se passera-t-il ensuite ? Pour le savoir, recherchez "Le Royaume millénaire : Dans les cieux ? Ou sur la terre ? " sur WorldsLastChance.com. La Bible nous promet que "l'œil n'a pas vu, l'oreille n'a pas entendu, et il n'est pas monté au cœur de l'homme, ce que Yahuwah a préparé pour ceux qui l'aiment."

* * *

Partie 2

Jean : Le salut est un cadeau. Mais, c'est un cadeau que chacun d'entre nous doit choisir d'accepter pour lui-même. Je ne peux pas l'accepter pour ma femme ; vous ne pouvez pas l'accepter pour vos enfants ; votre pasteur ne peut pas l'accepter pour … qui que ce soit ! Seulement pour lui-même.

Eric : Cela semble si simple ; C’est si évident que c’est une erreur : une personne acceptant le salut pour quelqu'un d'autre…

Et pourtant, c'est exactement ce qui se passe quand une personne refuse d'accepter comme vérité tout ce que son chef religieux n'a pas lui-même accepté.

Jean : Je ne voudrais pas que quelqu'un ressorte de l'émission d'aujourd'hui en se disant : " Oh, Jean a dit que tous les chefs religieux sont des charlatans et des infidèles qui iront en enfer ".

Je ne crois pas cela. Je pense qu'il y en a qui sont très sincères. On ne se lance pas dans un ministère pour devenir riche. Beaucoup entrent dans le ministère avec un désir sincère de travailler pour Yah, de conduire des âmes à Lui. Ils se sentent "appelés" au ministère.

Eric : J'ai connu des hommes et des femmes très sincères qui ont consacré leur vie au ministère de Yah, et je pense que Yahuwah les a utilisés. Mais…

Jean : Mais… le problème est que les prêtres, les pasteurs, les rabbins, les imams, les enseignants de la Bible, et même les missionnaires… sont tous employés par des organisations religieuses qui, à un degré ou à un autre, ont rejeté certains points de la vérité.

Si votre capacité à nourrir votre famille, à chausser vos enfants… leur fournir des habits, une éducation… est liée à une organisation qui a un ensemble spécifique de croyances…

Eric : Et que vous êtes censé soutenir et enseigner ces croyances spécifiques…

Jean : Vous aurez un intérêt personnel direct à maintenir le statu quo. C'est probablement inconscient, mais si vous commencez à prêcher sur des points de doctrine que votre organisation rejette comme étant des erreurs, peu importe le nombre de preuves bibliques que vous avez pour vous soutenir, vous ne ferez pas long feu en tant qu'employé de cette dénomination.

Eric : Eh bien, regardons les choses en face : Le christianisme est une religion d'exclusion. Vous pouvez être d'accord sur 99 points de doctrine, mais si vous n'êtes pas d'accord sur un seul point, c'est une raison pour vous séparer et créer une nouvelle dénomination !

Jean : ça arrive constamment. C'est pourquoi vous ne devriez jamais faire de qui que soit votre gourou religieux personnel.

Eric : Gourou ?

Jean : Les gourous sont des chefs religieux personnels dans l'hindouisme. Ils fournissent des conseils spirituels. Et il n'y a rien de mal à apprendre de quelqu'un. L'équilibre, cependant, est d'étudier avec un esprit ouvert et de laisser l'esprit de Yah être votre instructeur. On peut écouter ce que quelqu'un a à dire, mais il faut ensuite le confronter à la parole de Yah. Comparez l'Écriture avec l'Écriture et décidez par vous-même.

Je suis inquiet pour eux, quand les croyants ne font pas cela. Je vois de nombreux chrétiens faire de leur pasteur ou de leur prêtre leur gourou de facto, dans les faits, même s’ils ne l’expriment pas ainsi, c’est ce qui se passe en réalité. Ils refusent de considérer les nouvelles lumières avec un esprit ouvert. Ils supposent que s'il y a quelque chose de plus à savoir, leur pasteur le leur dira.

Eric : Et si leur pasteur-gourou leur dit qu'une idée est fausse, ils la rejetteront sans même l'étudier par eux-mêmes.

Jean : C'est le danger de faire confiance à quelqu'un d'autre pour décider à votre place de ce qu'est la vérité. Jetons un coup d'œil à Apocalypse 3.

Dans Apocalypse 2 et 3, nous avons les messages aux sept églises. La plupart des églises sont louées, même si, dans le même temps, une faiblesse, ou un manquement de leur part, est souligné.

Ce n'est pas le cas du message adressé à l'église de Laodicée. Cette église est unique. Lisons-le ! Apocalypse 3, versets 14 à 17.

Eric : "Ecris à l'ange de l'Eglise de Laodicée : Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Yah : 15 Je connais tes oeuvres. Je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant ! 16 Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. 17 Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu"

Jean : Le péché des Laodicéens est l'orgueil spirituel. Ils sont des je-sais-tout ! Ils pensent qu'ils savent tout ce qui est nécessaire au salut.

Eric : J'ai rencontré beaucoup de gens comme ça. Et, pour être honnête, j'étais moi-même comme ça ! Et ça demande un effort concentré pour ne pas retomber dans cette mentalité.

Jean : Je te comprends. Le problème avec une telle attitude, c’est que cela rend à vos yeux tout ce que vous ne croyez pas actuellement, mauvais par défaut.

Donc, vous pouvez donc courir chez votre pasteur ou votre conseiller spirituel autant que vous voulez. Vous pouvez lui demander : "Est-ce que c’est vrai ?". Mais si son salaire dépend du fait de soutenir publiquement les croyances déclarées de l'organisation qui l'embauche, il y a de fortes chances qu'il n’aille même pas vraiment étudier cette nouvelle idée, ou doctrine, de manière équitable. Il la rejetera automatiquement parce que s'il ne le fait pas, il risque de perdre son emploi. Je ne pense pas que les gens tiennent compte de cela quand ils présentent de nouvelles idées à leur pasteur, et qu'ils acceptent comme vérité d'évangile ce que le pasteur dit.

C'est là le danger de faire confiance à quelqu'un d'autre pour décider à votre place de ce qu'est la vérité. Lisons la suite du message aux Laodicéens. Quel est le remède ? Lisons les versets 18 et 19.

Eric : "je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. 19 Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi."

Jean : Cet avertissement est donné parce que Yahuwah nous aime et veut sauver le plus grand nombre possible. Chacun d'entre nous doit se repentir d’avoir placé les autres dans la position de jouer le rôle de nos consciences. Nous avons besoin de savoir ce qu’est la vérité et ce qu’est l’erreur, mais nous devons obtenir cette connaissance directement de Yahuwah.

Eric : C’est le discernement spirituel si important, ce baume pour les yeux.

Jean : Exactement. Tournons-nous maintenant vers le chapitre 16 de Jean. Vous voyez, quand vous étudiez par vous-même, Yahuwah devient votre professeur personnel. Vous voulez un gourou ? Faites de Yahuwah votre gourou ! Vous n'avez pas besoin d'un gourou humain. Vous avez besoin de Yah.

Yahushua avait compris la façon dont nous devons apprendre plus de vérité.

Eric : J'aime ça : "apprendre plus de vérité". Il est si facile d'oublier que la vérité progresse toujours. C'est cette condition laodicéenne, qui nous bouche les yeux. Mais la vérité avance toujours, et si vous pensez tout savoir, c'est un signe certain d'être laodicéen : misérable, pauvre, aveugle, nu et ayant besoin de tout.

Jean : Jean 13 est le récit de Jean de la Sainte Cène. Jean 18 est le récit de la trahison et de l'arrestation de Yahushua à Gethsémané. Donc Jean 16 se situe entre le dernier repas, la sainte Cène, et le moment où il a été arrêté. Vous pouvez lire ces quelques chapitres, et vous remarquerez que c’est comme si Yahushua essayait de faire passer aux disciples toutes les informations qu'il pouvait avant qu'il ne soit trop tard.

Maintenant, lisons les versets 7 à 11 de Jean 16. Qu'est-il écrit ?

Eric : "Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m'en vais, je vous l'enverrai. 8 Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement : 9 en ce qui concerne le péché, parce qu'ils ne croient pas en moi; 10 la justice, parce que je vais au Père, et que vous ne me verrez plus; 11 le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé."

Jean : Le "Consolateur" est bien sûr l'esprit de Yah, ou l"esprit saint", comme la plupart des chrétiens l'entendent. Yahushua dit que le Consolateur viendra à eux après son départ.

Plus tôt, dans Jean 14, il a dit la même chose. Aux versets 16 à 18, il a dit : "Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, 17 l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. 18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous. "

Ok. Donc, dans Jean 16, le Sauveur parle encore de ce Consolateur. C’est un don extraordinaire, et il le savait. Maintenant, lisons les versets 12 et 13, de Jean 16.

Eric : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père; 13 et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. "

Jean : Ici, Christ dit qu'il a encore beaucoup de choses à leur enseigner, mais qu'ils ne sont pas prêts pour cela. Alors, il va demander au Père de leur envoyer l’Esprit saint pour être leur instructeur personnel.

Eric : C'est un don, un cadeau que je ne pense pas que la plupart d'entre nous apprécient pleinement. Nous sommes tous à des points différents dans notre voyages spirituel. Nous commençons tous à des points différents et nous avons tous un bagage individuel. Avoir un instructeur individualisé qui peut nous enseigner d'une manière que nous, individuellement, pouvons comprendre, est une vraie bénédiction.

Jean : Oui ! Que dit le Psaume 119, verset 105 ? "Ta parole est…"

Eric : "Une lampe à mes pieds et une lumière sur mon chemin."

Jean : Amein. C'est la parole de Yah qui doit éclairer notre chemin, pas un autre humain. Vous ne pouvez pas compter sur les autres pour vous dire ce que vous devez croire. Vous devez prendre vos responsabilités et étudier par vous-même.

Eric : Je pense que beaucoup de gens ont peur d'étudier pour eux-mêmes. Que se passera-t-il s'ils ne comprennent pas ? Et s'ils ne comprennent pas, ou ne peuvent comprendre, ce qu'ils lisent ?

Jean : Ces peurs viennent de satan. Et il implante beaucoup ces peurs, parce qu'elles fonctionnent ! Plus le chrétien est sincère, plus il sera soucieux de faire la volonté de Yah, de ne pas " déraper " dans sa compréhension.

Alors, le diable joue sur leurs peurs. Il leur dit que la Bible est difficile à comprendre, que seuls les érudits ayant des diplômes supérieurs sont capables de la comprendre, et que si vous n'avez pas de doctorat en théologie, vous feriez mieux d'écouter ceux qui en ont un.

Eric : Oui. Il est facile de se sentir en insécurité et d'avoir l'impression que vous devez les laisser interpréter la Bible pour vous.

Jean : Mais c'est l'un des mensonges les plus efficaces de satan ! Écoutez : La Bible a été écrite pour le commun des mortels. Par conséquent, une personne ordinaire a plus de chances de la comprendre dans le sens dans lequel elle a été écrite.

Eric : C'est vrai. Une chose que j'ai remarquée, et peut-être que vous aussi, c'est que les spécialistes de la Bible peuvent être en fait des infidèles. Ils peuvent être comme les pharisiens de l'époque de Christ, ergotant sur la signification de tel ou tel point au point de perdre le sens premier du passage.

Jean : C'est la responsabilité solennelle de tout croyant d'étudier pour soi-même. Ce n'est pas quelque chose que vous pouvez simplement rejeter sur quelqu'un d'autre.

Eric : Ok, maintenant qu'en est-il de quelqu'un qui vient juste de découvrir la vérité ? Nous diffusons dans le monde entier, et même dans les pays où notre signal n'est pas reçu, des gens écoutent nos émissions sur notre chaîne YouTube. Est-ce que c'est mal d'avoir des études bibliques avec quelqu'un et d'apprendre ce qu'il a à dire ?

Jean : Pas du tout. Mais faites vos propres études. Si vous n'avez pas votre propre Bible, il y a des sites en ligne où vous pouvez lire la Bible par vous-même.

Dans Actes 17, nous avons un excellent exemple de ce que chaque croyant doit faire. Paul et Silas avaient quitté Thessalonique pour se rendre à Bérée, où ils ont organisé des études bibliques. Ils ont partagé la vérité avec les Béréens.

Voudrais-tu lire les versets 10 et 11, de Actes 17 ? Qu'ont fait les Béréens après avoir entendu ce que Paul et Silas avaient à dire ?

Eric : "Aussitôt les frères firent partir de nuit Paul et Silas pour Bérée. Lorsqu'ils furent arrivés, ils entrèrent dans la synagogue des Juifs. 11 Ces Juifs avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique; ils reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Ecritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact. "

Jean : Les Béréens étaient " plus nobles " que les Thessaloniciens pour deux raisons :

Premièrement, ils écoutaient avec un esprit ouvert. Garder l'esprit ouvert signifie que vous êtes prêt à accepter la vérité si le Saint-Esprit vous convainc que c'est le cas. Vous n'êtes pas simplement assis là à trouver des raisons pour lesquelles cela doit être faux. Vous y réfléchissez avec un cœur prêt à accepter ce qui est dit, si le Saint-Esprit vous convainc que c'est vrai.

La deuxième raison pour laquelle les Béréens étaient plus nobles est qu'ils ne se sont pas contentés de croire les apôtres sur parole. Ils ont écouté avec un esprit ouvert… puis ils ont consulté les Écritures et les ont étudiées par eux-mêmes pour voir "si ces choses étaient vraies".

Eric : C'est toujours si important. Je voudrais juste dire à nos auditeurs : nous ne voulons pas que vous nous croyiez sur parole. Ne prenez pas la parole de Jean, ne prenez pas ma parole, pour argent comptant. Ne mettez pas WLC sur un piédestal, de sorte que vous acceptiez sans poser de questions tout ce que nous présentons.

Nous voulons que vous étudiez par vous-même. Bien sûr, écoutez ce que nous avons à dire. Mais ne l'acceptez pas simplement parce que nous l'avons dit. Retournez dans les Écritures et étudiez-les par vous-même. C'est vital. Ça l'est vraiment.

Jean : Le problème quand on accepte un enseignement simplement parce que quelqu'un qu'on respecte l'a dit, c'est que quand on fait ça, on n'est pas ancré dans la vérité par soi-même. C'est juste une conviction de surface.

Le danger, alors, c'est que quelqu'un d'autre peut arriver qui est encore plus éloquent, et peut vous convaincre d'abandonner vos anciennes croyances et d'embrasser quelque chose de nouveau. Voilà ce que signifie être ballotté par tous les vents de doctrine. Quand vous vous fiez à la parole de quelqu'un d'autre pour ce que vous "devriez" croire, vous n'êtes pas fondé sur des bases solides. Les croyances qui sont facilement adoptées peuvent être tout aussi facilement mises de côté.

Eric : C'est vrai. Quand vous allez vers Yah par vous-même, et que vous Lui demandez d'être votre professeur, Il se chargera de vous préparer, de vous enseigner ce que vous devez savoir. C'est ainsi que vous vous installez dans la vérité, sans pouvoir être secoué. Et même si cela se produit, et quand cela se produira, non seulement vous serez plus fort dans vos croyances, mais, puisque vous connaissez la vérité, vous serez à l'abri des illusions de satan de la fin des temps.

J'aime l'invitation de Yah dans Esaïe 1. Il nous dit : "Venez et plaidons ! dit Yahuwah." La King James dit : "Venez maintenant, et raisonnons ensemble." Il n'a pas peur de vos questions, les amis ! Toutes preuves dont vous avez besoin pour être convaincu de la vérité, Il est prêt à vous les fournir.

Jean : un dernier verset. Pourrais-tu lire 2 Timothée, chapitre 2, verset 15 pour nous ?

C'est le conseil de Paul au jeune Timothée.

Eric : Très bien, il est écrit : "Efforce-toi de te présenter devant Yah comme un homme éprouvé, un ouvrier qui n'a point à rougir, qui dispense droitement la parole de la vérité."

Jean : Paul ne lui dit pas de chercher le meilleur enseignant au monde, ou de s'asseoir aux pieds d'un quelconque pasteur. Paul a personnalisé cela : chacun d'entre nous doit étudier par lui-même, " en dispensant droitement (ou correctement, dans la King James) la parole de la vérité", et en faisant confiance à Yahuwah pour nous conduire dans toute la vérité.

Ne confiez votre salut à personne d'autre : ni à votre pasteur, ni à votre prêtre, ni à votre conjoint.

Le salut est un don, un cadeau, que vous devez accepter pour vous-même.

Eric : Amein. Restez à l'écoute, les amis ! Dans un instant, c’est notre Courrier des Auditeurs. A tout de suite.

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Radio World's Last Chance! Prépare un peuple pour le retour très proche du Sauveur!

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Courrier des Auditeurs

Eric : Notre question du Courrier des auditeurs aujourd'hui nous vient de Cho à Yangon, au Myanmar ! La question de Cho est la suivant : " Comment puis-je savoir si je suis assez bon pour être sauvé ? ".

Jean : Eh bien, c'est assez facile. La réponse est : vous ne l'êtes pas.

Eric : Eh bien… Merci pour cette réponse si encourageante !

Jean : Mais ne vous inquiétez pas. Vous n'êtes pas seul. Je ne suis pas non plus assez bon pour être sauvé. Et toi non plus, Eric. Aucun de nous ne l'est.

Il n'y a rien que l'on puisse faire pour être "assez bon". Être "assez bon" signifie que nous pourrions en quelque sorte gagner le salut, qui deviendrait alors quelque chose que nous mériterions. Et la seule chose que nous méritons est la punition pour le péché, qui est la mort éternelle.

Eric : Romains 6:23 : " Car le salaire du péché, c'est la mort, mais le don de Yah, c’est la vie éternelle par Yahushua Christ, notre Seigneur. "

Jean : Exact. Le salut est, maintenant, et sera, toujours, un don. Il n'y a rien que vous puissiez faire pour le gagner ou le mériter. Vous ne pouvez certainement pas être " assez bon ".

En fait, c'est exactement la question dont traite la lettre aux Romains. Une personne peut-elle devenir suffisamment bonne pour être sauvée en respectant la loi divine ?

Eric : Eh bien, non. Parce que même si vous commencez, dès aujourd’hui, à respecter parfaitement la loi, cela n'absoudra jamais vos péchés passés.

Jean : C'est vrai. Allons dans Romains. Romains 3, les versets 21 à 26.

Eric : Très bien… voyons voir. Il est écrit : "Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Dieu, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes, 22 justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a point de distinction. 23 Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Yah"

Jean : Combien ont péché ?

Eric : Tous.

Jean : Très bien. Continuons.

Eric : "Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu; 24 et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Yahushua-Christ. 25 C'est lui que Yah a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, 26 de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Yahushua"

Jean : Maintenant, passons à Romains 5 et lisons les versets 6 à 8.

Eric : "Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. 7 A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. 8 Mais Yahuwah prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. "

Jean : C'est un mensonge de satan que de croire que nous pouvons faire quoi que ce soit pour nous rendre dignes du salut. Maintenant, évidemment, ceux qui aiment Yah voudront faire Sa volonté.

Jean 14, verset 15 nous dit : " Si vous m'aimez, gardez mes commandements ".

Eric : Et il ne parle pas seulement de la Loi des 10 Commandements ici, n'est-ce pas ? Dans le chapitre suivant, dans cette même période de temps entre le dernier repas, la sainte Cène, et sa trahison à Gethsémané, Yahushua relie l'obéissance à l'amour. Dans Jean 15, versets 12 et 13, il nous dit : " C'est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. 13 Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. "

Jean : Quand nous commençons à nous concentrer sur ce que nous faisons, et tout autant sur ce que nous ne faisons pas (même si, secrètement, nous aimerions vraiment que les chrétiens puissent le faire), nous passons entièrement à côté de l'essentiel.

Une personne qui aime Yahuwah voudra vivre en accord avec Sa volonté. Mais quelle est la volonté de Yahuwah ?

Eric : "On t'a fait connaître, ô homme, ce qui est bien; Et ce que Yahuwah demande de toi, C'est que tu pratiques la justice, Que tu aimes la miséricorde, Et que tu marches humblement avec ton Elohim."

Jean : Michée 6:8. C'est exact. Et ce à quoi nous arrivons, c'est le travail du cœur. Nous ne pouvons pas nous purifier de nous-mêmes. C'est quelque chose que seul Yahuwah peut faire pour nous. Heureusement, c'est quelque chose qu'Il est prêt, et désireux, de faire pour nous.

Passons à Ézéchiel 36. Je sais que nous l’avons souvent cité ces derniers temps, mais c'est l'un de mes passages préférés de l'Écriture. Il résume le message de l'Évangile comme peu d'autres passages le font.

Ezekiel 36, versets 25 à 27.

Eric : "Je répandrai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés; je vous purifierai de toutes vos souillures et de toutes vos idoles. 26 Je vous donnerai un coeur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau; j'ôterai de votre corps le coeur de pierre, et je vous donnerai un coeur de chair. 27 Je mettrai mon esprit en vous, et je ferai en sorte que vous suiviez mes ordonnances, et que vous observiez et pratiquiez mes lois. "

Jean : Remarquez que Yahuwah est celui qui fait tout le travail. Il sait que nous ne pouvons pas le faire, mais c’est Lui qui le fera pour nous, si nous le Lui demandons.

Eric : Une chose que je retiens de la question de Cho, cependant, c'est un questionnement du cœur. Non, aucun de nous ne sera jamais "assez bon" pour être sauvé. Mais il est vrai que nous devons sonder nos cœurs. Y a-t-il un moyen de savoir, quelque chose à surveiller, pour savoir si nous sommes sur le bon chemin ou pas ?

Jean : Oui. Posez-vous la question : " À quoi est-ce que j'aime penser ? Sur quels sujets est-ce que j'aime m'attarder ?"

Votre esprit est-il consumé par les derniers rapports boursiers ? Les dernières sorties de films ou de jeux vidéos ? Vos pensées sont-elles accaparées par les équipes sportives ou les potins des célébrités ?

Ou alors, trouvez-vous de la joie dans les dévotions spirituelles ? Aimez-vous passer du temps dans la parole de Yah, à méditer sur Son caractère ? Ceci, plus que toute autre chose, révélera ce qui se trouve dans votre cœur.

Et s’il se trouve que vous vous concentrez actuellement sur les mauvaises choses, ce n'est pas grave. Allez simplement vers Lui et demandez-Lui de vous donner ce cœur nouveau qu'Il a promis de vous donner.

Eric : Nous ne pouvons pas nous préparer nous-mêmes, mais Lui le peut.

Jean : C'est vrai.

Eric : Eh bien, continuez à nous envoyer toutes les questions que vous pourriez avoir. Rendez-vous sur WorldsLastChance.com et cliquez sur " Contactez-nous ". Nous aimons toujours lire vos messages.

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

Il faisait froid, mais le lac était magnifique, cet après-midi où Denise Meyer, ses parents et ses deux enfants sont partis en bateau. La famille avait loué un chalet au bord de l'eau et espérait vivre des aventures amusantes pendant leurs vacances.

Le bateau n'était pas à plus de 50 mètres de la rive quand, tout à coup, il a commencé à se balancer violemment d'avant en arrière. Denise s’est retournée pour voir son père, gémissant de douleur, luttant pour étirer sa jambe souffrant d'une crampe.

Tout à coup, le bateau a trop basculé et s'est retourné, précipitant Denise, ses parents, sa fille de quatre ans et son fils de deux ans dans les eaux glacées.

Un instant plus tard, Denise a sorti la tête de l'eau, haletante. Elle a vu ses parents, mais où étaient les enfants ? Son père ne pouvait pas nager, ayant perdu un bras dans un accident de voiture des années auparavant. Denise et sa mère ont commencé à chercher frénétiquement les enfants. L'eau était glaciale et trouble. Le corps tremblant violemment à cause du froid, Denise restait sous l'eau aussi longtemps que possible, ne remontant à la surface que le temps de prendre une bouffée d'air avant de s'immerger à nouveau dans une recherche désespérée de ses enfants.

"Je t’en prie, Père !" a-t-elle prié. "Aide-nous ! Ne laisse pas mes enfants mourir !"

Finalement, sa main a touché quelque chose de mou. Elle ne pouvait dire de quel enfant il s'agissait, mais le gilet de sauvetage poussait vers le haut, gardant l'enfant coincé sous le bateau. Denise a essayé de tirer l'enfant vers elle, mais le corps ne bougeait pas. Elle n'avait plus d'air, alors elle est remontée à la surface, une fois de plus.

Sa mère a soudainement crié : "Je l'ai ! J'ai Emily ! J'ai son pied !"

Sa fille désormais en sécurité, Denise savait que l'enfant coincé sous le bateau était son fils de deux ans, Tim. Elle a plongé à nouveau. Elle a essayé à nouveau de le libérer, mais quelque chose le retenait sous le bateau. Cela devait faire au moins 1 minute 30 que le bateau avait chaviré. Denise savait que si son bébé était encore en vie, le temps lui était compté.

"Je t’en prie, Père ! Aide-moi à le sortir de là !" Elle était désespérée. Soudain, quelque chose a cédé, et son petit corps est remonté à la surface. Il s'étouffait et criait, mais il était vivant. Ils étaient tous en vie. Un miracle.

Denise a regardé vers le rivage. Elle a vu son beau-frère sauter dans un bateau attaché à la jetée. Il s'est éloigné si vite qu'il a emporté une partie de la jetée avec lui, mais ils sont bientôt tous revenus sur la rive. Denise a ramené ses enfants au chalet quand soudain quelqu'un a crié : "Appelez une ambulance ! Cette femme est en train de faire une crise cardiaque !"

Regardant en arrière, Denise a vu sa mère, étendue sur la jetée. Malgré l'urgence, Denise savait qu'elle assistait à un second miracle. Si la crise cardiaque s'était produite dans l'eau, sa mère – et peut-être même sa fille – aurait pu se noyer.

Quelques heures plus tard, à l'hôpital, alors que la famille se réunissait autour du lit d'hôpital, la discussion a porté sur l'incident survenu plus tôt sur le lac. La mère de Denise a tendu la main à sa petite-fille : "Oh, Emily ! J'ai eu tellement peur quand tu étais dans l'eau. J'ai regardé, et regardé encore, mais je ne te trouvais pas ! Alors j'ai tendu la main, je t'ai attrapée et je t'ai remontée à la surface !"

Emily était confuse : "Mais, Mamy", a-t-elle dit. "Tu as pas vu le Monsieur ?"

"Quel Monsieur ?"

"Le Monsieur sous l'eau", a expliqué Emily avec un air sérieux. "Il a attrapé mon pied et l'a mis dans ta main."

Sa grand-mère ne comprenait pas. "Il n'y avait personne d'autre dans l'eau avec nous, ma chérie."

"Si, il y avait quelqu'un !" a insisté Emily. "Il m'a trouvée, et t'a donné mon pied !"

Deutéronome 33, verset 12, déclare : "Le bien-aimé de Yahuwah. . . habitera en sécurité auprès de Lui. Yahuwah le couvrira toujours et résidera entre Ses épaules."

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

* * *

Partie 3

Eric : Alors, laisse-moi te demander, Jean : comment est née cette idée que les gens devraient faire confirmer par un chef religieux ce qu’est la vérité, et que si leur pasteur la dénonce, alors cela doit être faux ?

Jean : Eh bien … Je pense que ça commence assez innocemment. Les parents enseignent à leurs enfants que Jésus les aime ; à l'école paroissiale, ou à l'école du dimanche, les jeunes sont endoctrinés dans la même dénomination dont leurs parents sont membres. Donc, dès la petite enfance, on leur enseigne ce qu'il faut croire.

Maintenant, je ne dis pas que c’est entièrement une erreur. Les parents ont la responsabilité donnée par Yah d'élever leurs enfants dans la crainte du Seigneur, de leur enseigner ce qui est bien et ce qui est mal.

Ceci dit, je pense que les parents, les enseignants et les pasteurs devraient également enseigner que : 1. La vérité progresse toujours ; 2. que nous avons la responsabilité d'étudier la vérité par nous-mêmes.

Eric : Et je vais ajouter un troisième point : Que nous pouvons faire confiance à Yahuwah pour garder nos esprits en sécurité pendant que nous étudions la vérité par nous-mêmes.

Jean : Oui, c'est vrai.

N'adhérez pas aux mensonges de satan selon lesquels vous devriez être instruit par un autre humain ayant un diplôme avancé en théologie. Laissez Yahuwah être votre professeur.

Eric : Je peux vraiment voir comment cela s'applique à l'âge adulte. Il y a quelque chose comme 2,4 milliards de chrétiens dans le monde aujourd'hui. Chaque dimanche (ou samedi), la majorité d'entre eux s'assoient à l'église, se faisant endoctriner dans leur marque particulière de christianisme, faisant confiance à leur prêtre ou leur pasteur pour leur dire ce qu'ils doivent savoir pour être sauvés.

Jean : Et le problème est qu'ils abandonnent leur propre responsabilité spirituelle individuelle à leur pasteur. Comme nous l’avons dit, beaucoup de pasteurs et de prêtres aiment Yahuwah, mais inconsciemment, leur première loyauté, dans la pratique, ira à l'organisation dénominationnelle qui paie leurs salaires.

C'est pourquoi tant de pasteurs rejettent les nouvelles idées qui leurs sont présentées sans même en étudier les preuves par eux-mêmes. Le credo de l'organisation qui est basé sur la Bible, a la priorité sur la Bible elle-même. Donc, ils considèrent comme automatiquement faux tout ce qui contredit les doctrines de leur dénomination.

Eric : Ça ne fait que souligner le commandement de Yah dans Apocalypse 18, où Jean écrit : "Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait : Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux. 5 Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Yahuwah s'est souvenu de ses iniquités. "

Jean : C'est un ordre. Ce n'est pas une invitation à venir me rejoindre dans ma dénomination. C'est un édit impérial de quitter toutes les dénominations et les religions organisées. Aucune église n'est exemptée. Cet ordre est pour tout le monde.

Eric : Nous sommes trop proches de la fin pour jouer avec notre salut. C'est pourquoi le souhait de Paul pour les Ephésiens était qu'ils soient établis dans la vérité pour qu'ils ne puissent pas être secoués.

Laisse-moi regarder cela, très rapidement. C'est Ephésiens 4:14. Il est écrit : "afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction".

Remarquez que Paul associe "tout vent de doctrine" à une tromperie délibérée. Nous devons faire attention à cela. La seule chose à laquelle on peut se fier, c'est la parole de Yah, et ce que Son esprit fait pénétrer dans nos cœurs.

Jean : C'est vrai. Vous savez, nous recevons des nouvelles de gens dans le monde entier. Et ce que nous entendons, c'est que lorsqu’ils commencent à étudier la vérité par eux-mêmes, lorsqu'ils vont voir leurs pasteurs pour leur demander ce qu'ils doivent penser et que les pasteurs le rejettent, ce qui se passe souvent, c'est que les pasteurs ne peuvent pas prouver que c'est faux à partir des Écritures.

La preuve d’une nouvelle lumière se trouve juste là, dans l'Écriture ! Les pasteurs peuvent essayer autant qu'ils le veulent, mais ils ne peuvent pas prouver par la Bible que c'est faux. Alors, ce qui se passe, c'est que, souvent, ces gens continuent à étudier. Ils continuent à creuser. Et ce qu'ils découvrent, c'est que certains de ces concepts, comme le calendrier biblique, sont en fait connus des dirigeants de leur église depuis des générations, mais qu'ils ont travaillé dur pour les dissimuler.

Eric : C'est choquant, vraiment. Et ce à quoi on en revient, encore et encore, c'est : allez à Yahuwah par vous-même. Écoutez, quand quelqu'un a quelque chose à partager. Écoutez avec un esprit ouvert. Vous n'avez pas à avoir peur d'être trompé contre votre volonté. Yahuwah protégera votre esprit pendant que vous étudiez, mais vous avez besoin d'étudier.

Faites de Yahuwah votre gourou personnel. Il ne vous égarera jamais. Il vous donnera Son propre esprit pour vous conduire dans toute la vérité.

Eh bien, c'est tout ce que nous avons le temps de couvrir pour aujourd'hui, mais nous espérons que vous pourrez nous rejoindre demain, et d'ici là, rappelez-vous : Yahuwah vous aime… et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance, en toute sécurité, car : Il en est digne !

* * *

Fin

Vous avez écouté la radio WLC.

Ce programme, ainsi que les épisodes passés de Radio WLC, sont disponibles en téléchargement sur notre site web. Ils sont parfaits pour partager avec vos amis et pour étudier la Bible ! C'est aussi une ressource merveilleuse pour ceux qui adorent Yahuwah seuls ou à la maison. Si vous souhaitez écouter les programmes de Radio WLC, visitez notre site web à l'adresse WorldsLastChance.com.

Cliquez sur l'icône Radio WLC en haut à droite de la page d'accueil. Cela vous permettra de télécharger les épisodes dans votre langue préférée. Il y a également des articles et des vidéos disponibles dans plusieurs langues.

Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité sur WBCQ, à 9330 kilohertz sur la bande des 31 mètres.

La radio de la dernière chance du monde ! Préparer un peuple au retour prochain du Sauveur !

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