Programme 267
Bonnes nouvelles au sujet de la colère divine !
Même dans Sa colère, l'amour de Yahuwah est visible. Il n'est jamais arbitraire et il est toujours juste.
Partie 1
Eric Thomas : La colère. Le tempérament. Le courroux.
À quoi pensez-vous quand vous entendez ces mots ? Si vous avez subi des abus dans le passé, vous pensez peut-être à des violences physiques… à des cris… à des insultes. Peur-êtes que vous vous êtes sentis désespéré et impuissant.
Eh bien, je vais maintenant ajouter un adjectif et voir quelle est votre réaction : La colère divine. C'est un concept effrayant, n’est-ce pas ? De nombreux chrétiens ont grandi avec la coyance que la colère divine ne serait satisfaite que si les pécheurs sont punis dans un enfer brûlant éternellement. Peut-être avez-vous même une réaction viscérale à ces mots : « colère divine ».
Si c'est le cas, alors l’émission d'aujourd'hui est pour vous. Oui, la colère divine est effrayante. Mais elle n'est pas arbitraire. Elle est juste, et même : aimante.
Si c’est la première fois que vous nous écoutez, je suis Eric Thomas et vous êtes à l’écoute de Radio World's Last Chance, où nous traitons divers sujets liés aux Écritures, à la prophétie, la piété pratique, les croyances bibliques et comment vivre en étant constamment prêt pour le retour inattendu du Sauveur, quel qu'en soit le moment.
Aujourd'hui, avec Jean Olivier, nous allons partager au sujet de la bonne nouvelle de la colère divine. Maintenant, je sais que ça peut sembler être un oxymore, c’est-à-dire deux terme contradictoires mis ensemble : comment peut-il y avoir quelque chose de bon au sujet de la « colère divine » ? Eh bien, continuez à écouter et vous le découvrirez. Si vous êtes comme moi et que vous avez grandi dans la crainte de la colère de Yahuwah, je vous garantis que vous vous sentirez beaucoup mieux après avoir entendu ce programme.
Plus tard, dans notre Courrier des Auditeurs, nous répondrons à la question suivante : que faire quand quelqu'un vous fait du tort… et continue de vous faire du tort, sans cesse. Sans jamais se repentir. Que faire en tant que croyant dans de telles circonstances ? Puis, Elise Blanc a une promesse pour tous ceux qui ont expérimenté une perte dans leur vie. Je pense que ça concerne la plupart d'entre nous, si ce n’est tous. Si vous avez vécu une perte dans votre vie – peut-être même êtes-vous encore en deuil, quelle que soit cette perte – restez à l'écoute pour votre promesse quotidienne d'aujourd'hui.
Jean ? Quelle est cette bonne nouvelle concernant la colère divine ?
Jean Olivier : Eh bien, il y a en fait plusieurs bonnes nouvelles au sujet de la colère de Yahuwah. C'est un sujet important. Beaucoup de gens ont une vision erronée de la colère divine. Naturellement, ça a un impact sur leur marche spirituelle parce que : comment pouvez-vous vous sentir émotionnellement proche de quelqu'un qui vous terrifie ?
Eric : C'est un bon point. Je pense que c'est la raison pour laquelle, au sein de la chrétienté, on peut voir une véritable scission sur ce sujet. Pour s'éloigner de l'idée d'un enfer éternellement brûlant, certains chrétiens sont allés tellement loin dans la direction opposée qu'ils croient que, finalement, tout le monde sera sauvé.
Jean : Et c'est autant anti-biblique que l'idée d'un enfer brûlant éternellement. Les deux extrêmes sont faux.
Eric : Je crois que c'était dans les années… 1970. Un livre a été publié intitulé : « Je suis OK – Tu es OK ». Cette idée que nous sommes tous Ok, que nous sommes tous bien comme nous sommes, quoi que nous fassions, semble avoir influencé le point de vue de beaucoup de gens. Le péché a perdu son caractère de péché.
Jean : C'est vrai. Mais il y a encore beaucoup de gens qui craignent la colère divine. C’est comme s’ils essayent de diviser Yahuwah. Il y a le « Dieu de l'Ancien Testament » avec toute Sa colère, Son courroux, Ses tonnerres, les génocides… Et puis il y a le « Dieu du Nouveau Testament » qui est uniquement amour, lumière, pardon et acceptation. Mais en essayant de diviser Yahuwah en deux entités distinctes très différentes, ils perdent de vue la vérité. Et c'est la vérité qui nous donne l'assurance dont nous avons besoin pour ne pas avoir peur de Yahuwah malgré le fait que, oui, l'Écriture parle de Sa colère et que c'est une chose très réelle.
Eric : Alors, quelle est cette vérité ?
Jean : Eh bien, il y a cinq éléments dans la colère de Yahuwah, et aujourd'hui nous allons examiner ces éléments. Le premier est que la colère de Yahuwah est : juste. Et ça, c'est une bonne nouvelle !
Le deuxième est que la colère de Yahuwah, oui, est une chose : à craindre. Mais soyez patients avec moi. Nous allons revenir sur ce point et vous verrez que ce n'est pas une crainte qui vous éloigne de Yah. Si vous êtes terrifié par Lui au point de vous éloigner de Lui, ce n'est pas le bon type de crainte.
Eric : Ok.
Jean : Le troisième point dont nous allons discuter est que la colère de Yahuwah est en fait cohérente entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Vous ne pouvez pas séparer Yahuwah en un Dieu de l'Ancien Testament et un Dieu du Nouveau Testament. Il est le même, hier, aujourd'hui et pour toujours. Il ne change jamais.
Eric : Oui, il y a un verset qui le déclare. Donne-moi un instant pour le retrouver. C‘est dans Malachie…
Le voici. C'est Malachie, chapitre 3, verset 6. Il est dit : « Car je suis Yahuwah, je ne change pas; Et vous, enfants de Jacob, vous n'avez pas été consumés (ou : c'est pourquoi vous n'êtes pas consumés, ô fils de Jacob, dans une autre version) »
Jean : Et ça devrait nous rassurer tous. Le quatrième point, c est que : la colère de Yahuwah est en fait Son amour en action. Maintenant, je sais que ça semble contradictoire. Mais soyez patients. Vous allez voir ce que je veux dire quand nous y reviendrons.
Enfin, la colère de Yahuwah est satisfaite en Yahushua, dans le sacrifice de Christ pour nos péchés. Et ça, c'est une très bonne nouvelle.
Mais commençons par notre premier point : la colère de Yahuwah est juste. La colère divine est inséparablement liée à la justice divine.
Ça peut sembler effrayant quand on se sent coupable…
Eric : Oui ! Clairement ! Comme le dit Romains 3, verset 23 : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Yah »
Jean : Ok, mais pourquoi avons-nous péché ? Pourquoi nous continuons à être privé de la gloire de Yah ?
Eric : Parce que nous avons des natures déchues ?
Jean : Oui !
Eric : Je ne vois pas pourquoi tu sembles être enthousiaste à ce sujet. Ça ne fait que confirmer notre culpabilité.
Jean : À cause de la justice de Yahuwah.
Oui, nous sommes tous nés avec une nature déchue. Nous ne sommes pas tenus pour responsables de ce fait, parce que c'est indépendant de notre volonté. Nous n'avons pas demandé à hériter d'une nature déchue. Et Yahuwah en tient compte. Voilà pourquoi Romains 6:23 nous dit : « Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Yah, c'est la vie éternelle en Yahushua-Christ notre Seigneur. » Encore une fois, c'est le sens de la justice de Yahuwah qui nous donne de l'espoir.
La justice de Yahuwah fait partie intégrante de Sa colère, et Sa colère fait partie intégrante de Sa justice.
Eric : Ok. Mais je ne vois toujours pas pourquoi je ne devrais pas la craindre, parce que je suis un pécheur, par nature. J'ai une nature déchue et cette nature ne changera que lorsque Yahushua reviendra et me donnera une nature supérieure.
Jean : Et cela fait aussi partie de la justice de Yahuwah. Yah sait que nous ne pouvons pas en quelque sorte invoquer en nous-mêmes ce que nous n'avons jamais eu en nous-même. C'est pourquoi Il nous donnera des natures supérieures. C'est juste.
Passons à Ezéchiel 36 et lisons les versets 25 à 27.
Eric : « Je répandrai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés; je vous purifierai de toutes vos souillures et de toutes vos idoles. 26 Je vous donnerai un coeur nouveau, et je mettrai en vous un esprit nouveau; j'ôterai de votre corps le coeur de pierre, et je vous donnerai un coeur de chair. 27 Je mettrai mon esprit en vous, et je ferai en sorte que vous suiviez mes ordonnances, et que vous observiez et pratiquiez mes lois. »
Jean : Et qui fait ce travail de transformation ?
Eric : C’est Yahuwah qui le fait.
Jean : Parce que c'est juste. Encore une fois, ça fait partie de Sa justice. Il sait que nous ne sommes pas responsables d'être nés avec une nature déchue. La seule chose dont nous sommes responsables, c'est de choisir ou non d'accepter le salut qui nous est offert. Est-ce que nous choisissons de croire que le salut promis est vraiment pour nous, et est-ce que nous choisissons de vivre en conséquence ?
Si nous voulons vraiment comprendre la colère de Yahuwah, nous devons d'abord comprendre Son sens de la justice et ce que cela signifie… pour Lui. Nous avons l’habitude de nous concentrer sur l'impact de Sa justice sur nous, mais qu’est-ce que Sa justice signifie pour Lui ?
Passons à Jérémie 9 et lisons les versets 23 et 24.
Eric : « Ainsi parle Yahuwah : Que le sage ne se glorifie pas de sa sagesse, Que le fort ne se glorifie Pas de sa force, Que le riche ne se glorifie pas de sa richesse. 24 Mais que celui qui veut se glorifier se glorifie D'avoir de l'intelligence et de me connaître, De savoir que je suis Yahuwah, Qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre; Car c'est à cela que je prends plaisir, dit Yahuwah. »
Jean : C’est crucial pour comprendre la colère de Yah. Yahuwah exerce activement quoi sur la terre ?
Eric : La bonté, le droit et la justice.
Jean : Parce qu'il prend plaisir en cela. Yahuwah prend plaisir à exercer la justice. Il y trouve Ses délices, dans une autre version.
Et voici ce que les gens qui essaient de séparer Yahuwah en un Dieu de l'Ancien Testament et un Dieu du Nouveau Testament oublient. C’est que : il n'y a pas d'amour sans justice. L'absence de justice n'est ni juste, ni aimant.
Eric : C'est un bon point. Et voilà pourquoi je suis si reconnaissant de savoir ce que les Écritures enseignent vraiment sur le châtiment des méchants. Il ne s'agit pas d'un enfer éternellement brûlant.
Jean : Non. Ils seront condamnés à mort. Ils cesseront d'exister. Mais ils ne souffriront pas une vie éternelle dans les tourments.
Prenons le pire despote qu’on puisse imaginer : Pol Pot, Hitler. Staline… Les famines de terreur de Staline ont causé la mort de millions d'innocents.
Alors, disons que Staline brûle pour chaque personne qu'il est responsable d'avoir tuée. Et je ne dis pas que c'est ce qui va se passer – que les perdus brûlent proportionnellement à leurs crimes. Peut-être que oui, peut-être que non. Mais pour illustrer notre propos, disons que c'est le cas. Donc, Staline brûle pour les millions de personnes qu'il a tuées. Qu'est-ce qui serait juste ? Un an dans les flammes pour chaque âme qu'il a tuée ? Disons qu’Il arrive à la fin de cette sentence… que se passe-t-il, alors ? Il est totalement consumé ?
Eh bien, si vous croyez en un enfer éternellement brûlant, la réponse est : non. Il continuerait de brûler, encore et encore. Et c'est peut-être juste. Les Écritures nous disent que Yahuwah ressent tout ce que nous ressentons. Alors peut-être qu'il brûlera deux fois plus longtemps. Mais disons qu’il arrive finalement à la fin de cette double sentence. Que se passe-t-il alors ? Est-ce qu’il est finalement mort ?
Eric : Pas selon la doctrine d'un enfer éternellement brûlant.
Jean : Non ! Il continue de brûler, sans fin. À quel moment la justice devient-elle une injustice ?
Vous voyez, c'est le problème avec la doctrine d’un enfer éternellement brûlant. Ce n'est pas juste. Comment les péchés d'une seule vie mortelle peuvent-ils être punis pour l'éternité ? Ce n'est pas de la justice ! C'est du sadisme.
Eric : Eh bien, je pense que c'est la raison pour laquelle de nombreux chrétiens, au fil des siècles, ont tourné le dos aux Écritures et à la vérité. Notre sens humain déchu de la justice sait qu'une peine de tourment éternel pour un nombre limité de péchés est… tout simplement injuste. Ce n'est pas juste. Ils ont donc « jeté le bébé avec l'eau du bain », pour ainsi dire, en rejetant la vérité avec l'erreur.
Jean : L'erreur est tellement liée à la vérité qu'ils n’ont pas su comment les séparer.
Heureusement, nous servons un Dieu d'amour et de justice. Il tient compte de tout cela.
Et c'est ce qui nous donne confiance. Yahuwah se réjouit de la justice. Il est juste. Il lit dans le cœur. Proverbes 21 verset 2 nous dit : « Toutes les voies de l'homme sont droites à ses yeux; Mais celui qui pèse les coeurs, c'est Yahuwah. »
Passons à Proverbes 24 et lisons le verset 12. Nous avons ici un aperçu de l'équilibre de la justice divine.
Eric : « Si tu dis : Ah! nous ne savions pas!… Celui qui pèse les coeurs ne le voit-il pas? Celui qui veille sur ton âme ne le connaît-il pas? Et ne rendra-t-il pas à chacun selon ses oeuvres ? »
Jean : Encore une fois, l'absence de justice, ce n'est pas de l'amour. Ce n'est pas non plus juste. La colère de Yahuwah est toujours proportionnelle à nos actes, à notre connaissance et à notre choix personnel de faire ce que nous savons être mal.
J'insiste particulièrement sur ce point, parce que la principale raison pour laquelle les gens craignent la colère de Yah, c’est que nous ne connaissons généralement que la colère de l'homme. Nous comparons la colère divine à la colère humaine et ça nous effraie parce que la colère humaine est une réaction. Ce n'est en général pas une réponse juste et aimante à un péché impénitent. Mais la colère de Yahuwah l’est.
James Innell Packer était un théologien et écrivain canadien. Lisons une citation de son livre « Connaître Dieu », à la page 151.
Eric : Je cite : « Dans la Bible, la colère de Dieu n'est jamais cette chose capricieuse, complaisante, irritable et moralement ignoble que la colère humaine est si souvent. Elle est au contraire une réaction juste et nécessaire à un mal moral objectif. »
Jean : Encore une fois, n'assimilez pas la colère divine à la colère humaine. Les deux sont complètement différents. La colère de Yah est intrinsèquement liée à Sa justice, qui est elle-même inséparablement liée à Son amour. Ça devrait nous donner confiance.
Eric : C'est magnifique.
Ok. Nous allons faire une courte pause. A notre retour, nous allons examiner les autres points distinctifs de la colère de Yah. Restez à l'écoute.
* * *
Partie 2
Eric : Alors, quelle est la prochaine chose à nous rappeler au sujet de la colère de Yahuwah ?
Jean : Eh bien, cela pourra surprendre après que nous ayons rassuré tout le monde sur le fait que la colère de Yah est intrinsèquement liée à Son sens de la justice qui est lui-même lié à Son amour, mais il y a un autre point à considérer. C'est que : la colère de Yahuwah est quelque chose que nous devons craindre.
Eric : Oui, je ne m'attendais pas à ce que tu dises cela, après ce que nous venons de partager dans notre première partie.
Jean : Il est parfaitement approprié de craindre la colère de Yahuwah – et même d'avoir une certaine crainte révérencielle pour Yahuwah Lui-même, et de continuer à L'aimer. Quand vous comprenez Sa justice comme Son amour, vous pouvez faire les deux.
Nous craignons la colère de Yah parce que, comme nous l'avons cité précédemment, nous savons que nous avons péché et que nous sommes privé de Sa gloire. Mais notre amour nous donne la confiance que, quand nous acceptons le don du salut par la foi, nous pouvons être assurés que nous sommes sauvés.
Passons à Romains 5. J'aimerais que nous lisions les deux premiers versets de Romains 5. Ce passage explique pourquoi la crainte et l'amour peuvent tous deux résider dans le cœur du croyant.
Eric : « Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Yah par notre Seigneur Yahushua-Christ, 2 à qui nous devons d'avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l'espérance de la gloire de Yah. »
Jean : Yahushua lui-même a enseigné à ses disciples à avoir une crainte révérencieuse de Yahuwah. Passons à Luc 12 et lisons les versets 4 à 7. Voyons ce que Christ Lui-même a à dire au sujet de la crainte de Yahuwah.
Eric : « Je vous dis, à vous qui êtes mes amis : Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui, après cela, ne peuvent rien faire de plus. 5 Je vous montrerai qui vous devez craindre. Craignez celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter dans la géhenne; oui, je vous le dis, c'est lui que vous devez craindre. 6 Ne vend-on pas cinq passereaux pour deux sous ? Cependant, aucun d'eux n'est oublié devant Yahuwah. 7 Et même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc point : vous valez plus que beaucoup de passereaux. »
Jean : Ce que je veux que nous remarquions dans ce passage, c'est la raison pour laquelle nous devons craindre Yahuwah. Non pas parce qu'Il serait mauvais et capricieux. Absolument pas ! Même les cheveux de notre tête sont comptés. Yahuwah se soucie même des petits oiseaux qui sont vendus pour quelques pièces de monnaie. Nous devons avoir confiance en Son amour, tout en étant conscients de Sa puissance. Voilà pourquoi nous devons Le craindre : parce qu'Il est Tout-puissant.
Eric : Un peu comme la « crainte », entre guillemet, d'un enfant pour son parent. Pas dans un sens abusif, mais parce que papa ou maman a tout pouvoir dans la vie d'un enfant.
Jean : C'est ça. Ce genre de crainte conduit au respect et à l'envie d'obéir.
Jérémie avait une compréhension claire du pouvoir de Yahuwah. Qu’est-il dit au chapitre 32, verset 17 ?
Eric : « Ah ! Adonaï Yahuwah, Voici, tu as fait les cieux et la terre Par ta grande puissance et par ton bras étendu : Rien n'est étonnant de ta part (ou : rien n'est trop difficile pour toi, dans une autre version) »
Jean : Blaise Pascal, le célèbre mathématicien, physicien et inventeur, entre autres, du 17ème siècle a écrit, je cite : « Il faut réunir la justice et la puissance, afin que ce qui est juste soit puissant, et que ce qui est puissant soit juste. » Yahuwah est la réalité parfaite de cette idée : Il est Tout-puissant, c'est donc une bonne chose qu'Il soit aussi parfaitement juste.
Ok. Point suivant : la colère de Yahuwah est cohérente entre l'Ancien et le Nouveau Testament.
Je sais que beaucoup de chrétiens sont tentés de considérer Yahuwah comme une sorte d'entité, pardonnez-moi le terme, à « double face », entre guillemet, où il serait une sorte de maniaque colérique et génocidaire dans l’Ancien Testament, mais bon et aimant, une sorte de « Père Noël géant » dans le Ciel, dans le Nouveau Testament. Mais les chrétiens qui considèrent Yahuwah de cette façon passent à côté de passages essentiels qui montrent que le Dieu de l'Ancien Testament est assurément un Dieu d'amour, et que le Dieu du Nouveau Testament – qui est le même Dieu, évidemment – est, en plus de tout cet amour qui se sacrifie, aussi un Dieu de justice.
Eric : Donc, ce que tu dis, c'est qu'aucun des deux extrêmes n'est vrai.
Jean : C'est exact. Voyons quelques passages des Écritures pour avoir une vision plus équilibrée de la question.
Restons dans Jérémie et lisons les versets 23 et 24, du chapitre 30. Qu'est-il dit ?
Eric : « Voici, la tempête de Yahuwah, la fureur éclate, L'orage se précipite, Il fond sur la tête des méchants. 24 La colère ardente de Yahuwah ne se calmera pas, Jusqu'à ce qu'il ait accompli, exécuté les desseins de son coeur. Vous le comprendrez dans la suite des temps. »
Jean : Donc, clairement, il y a quelque chose de puissant, il y a quelque chose à craindre. Que nous dit Nahum, chapitre 1, verset 2 ?
Eric : « Yahuwah est un Dieu jaloux, il se venge; Yahuwah se venge, il est plein de fureur; Yahuwah se venge de ses adversaires, Il garde rancune à ses ennemis.»
Jean : C'est généralement ce à quoi nous pensons quand nous pensons au Dieu de l'Ancien Testament. Mais que dit le verset suivant ?
Eric : « Yahuwah est lent à la colère, il est grand par sa force; Il ne laisse pas impuni. Yahuwah marche dans la tempête, dans le tourbillon; Les nuées sont la poussière de ses pieds. »
Jean : Donc, oui. Yahuwah est effrayant parce qu'Il a un pouvoir illimité. Mais Il est aussi… bon. Il est lent à la colère.
Lisons Jérémie 31, versets 3 et 4.
Eric : « De loin Yahuwah se montre à moi: Je t'aime d'un amour éternel; C'est pourquoi je te conserve ma bonté. 4 Je te rétablirai encore, et tu seras rétablie, Vierge d'Israël ! Tu auras encore tes tambourins pour parure, Et tu sortiras au milieu des danses joyeuses. »
Jean : Voilà le Dieu de l'Ancien Testament ! Il veut que nous soyons remplis de joie ! Il a notre bien à cœur. Ça fait toujours partie de Ses plans. Pourquoi ? Parce qu'Il nous aime d'un amour éternel. Il attire donc nos cœurs à Lui avec une bonté inaltérable.
Passons maintenant au Nouveau Testament. Nous savons, bien sûr, qu'Il est amour. Nous avons confiance en Son amour et en Son pardon. Jean 3:16 nous dit que Yahuwah a tant aimé le monde qu'il a donné Son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. Nous le savons.
Mais ce que nous avons tendance à ignorer, c'est le fait que le Dieu du Nouveau Testament a tout autant de « colère » – un sens de la justice tout aussi aigu – que le Dieu de l'Ancien Testament. Que nous dit le verset 15 d'Apocalypse 19 ? C'est une description de Yahushua.
Eric : « De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout-puissant. »
Eh bien, pour être juste, nous parlons du livre de l'Apocalypse, dans lequel… il y est beaucoup question de la colère de Yah.
Jean : Très bien. Alors, lisons Romains 1:18 et 19. Nous y avons un aperçu des raisons de la colère de Yahuwah.
Eric : « La colère de Yahuwah se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, 19 car ce qu'on peut connaître de Yah est manifeste pour eux, Yah le leur ayant fait connaître. »
Jean : Encore une fois : c’est le Dieu du Nouveau Testament, ici. Mais nous pouvons voir Sa justice ici : Sa colère est liée au fait que les gens qui font le mal, sous toutes formes, que ce soit en action, en paroles ou en pensées, refusent de se repentir et oeuvrent activement à supprimer la vérité, en la cachant aux autres ! C'est là qu'on peut voir Son sens de la justice et du fair-play. Il ne peut pas y avoir d'amour sans justice. Et la colère divine est simplement la réaction juste de Yahuwah à l'injustice.
Ce qui nous amène à notre point suivant : la colère de Yahuwah, c’est : Son amour qui agit contre le péché.
Eric : Tu peux le répéter ?
Jean : Je sais que ça peut sembler un peu contre-intuitif, mais suivez bien ce que nous disons.
Quelle est l'essence même de Yahuwah ? En Son coeur, qu'est-ce qu'Il est ?
Eric : Eh bien… Il est amour !
Jean : C'est exact : 1 Jean 4:8 le déclare clairement : Yahuwah est amour. Toutes Ses actions découlent de Son amour.
Qu'est-ce que Romains 11 ajoute à ce tableau ? Romains 11, versets 33 à 36.
Eric : « O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Yahuwah ! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! Car 34 Qui a connu la pensée d’Adonaï, Ou qui a été son conseiller ? 35 Qui lui a donné le premier, pour qu'il ait à recevoir en retour ? 36 C'est de lui, par lui, et pour lui que sont toutes choses. A lui la gloire dans tous les siècles ! Amen ! »
Jean : La « gloire » de Yahuwah, c’est Son caractère. Et Son caractère – Ses pensées et ses sentiments – sont l'amour. C'est le fondement même de Son être, donc toutes Ses actions doivent être comprises sous cette lumière.
Quand nous lisons dans l'Ancien Testament que Yahuwah est un Dieu jaloux, nous voyons généralement cette déclaration selon notre compréhension humaine déchue de ce qu’est la jalousie. Mais Yahuwah est jaloux de Sa gloire. Ce qui veut dire qu’Il sait que notre meilleure chance d'être sauvés est de Le connaître Lui, et de Lui faire confiance. Par conséquent, Il est possessif, et zélé pour garder Sa réputation.
Nous pensons à la jalousie, et nous la définissons, comme étant de la suspicion ou de l'envie. Mais le mot « jalousie » inclus aussi le sens de « zélé » et de « possessif ».
Eric : Je vois. Il est zélé pour protéger Sa réputation contre les mensonges de satan, parce qu'Il sait que ces mensonges font que les humains ont peur de Lui et qu'ils s'éloignent de Lui.
Jean : C'est ce qui se passe. Maintenant, comme nous l'avons vu, et expérimenté par nous-mêmes, personnellement, les mensonges de satan ont amené des multitudes de croyants à avoir peur de Yah comme un être perpétuellement en colère, un être méfiant et vengeur. La vérité est que : les actions de Yah, toujours motivées par l'amour, sont pour nos meilleurs intérêts.
Il n'est dans l'intérêt de personne que le péché croisse, se répande et se propage. Voilà pourquoi le péché doit être puni et, en fin de compte, connaître une fin éternelle.
Mais Yahuwah n'est pas malveillant ; Il n'est pas vengeur arbitraire. Il est juste. Toujours. Et cette justice fait partie de Son amour pour tous.
Allons dans la lettre aux Éphésiens, au chapitre 5. Il y a un passage qui parle de la colère de Yah. Ce qui est intéressant, c’est est mentionnée dans le contexte de Son amour.
Eric : Quels versets ?
Jean : Les versets 1 à 7.
Eric : « Devenez donc les imitateurs de Yahuwah, comme des enfants bien-aimés; 2 et marchez dans la charité, à l'exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s'est livré lui-même à Yah pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur. 3 Que l'impudicité, qu'aucune espèce d'impureté, et que la cupidité, ne soient pas même nommées parmi vous, ainsi qu'il convient à des saints. 4 Qu'on n'entende ni paroles déshonnêtes, ni propos insensés, ni plaisanteries, choses qui sont contraires à la bienséance; qu'on entende plutôt des actions de grâces. 5 Car, sachez-le bien, aucun impudique, ou impur, ou cupide, c'est-à-dire, idolâtre, n'a d'héritage dans le royaume de Christ et de Yahuwah. 6 Que personne ne vous séduise par de vains discours; car c'est à cause de ces choses que la colère de Yahuwah vient sur les fils de la rébellion. 7 N'ayez donc aucune part avec eux. »
Jean : Nous devons nous rappeler que les enfants reçoivent une compréhension de Yahuwah colorée par leurs interactions avec leurs propres parents. Si nos parents étaient arbitraires, s'ils se mettaient facilement en colère contre nous, s'ils avaient des changements imprévisibles d’humeur et qu’on ne pouvait jamais savoir à quoi s’attendre avec eux, c'est de cette façon que nous verrons notre Créateur. Mais Il n'est pas comme ça. Sa colère est toujours et uniquement l'action de Son amour contre le péché.
Et est-ce que nous voudrions vraiment qu'il en soit autrement ? L'absence de punition, ce n'est pas de l'amour ! Et ce n'est certainement pas de la justice.
Eric : Oui, je pense au harcèlement scolaire, par exemple. Dans certaines écoles, c'est un vrai problème. L'enfant peut en parler à l'enseignant, les parents peuvent se plaindre à l’administration, mais parfois l'école ne fait rien : « Oh, nous ne l'avons pas directement vu, donc c'est la parole d'un enfant contre celle d'un autre ».
Jean : Ce qui est un problème, parce que ceux qui exercent une forme de harcèlement sur les autres font toujours bien attention à ne pas se faire prendre.
Eric : C'est vrai. Alors, parfois, le jeune qui a été harcelé finit par craquer et se défendre ouvertement, voir physiquement, et… qui est renvoyé ?
Jean : L'enfant qui a été harcelé. Je connais personnellement un exemple. Et ce n'est pas la justice. La colère de Yahuwah est quelque chose dont nous pouvons être reconnaissants. Oui, comme nous le dit Hébreux 10:31, c'est bien une : « chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. » Mais quand nous acceptons le salut, nous sommes couverts par le sang de Yahushua de la colère de Yah.
Et voici notre dernier point. La colère de Yahuwah – Sa punition pour nos mauvaises actions – a été satisfaite dans le sacrifice du Sauveur.
Il ne s'agissait pas d'un acte accompli pour « apaiser » la colère de Yah. En fait, l'Ancien Testament déclare à plusieurs reprises que Yahuwah est notre Sauveur !
Lisons Ésaïe 43, le versets 3 et le verset 11.
Eric : « Car Je suis Yahuwah, Ton Elohim, le Saint d'Israël, Ton sauveur. . . C'est Moi, Moi qui suis Yahuwah, Et hors Moi il n'y a point de sauveur. »
Jean : Cela a toujours été le désir du cœur de notre Dieu de sauver les perdus. Voilà pourquoi Jean 3:16 – « Car [Yah] a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » – est immédiatement suivi par le verset 17 qui déclare : « Yah, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. » C'est une bonne nouvelle ! C'est une nouvelle merveilleuse !
Cela déclare que Yahuwah ne veut pas nous punir. Il veut nous sauver. Sa colère a été déversée sur Yahushua pour qu'Il puisse pardonner nos péchés.
J'aimerais terminer avec Romains 3, versets 21 à 26. Lisons ce passage.
Eric : « Mais maintenant, sans la loi est manifestée la justice de Yah, à laquelle rendent témoignage la loi et les prophètes, 22 justice de Yah par la foi en Yahushua-Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a point de distinction. 23 Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Yah; 24 et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Yahushua-Christ. 25 C'est lui que Yahuwah a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, 26 de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Yahushua. »
Jean : Voilà pourquoi les croyants peuvent avoir confiance. Nous sommes acceptés dans le Bien-aimé.
Eric : À suivre, dans notre Courrier des Auditeurs : Comment pardonner à quelqu'un qui ne se repent jamais ?
* * *
Vous écoutez Radio World's Last Chance.
Radio WLC : Enseigne les esprits et prépare les cœurs au retour soudain de Christ.
* * *
Courrier des Auditeurs
Eric : La question d'aujourd'hui vient de… eh bien, de Tarsis !
Jean : Pardon ?
Eric : De Durham, en Angleterre ! Tu sais, je crois qu'on devrait commencer à appeler l'Angleterre « Tarsis », comme nous l’avons vu dans une émission précédente. C'est un nom plutôt cool.
Jean : Je ne sais pas si tout le monde comprendrais !
Eric : Savais-tu que le château de Durham, construit au 11e siècle, et utilisé sans interruption pendant plus de 900 ans, est le seul château de toute l'Angleterre à n'avoir jamais été attaqué avec succès ?
Jean : Non, je ne savais pas. Comment est-ce que tu emmagasines ce genre de détails ?
Eric : Ah… un cerveau qui s'accroche aux faits divers et ne les lâche jamais. Si seulement mon portefeuille pouvait s'accrocher aux euros et ne jamais les lâcher… !
Jean : Ha, ha. Alors, quelle est notre question pour aujourd’hui ?
Eric : Eh bien, c’est une question au sujet de l’abus, de la colère, et du sens de la justice. Je pense qu'elle est très intéressante à la lumière de la discussion d'aujourd'hui sur la colère de Yah. Julia nous écrit : « Mon père a toujours été plutôt violent, verbalement et émotionnellement. Je sais que Christ est mort pour tout le monde, mais ça me dérange de penser que mon père biologique n’aura jamais à répondre du mal qu'il a fait. Il semble pouvoir valser dans la vie, en abîmant la vie des autres sans jamais être tenu pour responsable du mal qu'il cause. Est-ce juste ? Mes sentiments sont vraiment contradictoires à ce sujet. Je sais que je suis censée lui pardonner son attitude envers moi, mais j'ai l'impression que si je le fais, ça voudrait dire que tout ce qu'il m’a fait subir est normal, alors que ce n'est pas le cas. Pouvez-vous m'éclairer à ce sujet ? Ça me ronge de l'intérieur et je ne veux pas continuer à porter ce fardeau. Comment puis-je lui pardonner, alors qu'il continue à faire et à dire les mêmes choses nuisibles et qu'il n'a jamais cessé ? »
Jean : Je veux juste vous dire, Julia, à quel point je suis désolé pour la douleur que vous avez traversée. Ce n'est jamais la volonté de Yahuwah que quelqu'un souffre de cette façon.
Je crois que nous avons affaire ici à plusieurs problèmes, interconnectés, et c'est ce qui cause à Julia une telle difficulté. Tout d'abord, il y a le désir tout à fait naturel de justice. Son commentaire sur le fait que son père semble valser dans la vie sans avoir à répondre de la façon dont il abîme la vie des autres le montre bien.
Deuxièmement, Julia a un besoin très sain que son père se repente. Nous ne voulons pas pardonner à un offenseur si c'est pour qu'il se retourne et recommence sans arrêt ses offenses.
Troisièmement, il y a la différence entre « vengeance » et « rétribution ».
Eric : Peut-être pourrait-on clarifier la différence entre la vengeance et la rétribution ?
Jean : Très bien, voyons cela dans le dictionnaire. Regardons les définitions de ces deux mots. Lisons d'abord la définition de la vengeance.
Eric : Vengeance… vengeance. Il est dit, je cite : « Infliger une douleur, ou une blessure, en retour d'une blessure reçue. »
Hm. Pour moi, ça ressemble tout simplement à une punition.
Jean : Continuons à lire.
Eric : « Selon l'usage moderne, infliger une douleur délibérément et malicieusement, contrairement aux lois de la justice et de l'humanité, en retour d'une blessure, d'une douleur ou d'un mal reçu ; exercer une vengeance malveillante sur quelqu'un qui blesse ou offense ». Fin de citation.
Jean : Julia a été blessée, elle a été gravement lésée par la personne qui était censée, et qui est encore censée, l'aimer et la protéger le plus : son père. Et d'après ce qu'elle nous écrit, il ne semble pas avoir changé, à ce jour. Il continue à causer du tort aux gens qui l'entourent.
Julia ressent un désir très naturel de justice. Je tiens à souligner qu'il n'y a rien de mal à ressentir un désir de justice. Reprenons le chapitre 9 de Jérémie, et lisons les versets 23 et 24. J'aime ce passage parce qu'il nous donne un aperçu de la pensée de Yahuwah. Jérémie 9:23 à 24.
Eric : « Ainsi parle Yahuwah : Que le sage ne se glorifie pas de sa sagesse, Que le fort ne se glorifie Pas de sa force, Que le riche ne se glorifie pas de sa richesse. 24 Mais que celui qui veut se glorifier se glorifie D'avoir de l'intelligence et de me connaître, De savoir que je suis Yahuwah, Qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre; Car c'est à cela que je prends plaisir, dit Yahuwah. »
Jean : Encore une fois, Yahuwah exerce quoi ?
Eric : La bonté, le droit et la justice.
Jean : Et en quoi Il prend plaisir ?
Eric : La bonté, le droit et la justice.
Jean : Yahuwah y prend plaisir, Il en fait Ses délices, dans une autre version, Il prend grand plaisir et satisfaction dans la justice. Donc, il n'y a rien de mal à vouloir la justice. L'injustice est l'un des attributs du diable.
Eric : Je suis heureux que tu dises cela. Parfois, en tant que chrétiens, nous pouvons avoir cette idée confuse que, puisque que nous sommes censés tendre l'autre joue, nous sommes censés continuer à supporter les abus.
Je le vois dans les relations abusives. Et les abus peuvent aller dans les deux sens. Nous avons tendance à penser que certains hommes maltraitent les femmes, mais certaines femmes peuvent aussi maltraiter des hommes. Ça va dans les deux sens. Et pour ceux qui sont assis à côté, en regardant en toute sécurité, depuis l’extérieur de la situation, il est facile de dire à la personne maltraitée qu'elle n'a qu'à prier davantage, pardonner davantage et rester dans la situation. De tendre juste l'autre joue en espérant que l'agresseur se convertira.
Jean : Il est vrai – et triste – que souvent, dans une relation conjugale, nous attendons de la personne victime d’abus qu'elle supporte un comportement que nous ne tolérerions pas nous-mêmes dans une autre relation. Si nous ne supporterions pas que quelqu'un nous trompe, ou nous mente, si nous ne supporterions pas que quelqu'un s'emporte contre nous et nous frappe, nous ne devrions pas attendre de quelqu'un d'autre qu'il ou elle supporte ce que nous ne supporterions pas nous-mêmes.
Mais Jérémie nous dit que Yahuwah prend plaisir, qu’Il trouve Ses délices – qu’Il prend plaisir et trouve satisfaction – dans la justice, dans la bonté et dans le droit.
Eric : D'accord, mais attends une seconde. Oui, Yahuwah se réjouit de la justice. Mais il nous est aussi dit de tendre l'autre joue. Comment concilier cela ? Est-ce que quelqu'un qui est dans une relation abusive est censé continuer à supporter cette situation ? Je parle de toute sorte de relation abusive. En tant que chrétien, quelle doit être notre réponse ? Parce que, en ce qui concerne mon expérience personnelle, il y a beaucoup de frustration quand une personne vous fait du tort… et continue de vous faire du tort, constamment, et sans arrêt.
Quand Pierre a demandé s'il devait pardonner sept fois à son frère, Yahushua lui a dit de pardonner soixante-dix fois sept fois. En gros, peu importe le nombre de fois que son frère lui faisait du tort, il était censé continuer à lui pardonner. Est-ce que ça signifie – et je pose la question parce que je ne sais pas – est-ce que ça signifie qu'un enfant abusé, un conjoint ou une conjointe maltraitée, est simplement censé continuer à supporter la maltraitance, l’abus ? Ou qu’on doit continuer à rester dans une relation d’amitié ou dans un partenariat commercial, quand l'autre partie nous fait du tort continuellement ?
Jean : Pas du tout. Passons à Jean, chapitre 7. Au chapitre 6, Yahushua dit à la foule qu'il est le pain de vie. Ce qui a amené beaucoup de gens à se détourner de lui et a irrité les dirigeants juifs parce qu'ils comprenaient la signification de ce qu'il avait dit. Maintenant, lisons Jean 7, le verset 1.
Eric : « Après cela, Yahushua parcourait la Galilée, car il ne voulait pas séjourner en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir. »
Jean : Il n'y a rien de mal à mettre un terme aux abus. Et puisque nous ne pouvons pas contrôler le comportement d'une autre personne, la seule façon de mettre un terme aux abus est souvent de sortir de cette situation. Chaque situation est différente. Nous devons prier pour les personnes qui se trouvent dans de telles situations, mais nous ne devrions jamais, du haut de notre place de sécurité, de l’extérieur de la situation, juger quelqu'un qui fait ce qu'il faut pour mettre fin aux abus, même si ça signifie qu'il doit sortir de la situation.
Tout cela nous ramène au problème de Julia, parce que, ce qui cause le plus de ressentiment dans ces situations, c'est que l'autre personne, l'agresseur, l’abuseur, ne change souvent jamais. Et nous ne pouvons pas le ou la forcer à changer ! Ce n'est pas en notre pouvoir. Alors le ressentiment et la frustration ne cessent de croître et, avec eux, peut aussi croître un désir de vengeance. Et c'est à ce moment-là que les gens commencent à s'en prendre aux autres, en voulant se faire justice eux-mêmes.
Eric : Parfois, les gens ont peur de pardonner. Ils pensent que s'ils pardonnent, ça signifierait que ce qui s'est passé n'était pas si mauvais, après tout. Comment répondre à cela ?
Jean : Je dirais qu'ils ne comprennent pas ce qu'est le vrai pardon.
Le pardon, ce n’est pas dire que le mal commis n'était pas si grave après tout, ou que tout va bien, finalement. Ce n'est pas dire que vous devez juste oublier et faire comme si rien ne s'était passé. Parfois, ce n'est pas possible. Parfois, vous devez sortir d'une mauvaise situation, tout comme Yahushua l'a fait en concentrant son ministère en Galilée plutôt qu'en Judée.
Ce que Julia veut et n'obtient pas, c'est la repentance. Le vrai repentir, c'est plus que d'être désolé d'avoir fait quelque chose. Ça signifie que vous êtes tellement désolé que vous cessez de faire ce qui a causé tant de mal à quelqu’un d’autre.
Maintenant, je ne connais pas Julia personnellement, mais souvent, dans ce genre de situation, une personne est prête à pardonner si l'autre cesse de lui faire du mal.
Eric : Ça semble raisonnable.
Jean : Mais ça conditionne le pardon à la repentance. Et les deux ne sont pas liés. Voilà pourquoi il est important de définir nos termes.
Vous voyez, le pardon, c’est simplement un choix que nous faisons.
Eric : Ce qui n'excuse pas le mal que l'autre personne a fait.
Jean : Pas du tout. Le pardon signifie simplement que nous allons cesser d'essayer d’exercer la vengeance par nous-même, nous n'allons pas essayer de nous venger de l'autre personne. C'est tout. Nous allons mettre ce désir de côté, et continuer notre vie.
Eric : Mais comment faire quand on a été gravement lésé, abusé ? Parce que, nous savons que nous ne pouvons pas contrôler le comportement d'une autre personne. Il est difficile de « mettre ça de côté », comme tu dis, et de passer à autre chose quand la personne ne s'est pas repentie. Quand elle continue à avoir le même comportement nuisible, toxique. Comment fait-on pour « mettre ça de côté » et continuer notre vie ?
Jean : En comprenant ce qu’est la rétribution. La vengeance et la rétribution ne sont pas la même chose. Nous avons lu la définition de la vengeance. Maintenant, j’aimerais que nous lisions la définition de la rétribution.
Eric : D'accord. Voyons voir. Je cite : « Le fait d'infliger de la douleur à un autre, en retour d'une blessure ou d'une offense. Une telle infliction, lorsqu'elle procède d'une malice ou d'un simple ressentiment, et qu'elle n'est pas nécessaire aux fins de la justice, est une vengeance et un crime des plus odieux. Lorsqu'un tel châtiment découle d'un simple amour de la justice et de la nécessité de punir les coupables pour faire respecter les lois, il s'agit d'une rétribution, qui est justifiée et juste. Dans ce cas, la rétribution est un juste châtiment, une contrepartie ou une punition. C'est dans ce sens que le mot est utilisé dans les Écritures, et qu'il est fréquemment appliqué aux punitions infligées par Dieu aux pécheurs. »
Jean : Julia, et tous ceux qui ont déjà été lésés, désirent la justice. Rappelons-nous que c'est un attribut divin ! Yahuwah Lui-même se réjouit de la justice. Les sentiments de vengeance peuvent nous envahir quand on a l'impression que la justice ne sera jamais rendue. Ce qui est injuste, et notre réaction émotionnelle est de refuser le pardon jusqu'à ce que la personne se repente, ce qui veut dire : jusqu'à ce qu'elle cesse de nous faire du tort.
Mais le pardon est un choix que nous faisons. Il ne dépend pas des actions ou de l'inaction de notre offenseur. Nous pouvons faire le choix conscient de mettre notre désir de vengeance de côté et d'aller de l'avant, quand nous comprenons correctement la rétribution. La rétribution divine est la réponse de Yahuwah au désir frustré de justice.
Allons dans Deutéronome 32 et lisons le verset 35. Voilà ce qui nous permet de pardonner, même si la personne qui nous a fait du tort continue à le faire. Deutéronome 32:35.
Eric : « A Moi la vengeance et la rétribution, Quand leur pied chancellera ! (ou dans une autre version : C'est à Moi qu'il revient de leur payer leur dû au moment où leur pied viendra à trébucher) Car le jour de leur malheur est proche, Et ce qui les attend ne tardera pas. »
Jean : Rappelons-nous que la rétribution, c’est la justice. Ce n'est pas une vengeance personnelle, humaine. C'est la justice. C'est un point si important que Paul a cité ce verset dans la lettre aux Romains. Lisons-le. Romains 12. Lisons les versets 17 à 19, pour avoir le contexte.
Eric : « Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. 18 S'il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. 19 Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère; car il est écrit : A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit Yahuwah. »
Jean : Quand nous savons que Yahuwah a promis de nous rendre justice, alors, nous pouvons nous en remettre à Lui, en toute sécurité. C'est cela le pardon. Choisir de ne pas chercher à obtenir justice par nous-mêmes. C'est tout. Ça ne signifie pas que ce qu'ils vous ont fait était ok. Ça ne signifie même pas que nous devons rester en relation avec l’offenseur. Ça signifie simplement que nous allons cesser d'essayer de nous venger. Nous laissons cela à Yahuwah, en sachant que Sa justice est meilleure que tout ce que nous pourrions faire.
Eric : Et c’est une pure justice, rien de plus. Je pense que parfois, dans nos efforts frustrés pour obtenir justice, nous allons trop loin. Avec Yah, nous pouvons avoir confiance que la vraie justice sera rendue.
Jean : Et c'est à ce moment-là que nous pouvons pardonner. À ce moment, peu importe que la personne qui nous a fait du tort se soit « repentie » ou non. Nous pouvons toujours faire le choix conscient de ne pas chercher à nous venger. Nous pouvons faire le choix conscient de mettre l'affaire de côté et d'aller de l'avant. C'est le pardon. Et la raison pour laquelle nous pouvons faire ce choix, c’est que nous avons l'assurance, de Yahuwah Lui-même, qu'Il obtiendra justice pour nous.
Eric : C'est très réconfortant. Quand nous savons que Yahuwah obtiendra justice pour nous, nous n'avons même pas besoin de garder rancune. Nous pouvons tout laisser derrière nous.
Jean : Voilà ce qu’est le pardon, et ça nous guérit.
Eric : Une chose que nous pouvons tous utiliser.
Si vous voulez nous envoyer une question ou un commentaire, amis auditeurs, rendez-vous sur WorldsLastChance.com et cliquez sur « contactez-nous ». Nous aimons toujours recevoir vos messages.
A suivre : Elise Blanc avec votre Promesse Quotidienne.
* * *
Promesse Quotidienne
Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.
C'était un lundi soir, le 4 avril 2022. La nuit avait commencé comme la plupart des autres soirs. Britney Keyton, 17 ans, dormait dans une caravane dans le jardin de ses parents. Elle et ses parents étaient loin de se douter de ce qui les attendait.
Au cours de la nuit, le vent s'est levé. Il a commencé a soufflé fort. Britney s'est réveillée et a compris, en sentant les violents balancements de la caravane, qu'elle devait se mettre à l'abri dans la maison. Mais quand elle a essayé d'ouvrir la porte, elle a constaté qu'elle ne le pouvait pas. Le vent avait soufflé si fort qu'il avait coincé les escaliers de la caravane contre la porte, et ils la bloquaient maintenant.
Pendant ce temps, les parents de Britney avaient entendu les vents de ce qui s'est avéré plus tard être une tornade de niveau 2. Ils savaient que Britney n'était pas en sécurité. Le père de Britney s'est précipité à l'extérieur pour s'assurer que sa fille était rentrée à l'intérieur. Il a débloqué rapidement la porte, mais au moment où Britney a sauté à terre, une énorme rafale de vent s'est abattue sur la caravane. Elle a roulé sur Britney et son père, le corps de ce dernier subissant la plus grande partie du poids.
Le poids était écrasant. Les lignes électriques étant coupées sur les routes, il a fallu deux heures pour que le père, gravement blessé, au milieu de la boue, puisse obtenir de l'aide. À l'hôpital, les médecins ont découvert qu'en plus du nez et d'un fémur cassés, toutes ses côtes étaient cassées, et qu'une de ses oreilles avait été presque arrachée et devait être recousue.
Le père a admis qu'à ce moment, il pensait qu'il allait mourir, mais cette peur a rapidement été remplacée par la détermination de survivre. Il voulait vivre pour sa femme et sa fille. La nouvelle de l'action de son père, qui a probablement sauvé la vie de Britney, s'est répandue. Les médias ont commencé à le qualifier de héros, mais le père a rapidement mis cela de côté. « Tout parent aimant se serait sacrifié pour son enfant », a-t-il déclaré.
En regardant les images de l'événement et les interviews du père et de sa famille, je me suis souvenu de l'amour de Yahuwah pour nous. Il nous cherchera dans la tempête la plus sombre, Il surmontera la plus grande montagne de difficultés juste pour chercher et sauver les perdus. Et à travers tout cela, Son amour pour nous ne faiblit jamais.
Quand vous vous sentez écrasé par les épreuves inattendues de la vie, sachez que Yahuwah se soucie toujours de vous et qu'Il oeuvre toujours pour votre bien ultime.
L'un de mes hymnes préférés dit, je cite :
La vie est facile, quand tu es sur la montagne
Et que tu as la paix de l'esprit, comme tu ne l'as jamais connue
Mais les choses changent, quand tu es dans la vallée
Ne perds pas la foi, car tu n'es jamais seul
Car le Dieu sur la montagne est toujours Dieu dans la vallée
Quand les choses vont mal, il les arrange
Et le Dieu des bons moments, est toujours Dieu dans les mauvais moments
Le Dieu du jour est toujours Dieu dans la nuit.
Ezéchiel 34 nous dit : « Car ainsi parle Adonaï Yahuwah : Voici, j'aurai soin moi-même de mes brebis, et j'en ferai la revue. Comme un pasteur inspecte son troupeau quand il est au milieu de ses brebis éparses, ainsi je ferai la revue de mes brebis, et je les recueillerai de tous les lieux où elles ont été dispersées au jour des nuages et de l'obscurité. . . Je les ferai paître dans un bon pâturage, et leur demeure sera sur les montagnes élevées d'Israël; là elles reposeront dans un agréable asile, et elles auront de gras pâturages sur les montagnes d'Israël. C'est moi qui ferai paître mes brebis, c'est moi qui les ferai reposer, dit Adonaï Yahuwah. Je chercherai celle qui était perdue, je ramènerai celle qui était égarée, je panserai celle qui est blessée, et je fortifierai celle qui est malade. »
Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!
* * *
Partie 3
Eric : Je dois dire que l'émission d'aujourd'hui m'a aidé à voir la « colère » de Yahuwah sous un nouvel angle. Et c'est réconfortant !
En tant qu'enfant, on m'a enseigné qu'il était mal de perdre mon sang-froid. Ce que j’ai interprété comme : « c'est mal de se mettre en colère ». Donc, la « colère » a toujours été quelque chose d'effrayant pour moi.
Jean : Est-ce que tu pouvais te mettre en colère en toute sécurité dans la maison, quand tu étais enfant ?
Eric : Hm. C'est une façon intéressante de le dire.
Non. Quand j'y pense, ce n'était pas vraiment « sans danger » de se mettre en colère. Mon père pouvait le faire – et le faisait assez souvent – mais si le reste d'entre nous se mettait en colère, les choses empiraient. Alors, nous avons appris à ne jamais nous mettre en colère. Ou, du moins, à le réprimer.
Jean : Ce qui n'est pas vraiment sain sur le plan mental ou émotionnel.
Eric : Non, pas vraiment.
Jean : Ce que beaucoup de croyants n'ont pas compris, c'est que la colère en elle-même n'est pas nécessairement un péché. C'est ce que vous faites quand vous êtes en colère. Est-ce que vous vous emportez ? Si votre patron vous crie dessus, est-ce que vous rentrez chez vous et criez sur votre femme, giflez votre enfant et donnez un coup de pied au chien ? Vous voyez, passer notre colère sur les autres est la réaction d'un cœur déchu.
Mais la colère en elle-même peut être une réponse saine à l'injustice. Et il est temps que nous la voyons sous cet angle. Yahuwah ne perd jamais son sang-froid…
Eric : Et n'en sommes-nous pas heureux ?
Jean : C'est une bonne chose, c'est sûr ! Mais la colère de Yah fait partie de Sa justice. Et la justice est une bonne chose ! Les croyants n'ont pas besoin de craindre la justice de Yah. C'est le sens de la justice de Yahuwah – Son fair-play – qui nous rassure que nous sommes en sécurité.
Vous n'avez pas besoin d'être parfait. Vous ne le pouvez pas tant que vous avez une nature déchue. Mais Yahuwah le sait. Et puisque Sa justice est satisfaite en Yahushua, vous êtes à l'abri de la phase de punition de Sa colère. Il vous aime et vous êtes acceptés dans le Bien-aimé.
Eric : Amein ! Loué soit Yah pour cela.
Eh bien, je tiens à vous remercier, amis auditeurs, d'avoir écouté l'émission d'aujourd'hui. Si vous avez apprécié ce que vous avez entendu et que vous souhaitez le partager avec quelqu'un d'autre, les émissions déjà diffusées sont disponibles sur notre site Internet : WorldsLastChance.com. Il vous suffit de cliquer sur l'icône Radio WLC. Recherchez l'émission n° 267 intitulée : « Bonnes nouvelles au sujet de la colère divine ! » Encore une fois, c'est l'émission n° 267 : « Bonnes nouvelles au sujet de la colère divine ! », sur WorldsLastChance.com.
Nous espérons que vous pourrez vous joindre à nous à nouveau demain, et d'ici là, rappelez-vous : Yahuwah vous aime. . . et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance en toute sécurité, car Il en est digne !
* * *
Fin
Vous étiez à l’écoute de Radio WLC.
Cette émission, ainsi que les épisodes précédents de Radio WLC peuvent être téléchargées sur notre site web. Elles sont parfaitement appropriées pour être partagées avec des amis et pour des études bibliques ! Elles sont également une excellente ressource pour ceux qui adorent Yahuwah seuls à la maison. Pour écouter les émissions déjà diffusés, visitez notre site Web : WorldsLastChance.com. Cliquez sur l'icône Radio WLC affiché sur notre page d'accueil.
Dans ses enseignements et ses paraboles, le Sauveur n'a pas donné de "signes des temps" à surveiller. Au lieu de cela, l'idée maîtresse de son message était : une vigilance constante. Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité, alors que nous explorons divers sujets centrés sur le retour du Sauveur et comment vivre en étant constamment prêt à l'accueillir chaleureusement quand il viendra.
Radio WLC : Enseigne les esprits et prépare les cœurs au retour soudain de Christ.