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Préparer les cœurs et les esprits au retour soudain de Yahushua!

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Ce qui a vraiment été cloué à la croix !

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Programme 4:

Ce qui a vraiment été cloué à la croix !

Partie 1

Eric : Bonjour ! Merci d’être à l’écoute. Je suis Eric Thomas, et avec moi Jean Olivier.

Jean : Bonjour, nous sommes ravis de faire partie de votre journée.

Eric : Alors, Jean, j'ai une question à te poser.

Jean : Très bien. Qu'est-ce que c'est ?

Eric : Est-ce qu'il t’est arrivé que tes enfants viennent te voir pour te demander la permission de faire quelque chose, et que tu leur dises : « Va demander à maman » ?

Jean : Oui, je crois bien. Pas toi ?

Eric : Si, bien sûr. Chez nous, c'est ma femme qui s'occupe des activités scolaires, des rendez-vous chez le médecin, l'heure du coucher, etc. Alors, oui. Elle sait mieux que moi ce qui se passe avec les enfants, alors si l’uns d’eux vient me demander quelque chose au sujet de leurs activités, je les envoie généralement parler avec leur mère.

Jean : Ils n'essaient pas de te faire dire ‘oui’ à quelque chose, alors qu'elle a déjà dit ‘non’ ?

Eric : Eh, ils ont essayé quelques fois. On y a mis terme dès qu’on a compris ce qu'ils essayaient de faire.

Jean : Je pense que tous les enfants essaient au moins une fois. Ça nous est arrivé aussi.

Eric : Donc, nos enfants savent qu'ils doivent faire appel à maman s'ils veulent avoir la permission de faire quelque chose. Ils font appel à elle pour plusieurs raisons. D'abord, ils savent qu'en tant que parent, elle a l'autorité d’un parent. Deuxièmement, ils savent qu'en tant qu'adulte, elle a le pouvoir de les aider à faire ce dont qu’ils ont besoin de faire.

Jean : C'est ça. Un parent a à la fois l'autorité et le pouvoir de soutenir son enfant.

Eric : Et ça me rappelle notre Créateur. Les Écritures nous exhortent à maintes reprises à invoquer le nom du Seigneur. Prenons le Psaume 116. Il est dit : « J'étais en proie à la détresse et à la douleur. 4 Mais j'invoquai le nom de l'Eternel. . . J'élèverai la coupe des délivrances, Et j'invoquerai le nom de l'Eternel »

Jean : Oui ! Et on retrouve cela dans de nombreux autres passages. Par exemple, 1 Chroniques 16 dit : « Louez l'Eternel (ou : Rendez grâce au Seigneur, dans la King James), invoquez Son nom ! . . . Parlez de toutes Ses merveilles ! 10 Glorifiez-vous de Son saint nom ! » Puis il est ajouté : « Rendez à l'Eternel gloire pour Son nom ! » ou dans une autre version : « Rendez à l'Éternel la gloire due à Son nom. »

Eric : Avec tant de passages dans la Bible qui nous disent d'invoquer Son NOM, il est plutôt étrange que Son nom n'apparaisse qu'une seule fois dans les traductions modernes de la Bible.

Jean : Où est-ce ?

Eric : Dans le Psaume 68, verset 4, dans la version Darby, comme dans la version King James. Il est écrit : « Chantez à Dieu, chantez Son nom, dressez un chemin à celui qui passe comme à cheval par les déserts: son nom est Jah (Yah); réjouissez-vous devant lui. »

Et c'est triste, vraiment, que quelque chose qui est répété tout au long de l'Écriture soit impossible pour la plupart des gens parce qu'ils ne connaissent pas le véritable nom personnel du Tout-Puissant. Dans la plupart des traductions, les titres « Dieu » et « Seigneur » ont été substitués à son véritable nom.

Jean : Et comment pouvons-nous « invoquer Son nom » si nous ne connaissons pas ce nom ?

Eric : Ce n'est certainement pas aussi personnel d'utiliser seulement des titres.

Jean : Non, ça ne l'est pas. J'aime comment le nom du Sauveur ressemble beaucoup à celui de Son Père. Le nom du Père est Yahuwah, ou Yah en forme courte, le nom du Fils est : Yahushua.

Eric : C'est un privilège de connaître et d'utiliser les noms réels et personnels de la divinité. Alors, pour ceux qui nous rejoignent pour la première fois, sachez que quand nous disons « Yahuwah », nous parlons de Dieu, le Père, et quand nous disons “Yahushua”, nous parlons du Fils.

Jean : Nous devons nous rappeler que nous pouvons toujours invoquer le nom de Yahuwah, parce qu’il y a beaucoup d'erreurs et de confusion dans le monde aujourd'hui.

Eric : C'est vrai ! Comme le dit l'apôtre Paul : Tout vent de doctrine est en train de souffler.

Jean : Et avec l’Internet généralisé, il y a encore plus de confusion qui se répand. Alors que la vérité avance, alors que de plus en plus de lumière nous est révélée, l'erreur, elle aussi, prolifère.

Eric : Nous avons besoin de discernement spirituel pour pouvoir séparer la vérité de l'erreur.

Jean : C'est exactement ce dont nous avons besoin : le discernement. Alors aujourd'hui, je voudrais parler d'un passage des Écritures que le diable a utilisé pour semer la confusion dans l'esprit de la majorité des chrétiens. Il se trouve dans les écrits de Paul mais, à cause d'un malentendu, beaucoup de gens l'interprètent d’une mauvaise façon.

Eric : Quel passage ?

Jean : C’est dans Colossiens 2, verset 13 à 17. Lisons-le.

Eric : D'accord, voyons voir. Il est écrit :

« Vous qui étiez morts par vos offenses. . . il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses; 14 il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix; 15 il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix. 16 Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d'une fête, d'une nouvelle lune, ou des sabbats : 17 c'était l'ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ. »

Eh bien, ça semble assez clair. Je ne suis pas sûr de ce que tu essaies de dire : que les gens se trompent à propos de ces versets ? J'ai entendu de nombreux sermons à ce sujet. C'est bien la bonne nouvelle du salut ! La loi a été clouée à la croix !

Jean : Vraiment ?

Eric : Bien sûr ! C'est ce qui est écrit juste là, dans Colossiens ! Il est dit : « Il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix » ou dans la version King James : « Il a effacé l'écriture (une autre version dit : l’acte rédigé contre nous) des prescriptions qui étaient contre nous, et qui nous étaient contraires. Il l'a fait disparaître en la clouant [cette écriture, ou cette acte rédigé contre nous] à la croix. »

Jean : Je sais que c'est ainsi que la plupart des chrétiens d'aujourd'hui interprètent ce texte, mais une étude attentive des Écritures révèle quelque chose de différent.

Eric : Très bien. Je veux l'entendre. Parce que, pour être honnête, j’ai toujours pensé que le texte est assez clair, en disant que la loi a été clouée à la croix.

Jean : Ok. Tout d'abord, laisse-moi te demander : si tu devais citer un passage des Écritures qui résume le message de l'Évangile, quel verset de la Bible, à ton avis, contient l'intégralité de la bonne nouvelle du salut ?

Eric : Eh bien, pour moi, ce serait Jean 3:16-17 : « Car Yah a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Yah, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé PAR LUI. »

Jean : C'est un passage magnifique, et tu as raison : il résume parfaitement le message de l'Évangile. Et je suis content que tu aies ajouté le verset suivant : « Yah, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge (ou : pour condamner, dans une autre version) le monde, mais pour que le monde soit sauvé PAR LUI »

Eric : Amein !

Jean : Yahushua a été envoyé pour prendre notre condamnation sous la loi, mais pas pour changer la loi ! Mais la plupart des gens, tu as raison, interprètent Colossiens 2 comme signifiant que la loi aurait été « supprimée » ou « clouée à la croix ». Mais ce n'est pas ce que signifie ce passage, et si on prend en compte l'ensemble des Écritures, ce n'est pas non plus ce qu'enseigne la Bible dans son ensemble.

Eric : Ok, mais il va falloir parler vite pour me convaincre.

Jean : Très bien. Commençons par Jean 14:15. Lisons-le.

Eric : Jean 14:15, il est écrit : « Si vous m'aimez, gardez mes commandements. »

Jean : Remarquons que ce n’est pas un verset de l'Ancien Testament. Ce n'est pas un passage de l'« ancienne alliance ». C’est directement de l'Évangile de Jean, et les paroles sont les paroles du Sauveur lui-même. On ne peut pas être plus clair que ça : « Si vous m'aimez, gardez mes commandements. »

Prenons l'exemple d'un enfant. Disons que vous partez au travail et que vous laissez des instructions très claires sur ce que vous voulez que votre enfant fasse pour vous aider pendant votre absence. L’enfant a tout le temps nécessaire après l'école pour le faire. Vous rentrez à la maison le soir, votre fils vous accueille à la porte, un grand sourire aux lèvres, et vous dis : « Je t'aime, papa ! »

Vous lui répondez : « Je t'aime aussi, mon garçon ! Est-ce que tu fait cette chose pour moi ? »

Il vous sourit encore plus : « Non, mais je savais que tu ne le pensais pas vraiment. Mais… je t'aime, papa ! » Comment est-ce que vous vous sentiriez si votre fils vous désobéissait tout en continuant à insister sur le fait qu'il vous aime ?

Eric : Eh bien… j'aurais probablement l'impression qu'il essaie de me distraire du fait qu'il a désobéi.

Jean : Exact ! Je ressentirais la même chose. Et si ça se reproduisait systématiquement, je commencerais à me demander s'il m'aime vraiment ou pas, si à chaque fois que je lui demande de faire quelque chose, il ne le fait pas et se contente de dire : « Je t'aime, papa ! ».

Eric : Oui, je vois.

Jean : Eh bien, c'est vrai aussi pour notre Père céleste. Dans Matthieu, chapitre 5, le Sauveur réfute totalement l'idée que la loi devait être supprimée à sa mort. Il dit : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir (ou : anéantir, détruire, dans d’autres version) la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. »

Eric : D'accord, mais est-ce que ce n’est pas simplement une question de sémantique ?

Jean : Qu'est-ce que tu veux dire ?

Eric : Eh bien, tu dis que la loi n'a pas été « supprimée » à la croix. Mais est-ce qu’on ne pourrait pas dire qu'elle a été accomplie ? Dans le passage de Matthieu 5, que tu viens de lire, Yahushua a dit qu'il est venu pour accomplir la loi.

Jean : Oui, il est en effet venu pour l'accomplir. Mais c'est différent de la façon dont les gens interprètent Colossiens 2. Ils lisent Colossiens 2 et divisent la loi de Yah. Ils disent : « Oh, ça veut dire qu’on n'a pas à observer les lois alimentaires. On peut manger du porc et d'autres viandes impures ; on n'a pas à observer les jours saints de Yah : les fêtes annuelles et les Sabbats. Nous ne voulons pas enfreindre les commandements n°1 à 3 ; et c'est plutôt une bonne idée d'observer les commandements n°5 à 10, mais on n'a pas à observer le quatrième commandement. Il a été accompli à la croix puisque Yahushua est notre repos ».

C'est comme ça que la plupart raisonnent, n'est-ce pas ?

Eric : C'est ce qu'on m'a enseigné, oui.

Jean : Alors, maintenant, regardons à nouveau Matthieu 5. Yahushua explique qu'Il est venu pour accomplir la loi. Et juste au verset suivant, il clarifie ce qu'Il veut dire. Il dit :

« Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou un seul trait de lettre, jusqu'à ce que tout soit arrivé. 19 Celui donc qui supprimera l'un de ces plus petits commandements, et qui enseignera aux hommes à faire de même, sera appelé le plus petit dans le royaume des cieux; mais celui qui les observera, et qui enseignera à les observer, celui-là sera appelé grand dans le royaume des cieux. »

Est-ce que le ciel et la terre ont disparu ?

Eric : Manifestement non !

Jean : Nous sommes toujours là ! Par conséquent, nous pouvons conclure que pas « un seul iota ou un seul trait de lettre » ne doit être écarté de notre observation de la loi.

Eric : Hm. C'est une nouvelle pensée pour moi. Mais est-ce que tu aurais un autre support scripturaire pour ce point de vue ?

Jean : Absolument ! Esaïe 28 nous enseigne comment nous devons établir toute doctrine. Il est dit : « Car il faut leur donner commandement après commandement [ou : précepte après précepte, dans la King James]; commandement après commandement; ligne après ligne; ligne après ligne; un peu ici, un peu là ».

Eric : C'est un bon principe. Ça vous empêche de sortir les choses de leur contexte ou d'utiliser la « preuve par le texte » sans tenir compte du contexte, juste pour prouver votre point de vue.

Jean : C’est ça. Nous devons tenir compte de l'ensemble des Écritures pour établir une doctrine. Et un verset de Malachie 3 doit être pris en compte quand nous essayons de déterminer si oui ou non la loi de Yah a en effet été « clouée à la croix ».

Eric : D'accord. Que dit ce verset ?

Jean : Malachie 3, verset 6, nous dit : « car Je suis Yahuwah, Je ne change pas. »

Il ne change pas ! Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Maintenant, s'Il est le même, Il ne va pas changer Sa loi, parce que Sa loi est une transcription de Son caractère !

Eric : Je ne suis pas sûr de te suivre. Qu'est-ce que tu veux dire ?

Jean : 1 Jean 4 déclare : « Yah est amour ». C'est qui et ce qu'Il est. Si vous pouviez jeter un coup d'œil dans le cœur et l'esprit de Yah, vous y trouveriez… de l'amour. Un amour pur, non dilué. L'amour est la puissance de motivation derrière toutes les pensées et tous les sentiments de Yahuwah. C'est l’amour qui incite Ses actes et Ses actions. Par conséquent, Son amour est aussi la base de la loi divine.

Le Psaume 119 est le chapitre le plus long de la Bible. Le thème de ce chapitre entier se concentre sur la loi de Yah. Écoutez quelques versets. Je ne vais pas en lire beaucoup, mais quelques versets seulement vous donneront une idée de l'ensemble.

Eric : Très bien.

Jean : Le Psaume 119 s'ouvre sur ces mots : « Heureux ceux qui sont intègres dans leur voie, Qui marchent selon la loi de Yahuwah ! 2 Heureux ceux qui gardent ses préceptes, Qui le cherchent de tout leur coeur. » Puis, quelques versets plus loin, il est dit : « Puissent mes actions être bien réglées, Afin que je garde tes statuts ! 6 Alors je ne rougirai Point, A la vue de tous tes commandements. 7 Je te louerai dans la droiture de mon coeur, En apprenant les lois de ta justice. 8 Je veux garder tes statuts : Ne m'abandonne pas entièrement ! »

Puis il pose une question essentielle. Il dit : « Comment le jeune homme rendra-t-il pur son sentier ? En se dirigeant d'après ta parole. 10 Je te cherche de tout mon coeur : Ne me laisse pas égarer loin de tes commandements ! »

Eric : C'est assez clair.

Jean : Ça l’est ! C'est tout à fait clair. Puis il ajoute : « Je serre ta parole dans mon coeur, Afin de ne pas pécher contre toi. . . Ouvre mes yeux, pour que je contemple Les merveilles de ta loi ! 19 Je suis un étranger sur la terre : Ne me cache pas tes commandements ! »

Ce sont là des principes intemporels ! Nous devons voir dans la loi parfaite de Yah la beauté et des révélations de Son caractère. Et ce psaume est tout aussi vrai aujourd'hui que lorsqu'il a été écrit.

Qu’est-ce que Paul a dit au sujet des Écritures, la Parole de Dieu ?

Eric : Hm… Tu veux dire, pourquoi elle a été donnée ?

Jean : Oui. Qu'est-ce qu'il a dit ?

Eric : Eh bien, c’est dans 2 Timothée 3. Il dit : « Toute Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice."

Jean : Exact. TOUTE l’Ecriture est inspirée par Yah et utile pour enseigner (ou : pour la doctrine, dans la King James), pour convaincre (ou : pour la réprimande), pour la correction et pour l'instruction dans la justice. TOUTE l’Écriture sainte. Maintenant, qu'est-ce que c’était, l'Écriture, à l'époque de Paul ? Ses lettres ?

Eric : Non.

Jean : Non ! C'était l'Ancien Testament ! Maintenant, le verset qui suit celui que nous venons de lire, verset 17, explique pourquoi l'Écriture a été donnée pour notre bénéfice. Lisons-le.

Eric : L'Écriture a été donnée, il est écrit : « afin que l'homme de Yah soit accompli et propre à toute bonne oeuvre. » Ou dans une autre version : « Afin que l'homme de Yah soit parfait, bien préparé pour toutes bonnes œuvres. »

Jean : L'Écriture a été donnée – et la loi au sein de l'Écriture a été donnée – pour que nous puissions connaître le caractère de Yah et, par la foi dans le Sauveur, l'avoir comme modèle pour que nous puissions être, qu’est-ce que Paul dit ? « PARFAITS (ou accompli), propre à (ou bien préparés pour) toutes bonnes œuvres ».

Eric : Hm. Très intéressant.

Jean : Il y a une autre raison, encore plus convaincante, pour laquelle la loi n'a pas pu être supprimée – ou clouée – à la croix.

Eric : Eh bien, garde cette idée en tête. Je veux l'entendre. Nous allons faire une courte pause, amis auditeurs, et à notre retour, j’aimerais que nous voyons ce qui a été cloué à la croix.

* * *

Partie 2

Eric : Nous voilà de retour. Alors… nous avons vu des preuves bibliques expliquant pourquoi la loi de Yah n'a pas été « accomplie » (dans le sens où elle ne serait plus valable) ou « clouée » à la croix, mais est toujours en vigueur aujourd'hui. Jean ?

Jean : Pensez-y : si la loi de Yah pouvait être changée ou « accomplie » de sorte que nous n’ayons plus besoin de la garder, alors Yahushua n'aurait pas eu besoin de mourir.

La loi de Yah dit : le salaire du péché, c'est la mort.

L'humanité a péché. La mort a été la punition. C'est la loi divine.

Eric : Ok. Donc, tu dis que si la loi pouvait être changée, ça aurait pu être le cas quand l'humanité a péché. Alors Yahushua n’aurait pas eu à mourir.

Jean : C'est juste. Si la loi dit que la mort est la peine pour le péché, et si la loi pouvait être changée, alors elle aurait déjà été changée pour que la mort ne soit pas la peine pour le péché. Mais la loi divine ne peut pas être changée.

Eric : Eh bien, pourquoi pas ? C'est la loi de Yah. Les gouvernements humains changent les lois tout le temps. Lui aussi pourrait le faire, s'Il le voulait.

Jean : En fait, Il ne le pourrait pas, et le Psaume 19 nous explique pourquoi. Les versets 8 à 12 disent : « La loi de Yahuwah est parfaite, elle restaure l'âme; Le témoignage de Yahuwah est véritable, il rend sage l'ignorant. 9 Les ordonnances de Yahuwah sont droites, elles réjouissent le coeur; Les commandements de Yahuwah sont purs, ils éclairent les yeux. 10 La crainte de Yahuwah est pure, elle subsiste à toujours; Les jugements de l'Eternel sont vrais, ils sont tous justes. 11 Ils sont plus précieux que l'or, que beaucoup d'or fin; Ils sont plus doux que le miel, que celui qui coule des rayons. 12 Ton serviteur aussi en reçoit instruction; Pour qui les observe la récompense est grande. »

Le fait est que la loi de Yah ne peut être changée parce que, comme le dit clairement l'Écriture : elle est parfaite. La loi divine est une transcription du caractère divin. Si elle pouvait être changée, ça reviendrait à dire que Yahuwah n'est pas parfait et qu’Il pourrait être changé.

Eric : Ok, je crois que je commence à comprendre. Et, comme nous l'avons lu plus tôt, Malachie nous dit : « Je suis Yahuwah, Je ne change pas ». Par conséquent, si Yahuwah est synonyme de Sa loi, Sa loi est tout autant en vigueur maintenant qu'elle l'était avant. Elle est parfaite et ne peut être changée, tout comme Lui est parfait et ne peut être changé.

Jean : C’est ça.

Eric : Très bien. Alors comment expliquer Colossiens 2 ? Tu as dis tout à l'heure que les gens interprètent mal ce passage.

Jean : C’est le cas. Je vais le relire rapidement pour que nous ayons bien à l'esprit ce qui est dit dans ces versets :

« Vous qui étiez morts par vos offenses. . . il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses; 14 il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix; 15 il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles »

Le malentendu porte sur ces mots : « l'acte dont les ordonnances nous condamnaient. . . il l'a détruit en le clouant à la croix »

Eric : Très bien. Quel est le malentendu ?

Jean : Le malentendu est que les gens supposent que « l'acte dont les ordonnances nous condamnaient (ou : l'acte rédigé contre nous qui nous condamnait, l'obligation qui était contre nous, l'obligation des ordonnances qui s'élevait contre nous, selon les versions) » est la loi divine.

Eric : Donc… tu dis que ce n'est pas le cas.

Jean : Non, ça n’est pas le cas. Nous venons de voir que la loi divine est en vigueur et éternelle, et qu'elle ne peut être ni changée ni supprimée. Par conséquent, « l’acte rédigé contre nous » doit se référer à quelque chose d'autre, et c'est le cas !

Earl L. Henn a écrit un article intitulé « La loi de Dieu a-t-elle été clouée à la croix ? », où il soulève un point très intéressant. Il dit : « Ces mots sont traduits de l’expression grecque cheirographon tois dogmasin. Cheirographon signifie ce qui est écrit à la main, mais peut s'appliquer plus spécifiquement à un document juridique, à une obligation ou à un titre de créance (ou : dette). Dogmasin désigne des décrets, des lois ou des directives régissant la conduite ou le mode de vie d'une personne ».

Eric : Hm. C'est fascinant. Je n'avais jamais entendu ça. Mais ça commence à avoir un sens, parce que les « ordonnances (ou : exigences) » qui sont « contre » nous ne peuvent pas être la loi divine, parce que la loi divine est pour nous ! Paul lui-même, dans Romains 7, déclare : « La loi est sainte, et le commandement est saint, juste et bon. »

Jean : Précisément ! La loi, sainte, juste et bonne est pour nous. Elle n'est pas contre nous ! Comme le dit le Psaume 19, pour qui observe la loi, il y a « une grande récompense ».

Eric : Alors, si ce n'est pas la loi divine, qu'est-ce que c’est « l’actes dont les ordonnances (ou : l’acte rédigé contre nous) » ? Parce que Paul dit clairement qu'elles SONT contre nous.

Jean : Au premier siècle, les exécutions étaient des spectacles pour la communauté. Les criminels étaient tués publiquement pour dissuader les autres de commettre des crimes similaires. Quand une personne était crucifiée, une liste des crimes commis était aussi clouée sur la croix.

Eric : Oh ! C’est ce qu’ils ont fait avec Yahushua, n'est-ce pas ? Pilate a écrit – en quoi, trois langues ? – en hébreu, grec et latin… le « crime » du Sauveur et ils ont cloué ça sur la croix.

Jean : C’est ça. Ils avaient écrit : « Yahushua de Nazareth, le roi des Juifs ».

Eric : Et les Juifs n'ont pas aimé ça. Les chefs des prêtres ont dit à Pilate : « Ne dis pas qu'Il EST “roi des Juifs”. Écris plutôt qu'Il a DIT qu'il était 'roi des Juifs' ».

Jean : Oui, et Pilate les a repoussés en disant : « Ce que j'ai écrit, je l'ai écrit. »

Eric : Je ne savais pas que c’était une pratique courante de clouer sur la croix les crimes des condamnés ! Alors, « l’acte rédigé contre nous », c'est quoi ?

Jean : La liste des péchés que nous avons commis. Les choses dont nous sommes coupables.

Vous voyez, comme chaque chrétien le sait, Yahushua est mort POUR nous. Il est mort À NOTRE PLACE pour que NOUS puissions vivre éternellement avec LUI.

Dans sa deuxième lettre aux Corinthiens, Paul explique ce concept en disant : « Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en Lui justice de Yah. »

Eric : Comme Esaïe le dit magnifiquement : « Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. 6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et Yahuwah a fait retomber sur Lui l'iniquité de nous tous. »

Jean : Amen. Paul dit la même chose dans 2 Corinthiens. Il écrit : Il – Yahuwah – a fait de Celui qui n’a pas connu le péché – Yahushua – devenir péché pour nous, afin que nous devenions justice de Yahuwah en Lui. »

Eric : C'est la transaction divine de la grâce. Yahushua, dans sa vie, est notre exemple. Dans sa mort, il est notre substitut.

Jean : Oui. En portant nos péchés pour nous, nos péchés, les vôtres et les miens, ont été rédigés et cloués sur la croix. Le Sauveur est alors mort à notre place, en portant notre culpabilité POUR nous.

Eric : Ça me rappelle ce que Jean le Baptiste a déclaré lors du baptême de Yahushua. Il a dit : « Voici l'Agneau de Yah qui ôte le péché du monde ».

Jean : Il a porté NOS péchés pour que nous puissions, à notre tour, porter SA justice, sa droiture !

Eric : Ok, c'est magnifique. C'est logique. Mais qu'en est-il de la suite du passage ? Les versets suivants disent : « Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d'une fête, d'une nouvelle lune, ou des sabbats : 17 c'était l'ombre des choses à venir, mais le corps (ou : la substance, la réalité, selon les versions) est en Yahushua. » Est-ce que ça ne semble pas suggérer que Paul dit que nous n'avons pas à continuer à observer les sabbats, les nouvelles lunes ou les autres fêtes juives ?

Jean : C'est une bonne question, je suis heureux que tu la soulèves, Eric. Tout d'abord, ce ne sont pas des fêtes « juives » : ce sont les fêtes de Yahuwah. Je sais que les Juifs ont tendance à se sentir très propriétaires au sujet des fêtes religieuses annuelles, mais quand elles ont été expliquées à Moïse, Israël n'était même pas encore une nation. Aussi, dans Lévitique, chapitre 23, il est écrit :

« Yahuwah parla à Moïse, et dit : 2 Parle aux enfants d'Israël, et tu leur diras : Les fêtes de Yahuwah, que vous publierez, seront de saintes convocations. Voici quelles sont Mes fêtes. »

Vous avez entendu ça ? Ce sont les fêtes de Qui ?

Eric : De Yahuwah.

Jean : Exact. Et les versets suivants énumèrent quelles sont ces fêtes. La première fête de la liste est la suivante, il est dit : « On travaillera six jours; mais le septième jour est le sabbat, le jour du repos : il y aura une sainte convocation. Vous ne ferez aucun ouvrage : c'est le sabbat de Yahuwah, dans toutes vos demeures. »

À partir de là, les autres fêtes sont énumérées, mais la toute première fête est la fête hebdomadaire du Sabbat du septième jour, et elles sont TOUTES désignées comme étant des « fêtes de Yahuwah ».

Eric : C'est très intéressant. Donc, nous avons établi que la loi divine est perpétuelle, parfaite et immuable. Et Lévitique nous dit que toutes les fêtes sont les fêtes de Yahuwah. Alors, qu’est-ce que Paul veut dire quand il parle de ne laisser quiconque les juger en ce qui concerne les Sabbats et les Nouvelles Lunes ?

Jean : Pour le comprendre, il faut connaître un peu le public auquel Paul écrivait. Aujourd’hui, beaucoup de gens prennent des passages de la Bible et essaient de les appliquer à des circonstances qui sont très différentes de ce qui était dit dans le passage original. Nous devrions toujours tenir compte du contexte.

Eric : Oui, tu as raison. Je me souviens d'une fois, il y a quelques années, où j'écoutais un prédicateur parler longuement d'un certain verset du livre de Job. Son argument principal reposait sur ce seul verset. Mais quand je l’ai lu par moi-même, j'ai découvert que le passage qu'il citait était en fait une déclaration faite par l'un des amis de Job, ceux-là même qui ont été réprimandés par Yah pour ne pas avoir parlé de façon véridique ! Et ce prédicateur avait construit tout son sermon autour d'un passage prononcé par l'un des amis de Job.

Jean : Pas la base la plus solide… Ça montre bien qu'il faut tenir compte du contexte ! Eh bien, les chrétiens de la ville de Colosses vivaient dans une ville païenne. Leur ancienne religion était celle du salut par les œuvres. Ils enseignaient que la perfection ne pouvait être atteinte qu'au prix d'une abnégation extrême et d'une abstinence de plaisir. Et ils pensaient que toute personne prétendant être religieuse devait pratiquer l'austérité qu'ils pratiquaient.

Comme on peut l'imaginer, cet état d’esprit a influencé les chrétiens nouvellement convertis qui étaient eux-mêmes païens auparavant. Au lieu de faire pleinement confiance aux mérites du Sauveur, les Colossiens avaient tendance à revenir à un déni d’eux même auto-imposé, estimant que c’était une condition nécessaire au salut.

Eric : Donc, ce que tu dis, c'est que Paul les mettait en garde contre le fait d'essayer de « se frayer un chemin vers le Ciel » par leurs propres œuvres ou pratiques.

Jean : C’est ça. Dans Colossiens 2, verset 8, Paul dit : « Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Yahushua. » Le salut est un don gratuit par la foi en Yahushua. Paul les avertissait de ne pas retomber dans une mentalité de salut par les œuvres.

Aussi, Yahuwah n'exige jamais qu'on se punisse soi-même pour être sauvé. Paul encourageait les croyants colossiens à être libres en Yahushua, et à ne pas être influencés par l'abstinence auto-imposée des païens qui les entouraient.

C'est ce qu'il voulait dire quand il a écrit : « Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d'une fête, d'une nouvelle lune, ou des sabbats : 17 c'était l'ombre des choses à venir, mais le corps (ou : la substance) est en Yahushua. Qu'aucun homme, sous une apparence d'humilité (ou : par une fausse humilité, dans une autre version). . . ne vous ravisse à son gré le prix. . . sans s'attacher au chef (ou : à la tête) », Yahushua.

Eric : Ouah ! Ça éclaire le passage d'une toute autre lumière ! Mais qu’est-ce que ça signifie, cette phrase : « Mais la substance est en Yahushua » (ou : la réalité, le corps est en Yahushua, selon les versions) ? Ce passage m'a toujours troublé.

Jean : « Mais la substance est en Yahushua » est une phrase mal traduite. La traduction littérale est : « le corps de Yahushua ».

Qu'est-ce que le corps de Yahushua ?

Eric : Euh… eh bien, ça doit être l'Église, n'est-ce pas ?

Jean : Exactement ! 1 Corinthiens 12 nous dit : « VOUS êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part (ou : individuellement, dans une autre version). » Donc, le corps de Yahushua, c’est l'Église ! Ou, littéralement : « ceux qui sont appelés hors de ».

Paul dit aux Colossiens qu'ils ne doivent pas laisser les critiques des païens environnants dicter leurs pratiques, mais que seuls leurs frères croyants devraient porter de tels jugements. Ils étaient maintenant libérés des philosophies païennes et pouvaient vivre une vie équilibrée en Yahushua.

Eric : C'est magnifique !

Jean : Oui. Et ça devient vraiment clair au fur et à mesure qu'on avance dans la lecture de Colossiens, chapitre 2. Versets 20 à 22 : « Si vous êtes morts avec Christ aux rudiments du monde, pourquoi, comme si vous viviez dans le monde, vous impose-t-on ces préceptes : 21 Ne prends pas ! ne goûte pas ! ne touche pas ! 22 préceptes . . . qui ne sont fondés que sur les ordonnances et les doctrines des hommes ? »

Les « ordonnances (ou : commandements, dans une autre version) et doctrines » de qui ?

Eric : Des hommes.

Jean : Exact ! Paul ne parlait pas des commandements de Yahuwah. Il parlait des règles et règlements créés par l'homme dans la mentalité des Colossiens qui voulaient encore oeuvrer pour se frayer un chemin vers le Ciel par leurs propres pratiques. Paul leur dit qu'ils n'ont pas besoin de s'accrocher à des traditions humaines pour se frayer un chemin vers le Ciel. La mort de Yahushua à la croix a effacé la dette des pécheurs. Le registre de nos péchés a été cloué à la croix.

Eric : Quelle différence de compréhension ! Quel message vraiment encourageant et stimulant !

Jean : Ça l’est ! Il nous est dit : Tu es pardonné ! Tu es libre !

Eric : Amein ! Amein. Et c'est le cœur du message de l'Évangile. Yahushua est venu pour sauver les pécheurs. Comme Esaïe l’a écrit, au chapitre 53 : « Mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes. . . Il se chargera de leurs iniquités. . . Il a été mis au nombre des malfaiteurs. . . Il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, et. . . Il a intercédé pour les coupables. »

Jean : « Il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. »

Eric : Restez à l'écoute, amis auditeurs ! A suivre, notre Courrier des Auditeurs.

* * *

Vous écoutez Radio World's Last Chance.

Radio WLC : Enseigne les esprits et prépare les cœurs au retour soudain de Christ .

* * *

Courrier des Auditeurs

Eric : C'est l'heure de notre Courrier des Auditeurs.

Jean : J'apprécie toujours avoir des nouvelles de nos auditeurs.

Eric : Moi aussi. Nous recevons parfois des questions qui font vraiment réfléchir. Comme celle-ci. Elle nous vient de Francesca, de Quito, en Équateur.

Elle nous écrit : « Pourquoi à WLC vous croyez que tous ceux qui prient Marie, la mère de Yahushua, prient une femme morte qui ne peut pas les entendre ? » Elle poursuit en disant : « Il y a quelques années, mon mari luttait contre le cancer. J'ai prié et prié pour lui. J'ai prié Marie et il a été guéri ! Je ne comprends pas comment vous pouvez dire que mes prières n'ont pas été exaucées. »

Jean : Eh bien, tout d'abord, Francesca, je tiens à vous dire à quel point je suis heureux que vos prières aient été exaucées et que votre mari ait été guéri. Quel merveilleux témoignage de l'amour de Yah, d’avoir guéri votre mari.

Je tiens également à dire que je crois que vos prières ont été exaucées. Elles ont été exaucées… par Yahuwah. Pas par Marie.

Eric : Eh bien, attends une minute, Jean. Je suis sûr que Francesca serait d'accord avec toi pour dire que c'est Yah qui a répondu à ses prières, mais elle croit aussi que ses prières ont été exaucées parce qu'elle a prié Marie.

Je sais que ce concept est un peu difficile à comprendre pour les protestants. Mais ma femme a été élevée dans la religion catholique. Elle n'est plus catholique aujourd'hui, mais elle comprend leur façon de penser. La façon dont elle l'explique est que : quand vous êtes confronté à une épreuve ou que vous avez besoin d'aide dans une situation difficile, les catholiques pensent que prier Marie n'est pas différent de demander à un ami de prier pour vous, sauf que demander à Marie de prier pour vous semble plus efficace parce que ses prières obtiennent des résultats. Ils ne demandent pas vraiment à MARIE d'exaucer leurs prières. Ils lui demandent plutôt de se joindre à eux pour prier. Est-ce que ça a un sens ?

Jean : On peut comprendre leur façon de raisonner. Les catholiques croient en effet que c’est Yahuwah qui répond aux prières, mais ils prient Marie, ou d’autres saints, parce qu'ils croient que c'est comme demander à un ami de se joindre à eux pour prier – mais un ami qui a de très bons antécédents en matière de prières exaucées !

Eric : C'est ça.

Jean : Eh bien, il y a en fait deux questions qui se posent ici. La première est de savoir pourquoi une personne devrait – ou ne devrait pas – prier Marie ou d'autres saints morts. La seconde est : est-ce que Yahuwah répond aux prières adressées à Marie et aux autres saints ?

Eric : Très bien. Allons-y.

Jean : Pour répondre à la question de Francesca, WLC croit qu'une personne ne devrait pas prier Marie, ou toute autre personne décédée, pour la simple raison que l'Écriture dit clairement qu'il n'y a pas de conscience après la mort. Salomon écrit dans Ecclésiaste 9 : « Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. »

Puis, pour souligner que les morts ne ressentent aucune émotion et n'ont aucune interaction avec les vivants, il poursuit au verset suivant : « Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil. »

Eric : C'est assez clair.

Jean : Maintenant, l'Écriture fait référence à quelques personnes qui ont été spécialement ressuscitées. Par exemple, Moïse, Lazare, Dorcas….

Eric : Le fils de la veuve de Naïn.

Jean : Mais nulle part il n'est fait mention de la mort de Marie, et encore moins de sa résurrection. Par conséquent, on peut en conclure que Marie, comme la grande majorité des fidèles de toutes les époques, repose dans la tombe jusqu'au retour de Yahushua.

Eric : Oui, ils ne vont pas au Ciel à leur mort. L'apôtre Paul le dit clairement dans 1 Thessaloniciens : « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Yah, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. 17 Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs »

Il est évident que si les croyants allaient au Ciel à leur mort, il n'y aurait personne à ressusciter à la Seconde Venue !

Jean : C'est un bon point. Donc, en l'absence de tout autre document inspiré indiquant que Marie, ou ces autres saints populaires, sont réellement vivants au Ciel, nous pouvons supposer sans risque qu'ils reposent dans leurs tombes.

Eric : Comme le dit Salomon : ils n'ont plus aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil.

Jean : Exact.

Eric : Très bien, ça nous amène à la question suivante : Yah répond-Il aux prières qui sont adressées aux saints ?

Jean : Eh bien, il semble que oui, Il le fait ! Si on prend le cas du mari de Francesca. Elle a prié – elle a prié Marie, mais elle a prié avec foi – et Yahuwah a entendu et répondu à ses prières !

Eric : Est-ce que tu ne trouves pas ça un peu… je ne sais pas. Contradictoire ? Que Yah réponde à des prières adressées à des saints décédés, ce qui semble confirmer aux catholiques leur croyance en l'efficacité de telles prières ?

Jean : Non. Écoutez. Yahuwah est notre Père. Et c'est un Père aimant. Il sait qu'aucun d'entre nous n'a une compréhension parfaite de TOUTE LA VÉRITÉ. De ce côté du Ciel, aucun d'entre nous n'a même la capacité de saisir toute la vérité. Mais, et c'est là la clé, comme tout père, Il nous aime et Il ne va pas ne pas nous bénir juste parce que nous manquons de connaissance.

Quand Paul a prêché à Athènes, il a révélé un principe divin d'amour qui expliquerait pourquoi Yah répond quand même aux prières, même quand la personne qui prie n'a pas une connaissance complète. Il a dit : « Yah, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir. »

Eric : Ça nous donne vraiment un aperçu du cœur d'amour du Père.

Jean : C'est vrai !

Eric : Il ne va pas se détourner et refuser Sa bénédiction juste parce que quelqu'un est ignorant sur un point de doctrine.

Jean : C'est juste.

Eric : Il lit dans le cœur humain ! Il a vu l'amour et la foi de Francesca, et même si sa prière était mal orientée, Il l'a quand même exaucée parce qu'Il l'aime.

Jean : C'est exactement ça. N'est-ce pas magnifique ?

Eric : Oui. Et cette compréhension met en lumière un autre problème qui concerne la prière aux saints.

Jean : Lequel ?

Eric : Eh bien, ça implique presque l’idée d’une réticence de la part de Yah à répondre aux prières. Ça suggère l'idée que, pour Le convaincre d'écouter vos prières, vous devez faire en sorte que tant d’autres personnes prient AVEC vous, qu'Il sera obligé de répondre !

Jean : C'est ce que ça laisse entendre, oui.

Eric : Et pourtant, dans Luc 11, quand les disciples ont demandé à Yahushua de leur apprendre à prier, Il ne leur a pas appris à prier les croyants fidèles qui étaient morts dans le passé. Il ne leur a pas dit de prier « Cher Abraham » ou même « Cher Moïse », même si l'Écriture indique clairement que Moïse avait déjà été ressuscité à ce moment-là !

Jean : Ou « Cher Enoch », ou « Cher Elie », qui ont tous deux été pris au Ciel sans voir la mort.

Eric : Exact. Au contraire, dans Luc 11, au verset 2, il dit : « Quand vous priez, dites : Notre Père qui es aux cieux » Je dirais que c'est assez clair. Nous devons nous adresser directement au Père.

Jean : Tu sais, j'en suis venu à la conclusion que nous commettons peut-être une erreur quand nous enseignons aux jeunes enfants à prier « Jésus ». Dès le début, nous devrions leur apprendre à s'adresser directement au Père.

Eric : Nous devons prier au nom de Yahushua… mais c’est le Père que nous devons prier, pas le Fils.

Jean : Si nous devions prier Yahushua, il aurait été si simple pour le Sauveur d'enseigner cela, mais en fait, il a enseigné exactement le contraire !

Eric : Ou ça ?

Jean : Dans Jean 16. Il a dit : « Je ne vous dis pas que je prierai le Père pour vous; 27 car le Père Lui-même vous aime » C’est la merveilleuse promesse pour vous, pour moi, pour Francesca, pour… tout le monde ! Vous n'avez pas besoin de passer par une autre personne. Vous pouvez aller directement au Père par vous-même.

Plus tôt, dans le même chapitre, Yahushua dit : « En ce jour-là, vous ne m'interrogerez plus sur rien. En vérité, en vérité, je vous le dis, ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom. »

Eric : Encore une fois, remarquez que ce n’est pas à Yahushua que nous sommes censés demander. Nous sommes invités à prier en Son nom, mais en ce qui concerne la prière elle-même, nous pouvons aller directement au Père par nous-mêmes.

Jean : Ce qui nous montre à quel point Il nous aime, individuellement, n'est-ce pas ?

Eric : Amein. Vous pouvez nous envoyer vos questions ou commentaires, en vous rendant sur notre site Web WorldsLastChance.com et en cliquant sur « contactez-nous ». Nous aimerions aussi avoir de vos nouvelles.

* * *

Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

La défunte princesse Diana a dit un jour : "Faites un acte de gentillesse au hasard, sans attendre de récompense, en sachant qu'un jour quelqu'un pourrait faire la même chose pour vous."

Pendant les confinements du COVID-19, les finances de nombreux foyers ont été affectées. Même par la suite, les répercussions financières ont continuées avec la perte d'emplois, des difficultés à régler les factures accumulées, et l'augmentation du coût de la vie.

Un soir, Amanda Klein et son mari faisaient la queue dans une sandwicherie pour acheter un repas rapide pour leur famille. Derrière eux, il y avait un homme à l'air épuisé, et sa petite fille de quatre ans. Inconsciente du stress du monde des adultes, elle était joyeuse et bavarde en attendant impatiemment son sandwich et son gâteau.

En arrivant au comptoir pour payer, Amanda a entendu l'homme s'excuser auprès de la dame qui préparait les sandwichs. Visiblement embarrassé, il a expliqué qu'il n'avait pas assez d'argent pour payer le tout, et qu'elle n'avait qu'à annuler le sien.

Amanda et son mari n'avaient pas beaucoup d'argent sur leur compte à ce moment-là, mais elle a discrètement demandé à la caissière d'ajouter la commande de l'homme à la leur, et elle a payé le montant total. Le total n'était que de quelques euros inférieur au montant qu’il leur restait sur leur compte en banque, et le jour de paie n'était pas avant trois jours, mais elle était heureuse d'avoir la chance d'aider quelqu'un qui était manifestement dans le besoin. Comme ils ne voulaient pas embarrasser davantage l'homme, Amanda et son mari sont partis rapidement avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit. Ils pensaient que l'affaire s'arrêterait là…

Une semaine plus tard, le mari d’Amanda est retourné au même endroit pour acheter cinq autres sandwiches. Ils pensaient qu'ils avaient assez d'argent sur leur compte pour payer, mais le total était plus élevé que prévu et la transaction a été refusée. Embarrassé, le mari d’Amanda leur a demandé d'enlever un sandwich de la commande car il n'avait pas assez pour régler le tout. Il a donc payé les quatre sandwichs et est parti. Au moment où il ouvrait la porte de son véhicule, l'une des femmes qui travaillait dans le magasin s'est précipitée à l'extérieur et lui a glissé le cinquième sandwich dans les mains. Il l'a remerciée, mais elle s'est empressée de rentrer avant qu'il n'ait pu poser de questions. Il a supposé qu'ils avaient décidé de lui offrir ce sandwich parce qu'il avait déjà été préparé.

Mais quelques instants après, alors qu'il sortait du parking, il a vu le même homme, avec la petite fille, que la semaine précédente. Il a compris. Les deux hommes ont échangé un signe de tête avant de partir, s'assurant mutuellement pour la deuxième fois que les deux familles aient suffisamment à manger.

Quand j'ai lu l'histoire d’Amanda, j'ai été frappée par les nombreuses façons dont Yahuwah pourvoit aux besoins de Ses enfants. Parfois, les dons viennent directement de Lui, ou par l'intermédiaire de la Providence. Mais souvent, Yahuwah pourvoit en agissant sur le cœur d'autres personnes, en leur donnant la chance de ressentir la joie d'aider les autres.

C'est quelque chose que nous devons tous garder à l'esprit. La vie avant le retour de Yahushua va devenir de plus en plus difficile. Certains auront peut-être du mal à garder de la nourriture sur la table, ou à payer les factures d'électricité. Mais, quoi qu'il arrive, vous pouvez faire confiance à Yahuwah pour subvenir à vos besoins.

En parlant des temps tumultueux précédant le retour de Yahushua, le prophète Esaïe a dit : "Les pécheurs sont effrayés dans Sion, Un tremblement saisit les impies : Qui de nous pourra rester auprès d'un feu dévorant ? Qui de nous pourra rester auprès de flammes éternelles ? Celui qui marche dans la justice, Et qui parle selon la droiture, Qui méprise un gain acquis par extorsion, Qui secoue les mains pour ne pas accepter un présent, Qui ferme l'oreille pour ne pas entendre des propos sanguinaires, Et qui se bande les yeux pour ne pas voir le mal, Celui-là habitera dans des lieux élevés; Des rochers fortifiés seront sa retraite; Du pain lui sera donné, De l'eau lui sera assurée."

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

* * *

Partie 3

Eric : La Bible est comme une salle aux trésors dans laquelle nous pouvons puiser une réserve inépuisable de trésors, nouveaux et anciens. Peu importe le nombre de fois que j'y retourne, j'apprends toujours quelque chose de nouveau, et j'en retire toujours une bénédiction.

Jean : Yah soit loué ! Tout ce dont nous avons besoin, Il nous le fournit, que ce soit pour nos besoins matériels ou pour nous donner plus de sagesse et de compréhension.

Eric : J'ai l'impression de voir le livre des Colossiens sous une toute nouvelle lumière, et le message est magnifique ! Yahushua a porté nos péchés. Nous sommes libérés de la condamnation de la loi ! Nous sommes libres !

Jean : Oui ! Et Yahushua fait plus que nous racheter.

Eric : Qu'est-ce que tu veux dire ?

Jean : Eh bien, j'ai lu une fois – je ne sais plus où – cette phrase qui m'a marqué : « La rédemption sans la restauration n'est pas le salut. »

Eric : « La rédemption sans restauration n'est pas le salut. »

Jean : Le sang de Yahushua fait plus qu'effacer nos péchés. Son sang nous purifie, mais il nous restaure aussi à l'endroit où nous aurions été si nous n'avions jamais péché !

Comme Paul l'explique dans Galates 2 : « J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit EN moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis DANS la foi au Fils de Yah, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi. »

Eric : C'est un message tellement important pour notre époque.

Jean : Ça l’est. La plus grande partie de la chrétienté a été enseignée que la loi de Yah aurait été « clouée à la croix », que les Sabbats et les Nouvelles Lunes n'étaient que pour les Juifs, que… puisque nous sommes censés adorer Yah tous les jours…

Eric : Et c'est le cas !

Jean : Bien sûr, c'est le cas ! 1 Thessaloniciens nous exhorte : « Soyez toujours joyeux. 17 Priez sans cesse. 18 Rendez grâces en toutes choses, car c'est à votre égard la volonté de Yahuwah en Yahushua-Christ. »

Mais le quatrième commandement d'adorer au septième jour contient deux autres directives : 1) s'abstenir de travailler le septième jour ; et 2) TRAVAILLER les six autres jour.

Mais la plupart des chrétiens ne sont pas conscients du fait que la loi de Yah est toujours en vigueur.

Eric : Il ne change pas.

Jean : Non, et Sa loi est parfaite. Elle ne peut pas être changée sans déstabiliser l'ensemble de Son gouvernement.

Eric : On peut vraiment voir comment le diable a remporté une bataille. En faisant croire aux gens que la loi aurait été « clouée à la croix », ils adhèrent à l'idée que le Sabbat, les Nouvelles Lunes, les Fêtes annuelles, n'étaient que pour les Juifs et ne devraient plus être observés.

Jean : Pire, ils pensent en fait que ça déshonorerait Yahushua s'ils gardaient le Sabbat et les Fêtes annuelles. Ils disent : « Nous sommes sous la grâce maintenant… ».

Eric : – Et c'est le cas.

Jean : Oui, nous le sommes. Mais ça ne signifie pas que nous avons la permission de Yah pour enfreindre ou briser la loi.

Eric : La lettre aux Romains le dit clairement. Romains 6 pose la question : « Quoi donc ! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce ? Loin de là ! » C'est exactement ce que dit Jean le Bien-Aimé dans 1 Jean, chapitre 3 : « Quiconque pèche transgresse la loi, car le péché est la transgression de la loi. »

Jean : On ne peut pas être plus clair ! Romains 6 nous dit aussi : « Le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Yah, c'est la vie éternelle en Yahushua-Christ notre Seigneur. » Réfléchissez-y un instant. Si le « péché » est la transgression de la loi…

Eric : Et 1 Jean 3 nous dit que c'est le cas.

Jean : Exact. Le péché est la transgression de la loi.

Mais si la loi avait vraiment été clouée à la croix et n'était plus en vigueur, comment le péché pourrait-il exister ? La lettre aux Romains a été écrite bien après la mort et la résurrection du Sauveur. Si la loi avait vraiment été « accomplie » ou « supprimée » à la croix, alors il ne serait plus possible d'« enfreindre » la loi, ou de la « briser ». Et pourtant, il est clair qu'à l'époque où Romains a été écrit, le concept du péché était encore bien vivant, puisque Romains 6:23 énonce clairement que le salaire du péché, c’est la mort, tout en nous encourageant en disant que, par contraste, le don de Yah, c’est la vie éternelle !

Eric : Et pourtant le diable a fait croire aux gens qu'un jour d'adoration spécifique n'a plus d'importance parce qu'ils pensent que la loi a été clouée sur la croix.

Jean : C'est ça.

Eric : Ouah. Tu m’as donné beaucoup à réfléchir aujourd'hui. Et, écoutez, les amis, c'est sérieux. Pierre nous a mis en garde : « Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera. » Cet avertissement s'applique aujourd'hui plus que jamais, alors que notre temps s'achève. C’est maintenant, le moment de s'abandonner totalement à Yah.

Rejoignez-nous demain, et d'ici là, rappelez-vous : Yahuwah vous aime et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance en toute sécurité car Il en est digne !

* * *

Fin

Vous étiez à l’écoute de Radio WLC.

Cette émission, ainsi que les épisodes précédents de Radio WLC peuvent être téléchargées sur notre site web. Elles sont parfaitement appropriées pour être partagées avec des amis et pour des études bibliques ! Elles sont également une excellente ressource pour ceux qui adorent Yahuwah seuls à la maison. Pour écouter les émissions déjà diffusés, visitez notre site Web : WorldsLastChance.com. Cliquez sur l'icône Radio WLC affiché sur notre page d'accueil.

Dans ses enseignements et ses paraboles, le Sauveur n'a pas donné de "signes des temps" à surveiller. Au lieu de cela, l'idée maîtresse de son message était : une vigilance constante. Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité, alors que nous explorons divers sujets centrés sur le retour du Sauveur et comment vivre en étant constamment prêt à l'accueillir chaleureusement quand il viendra.

Radio WLC : Enseigne les esprits et prépare les cœurs au retour soudain de Christ.

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