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Préparer les cœurs et les esprits au retour soudain de Yahushua!

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La Signification de l’Eau

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Programme 153

La Signification de l'Eau

Partie 1

Thomas Rolland : Le baptême. Est-ce une cérémonie traditionnelle ? Un symbole important ? Ou un rite démodé ?

Bonjour, je suis Thomas Rolland et vous écoutez Radio World's Last Chance.

Le baptême existe en fait depuis très longtemps. Jean le Baptiste n'a pas été le premier à introduire le baptême. Les Juifs comprenaient le baptême comme un symbole de purification. La Mésopotamie et l'Égypte anciennes, ainsi que certaines religions indigènes des Amériques et de l'Extrême-Orient, pratiquaient toutes diverses formes de baptême.

Pour les chrétiens, cependant, il y a un but très spécifique, un but qui est trop souvent négligé aujourd'hui. Nous allons partager à ce sujet avec Jean Olivier aujourd'hui. Jean ?

Jean Olivier : Bonjour, amis auditeurs. Quand j'étais petit, chaque fois que quelqu'un était baptisé à l'église, ça semblait toujours très spécial. Ça n'arrivait pas très souvent, mais c'était une pause dans la routine typique du service religieux et ça me semblait toujours si fascinant de voir la cuve baptismale remplie d'eau et quelqu'un, généralement un adulte, se faire baptiser.

Thomas : Oui, je peux voir ça. Pour moi, j'ai été élevé dans une église qui pratiquait le baptême des enfants. C'était toujours fascinant à regarder, aussi. Le bébé allait bien… jusqu'à ce que l'eau froide touche sa tête. Ensuite… il y avait imanquablement des pleurs. Je veux dire, c'était prévisible ! Et, en tant qu'enfant, je dois avouer que j'ai toujours trouvé ça amusant. Ce n'était pas très gentil de ma part, je sais. Je suis sûr que c'était stressant pour les mères, mais j'ai toujours trouvé ça amusant.

Jean : Je n’ai pas connu cela, mais je me souviens d’un livre intitulé : Même les Anges Doivent Rire. C'est une sorte de compilation de divers incidents amusants, et vrais, qui se sont produits pendant des services religieux. Apparemment, une église avait installé une grande cuve baptismale dont la façade était en verre, avec deux entrées, une de chaque côté. Or, pour le baptême par immersion totale, s'il y a plusieurs personnes à baptiser, ils font généralement sortir les femmes d'un côté, et les hommes de l'autre, pour qu'ils puissent se changer avec des vêtements secs après.

Eh bien, cette fois-là, un homme s’en s’en rendre compte est sorti du mauvais côté. Le temps qu'il comprenne son erreur, le candidat suivant au baptême était déjà dans la cuve. Il a pensé qu’il serait trop gênant de rentrer à nouveau dans la cuve du côté des dames et de retraverser à pied pour rejoindre le côté des hommes, alors il a imaginé un autre plan à la place.

Thomas : Oh, non ! Est-ce que j'ai vraiment envie d'entendre ça ?

Jean : Haha. Eh bien, nous devons lui donner le crédit de la créativité. Apparemment, il n’y avaiat pas d’autre passage pour faire demi-tour, et dans l’émotion, il avait complètement oublié que la longue cuve batismale était en verre et, pendant que le pasteur plongeait la prochaine personne sous l'eau, il s'est lui-même glissé sous l'eau et a traversé jusqu'à l'autre côté, sous l'eau ! Tout cela à la vue de toute la congrégation qui regardait !

Thomas : Haha. Ça a dû un spectacle !

Jean : Plutôt distrayant, oui !

Thomas : Oui, mais il a gagné un point pour avoir essayé.

Plus sérieusement, j'aimerais parler de l'objectif du baptême. Est-il encore nécessaire ? Ou est-il, je ne sais pas, plus facultatif, peut-être ? La raison de ma question est que j'ai eu une conversation récemment lors d'une réunion de famille. Le cousin de ma femme est pasteur dans une dénomination qui est connue très conservatrice. Je pense que c'est la raison pour laquelle son commentaire m'a tant surpris ; ce n'est pas quelque chose que je m'attendrais à entendre de la part d'un chrétien conservateur. Il a dit que le baptême est juste un rituel qui permet aux croyants d'afficher, ou de déclarer, publiquement leur foi et leurs convictions privées.

Jean : J'ai déjà entendu cela. Tu n'es pas d'accord ?

Thomas : Eh bien, au moins partiellement, oui. Oui, cela donne aux croyants la possibilité de faire une déclaration publique de leur foi. Mais en même temps, c'est plus que ça, et je pense que c'est là que je n'étais vraiment pas d'accord avec lui. Tu vois, je pense sincèrement que c'est nécessaire pour le salut. Lui, par contre, a insisté sur le fait que le baptême est très mal compris si on le prend pour une exigence absolue.

Alors, oui. Je suppose que je cherche un peu de clarté à ce sujet. Comment devons-nous considérer le baptême ? Juste une occasion de faire une déclaration publique sur notre foi ? Ou est-ce quelque chose de plus ?

Jean : Ce sont de bonnes questions. Le point de vue sur le baptême a changé chez certains chrétiens ces dernières années. Alors, voyons ce que la Bible a à dire. Tournons-nous vers Matthieu 28 et lison les versets 16 à 20.

Ce passage est souvent appelé le grand "ordre de mission" car Yahushua y donne à ses disciples les dernières instructions avant son ascension au ciel. C'est après sa crucifixion et il leur dit ce que doit être leur travail. Allons-y, lisons-le. Matthieu 28, versets 16 à 20.

Thomas : "Les onze disciples allèrent en Galilée, sur la montagne que Jésus leur avait désignée. 17 Quand ils le virent, ils se prosternèrent devant lui. Mais quelques-uns eurent des doutes. 18 Jésus, s'étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. 19 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. "

Jean : Nous avons donc ici les instructions de Yahushua aux disciples : "Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, 20 et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit."

Qu'est-ce qu'il fait ici ?

Thomas : Eh bien, il leur dit ce qu'ils doivent faire en tant qu'apôtres. Il définit leur travail.

Jean : Les apôtres ont-ils pris ses paroles comme des "suggestions de carrière" utiles ? Ou les ont-ils pris comme des ordres de mission inspirés ?

Thomas : Eh bien, quand on regarde ce que la tradition dit qu'ils ont fait, je dois dire qu'ils semblent avoir pris les paroles de Christ tout à fait littéralement.

Jean : Bien sûr ! On dit qu'André est allé dans "le pays des mangeurs d'hommes", dans ce qu'on appelle aujourd'hui la Russie. Philippe a apporté l'Évangile en Afrique du Nord et en Asie mineure. Matthieu a exercé son ministère en Perse et en Éthiopie.

Thomas : Thomas était tellement déterminé à suivre les instructions du Sauveur qu'il a porté l'Évangile jusqu'en Inde !

Jean : C'est vrai ! Je dirais donc qu'ils ont tous pris les paroles du Sauveur littéralement, n'est-ce pas ?

Thomas : Oui, c'est ce qu'on dirait.

Jean : Le fait est que, comme nous l'avons dit, les opinions sur l'importance – oserais-je dire, la nécessité – du baptême ont changé. On ne le considère plus comme un élément vital du salut. C'est plus une tradition confortable. Il s'agit certainement d'une déclaration de foi publique, mais aussi, souvent, il faut le dire, un moyen de lier la prochaine génération à votre style d'église préféré.

Thomas : Votre "style d'église préférée" ? À t'entendre, on dirait un magasin de vêtements.

Jean : Tu vois ce que je veux dire.

Thomas : Oui, je vois. Parfois, on dirait que les gens sont plus concentrés sur ce qui divise leurs différentes dénominations que sur ce qui les unit.

Un domaine dans lequel j'ai vu ce changement de mentalité est dans les chansons que nous chantons. Personnellement, j’aime beaucoup les vieux hymnes. Il y a une telle profondeur dans leurs paroles. Certains de mes préférés ont été écrits il y a des centaines d’années !

Les hymnes ont une profondeur que je ne trouve pas dans les chants de louange "modernes". Par exemple, il y a un hymne anglais que William Cowper a écrit en 1770. Le premier verset dit :

Il y a une fontaine remplie de sang,

Provenant des veines d'Emmanuel ;

Et les pécheurs plongés sous ce flot

Perdent toutes leurs taches coupables.

Puis un autre verset dit :

Ô Agneau mourant ! Ton sang précieux

Ne perdra jamais sa puissance,

Jusqu'à ce que tous les rachetés de l'église de Dieu

Soit sauvés, pour ne plus pécher.

Jean : Mmh, c’est magnifique, et rempli de sens. Et tu as raison de dire que beaucoup – pas tous, mais la plupart – des chants de louange et d'adoration modernes n'ont pas cette profondeur qu'on trouve dans les anciens hymnes et cantiques.

Thomas : Les chants modernes sont répétitifs ! Ils ne font que répéter les mêmes mots encore et encore. Mais plus que ça, j'ai remarqué que le baptême n'est pas un sujet sur lequel ils aiment chanter. Ils chanteront sur tout le reste dans les chants de louange, mais pas sur le baptême. C'est le reflet de l'évolution des attitudes à l'égard du baptême.

Jean : C'est vraiment dommage. La vérité est que les gens du passé avaient une compréhension plus correcte du baptême que beaucoup de gens aujourd'hui. Je soutiens que le baptême est une nécessité absolue, et pourtant beaucoup de croyants aujourd'hui adoptent une attitude très désinvolte vis-à-vis du baptême, presque comme s'il était facultatif.

Récemment, je discutais de ce sujet avec des frères chrétiens. Quelqu’un a déclaré avec véhémence que si on comprend vraiment ce qu'il appelle "les Écritures de la Nouvelle Alliance au sujet du baptême", alors on saura que le seul baptême dont nous avons besoin aujourd'hui est d’être baptisé dans la Parole de Yah.

Thomas : Quoi ?

Jean : Oui. Juste : être baptisé "dans la Parole ".

Thomas : Sérieusement. Qu'est-ce que ça veut dire ? C'est une salade de mots qui ne veut pas dire grand chose, surtout que le grand ordre de mission de l'Évangile que nous venons de lire indique spécifiquement que nous devons aller enseigner… et baptiser !

Jean : Je suis d'accord. L'Écriture est très claire : le baptême est plus qu'une option. Allons dans Luc 24, et lisons les versets 44 à 49. C'est le dernier chapitre de Luc. C'est après la mort de Christ. Directement après, il parle de l'ascension de Yahushua. Alors, lisons-le dans le contexte de ce que Matthieu a rapporté des instructions de Yahushua d'aller enseigner toutes les nations, en les baptisant.

Allons-y. Luc 24, versets 44 à 49.

Thomas : Puis il leur dit : C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. 45 Alors il leur ouvrit l'esprit, afin qu'ils comprissent les Ecritures. 46 Et il leur dit : Ainsi il est écrit que le Christ souffrirait, et qu'il ressusciterait des morts le troisième jour, 47 et que la repentance et le pardon des péchés seraient prêchés en son nom à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. 48 Vous êtes témoins de ces choses. 49 Et voici, j'enverrai sur vous ce que mon Père a promis; mais vous, restez dans la ville jusqu'à ce que vous soyez revêtus de la puissance d'en haut.

Jean : Matthieu ajoute le détail qu'ils devaient baptiser ceux qui acceptaient le message de l'Évangile, mais le fait est que ce sont les dernières instructions de Yahushua à ses disciples juste avant son ascension. Il leur dit même d'attendre à Jérusalem le déversement promis de l’Esprit Saint. Ce n'est pas une option. C’est leur ordre de marche.

Maintenant. Nous en venons à la Pentecôte. Quelle attitude les apôtres nouvellement ordonnés – ordonnés le matin même par l'effusion de l’Esprit Saint – ont-ils adoptée vis-à-vis du baptême ?

Actes des Apôtres, chapitre 2, versets 37 à 39. C'est le sermon de Pierre le jour même de la Pentecôte.

Thomas : "Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ? 38 Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Yahushua-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. 39 Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que Yahuwah notre Elohim les appellera."

Jean : Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé.

Thomas : Est-ce que le baptême est nécessaire pour être rempli de l’Esprit Saint ? Je pense que nous sommes tous d'accord pour dire que nous avons besoin du baptême de l’Esprit Saint ! Est-ce que le baptême d'eau est nécessaire pour cela ?

Jean : Eh bien, regardons l'histoire de Corneille. Nous savons tous qu’il était un centurion, centenier romain à Césarée. Il a envoyé des serviteurs demander à Pierre de venir. Pierre a eu une certaine hésitation au départ car, traditionnellement, les Juifs n'entraient jamais dans les maisons des incirconcis. Mais Pierre y est allé, suite à sa vision et aux indications de l’Esprit de Yah. Lisons ce qui s'est passé dans la maison de Corneille. Actes 10.

Thomas : les versets 44 à 48. Il est écrit : "Comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit descendit sur tous ceux qui écoutaient la parole. 45 Tous les fidèles circoncis qui étaient venus avec Pierre furent étonnés de ce que le don du Saint-Esprit était aussi répandu sur les païens. 46 Car ils les entendaient parler en langues et glorifier Yahuwah. Alors Pierre dit : 47 Peut-on refuser l'eau du baptême à ceux qui ont reçu le Saint-Esprit aussi bien que nous ? 48 Et il ordonna qu'ils fussent baptisés au nom du Seigneur. Sur quoi ils le prièrent de rester quelques jours auprès d'eux."

Jean : Remarquez que ce n'est pas parce que ces croyants non-juifs étaient déjà baptisés de l’Esprit Saint que Pierre a décidé que le baptême d'eau n'était soudainement plus nécessaire.

Thomas : Non. En fait, le baptême de l'Esprit a juste donné plus de poids à son argument selon lequel ils devaient être baptisés d'eau !

Jean : C'est vrai. Et c'est la même position que les autres apôtres ont adoptée. Philippe a baptisé l'eunuque éthiopien. Paul et Silas ont eux aussi insisté pour le baptême physique dans l'eau, comme une étape importante et vitale du salut. Allons dans Actes 10 et lisons ce qu'ils ont dit au geôlier de la prison de Philippes après qu'un tremblement de terre ait détaché leurs liens et les ait libérés.

Thomas : Actes 16, versets 29 à 34. Il est écrit : "Alors le geôlier, ayant demandé de la lumière, entra précipitamment, et se jeta tout tremblant aux pieds de Paul et de Silas; 30 il les fit sortir, et dit : Seigneurs, que faut-il que je fasse pour être sauvé ? 31 Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Yahushua, et tu seras sauvé, toi et ta famille. 32 Et ils lui annoncèrent la parole du Seigneur, ainsi qu'à tous ceux qui étaient dans sa maison. 33 Il les prit avec lui, à cette heure même de la nuit, il lava leurs plaies, et aussitôt il fut baptisé, lui et tous les siens. 34 Les ayant conduits dans son logement, il leur servit à manger, et il se réjouit avec toute sa famille de ce qu'il avait cru en Yahuwah."

Jean : Le geôlier était sauvé ! Il a exprimé sa foi dans le Sauveur et a accepté le don du salut. Et pourtant, Paul et Silas l'ont quand même baptisé. Et laisse-moi te dire qu'à l'époque ? La nuit ? Il n'y avait pas de cuve baptismale remplie d'eau préchauffée au coin de la rue. Et pourtant, le baptême a été jugé suffisamment important pour qu'ils le fassent quand même à ce moment-là.

Thomas : Y a-t-il jamais eu des exceptions ?

Jean : Bien sûr qu'il y en a. Les humains sont dogmatiques et se jugent les uns les autres. Pas Yah. Jean 5:22 dit que le Père ne juge personne mais qu'il a donné tout jugement au fils. Et que dit le fils ? Jean 8:11.

Thomas : "Je ne te condamne pas non plus : va, et ne pèche plus."

Jean : Satan est l'accusateur des frères et il pousse les gens à se juger les uns les autres. Juger les autres est un des passe-temps favoris de l'église laodicéenne de la dernière génération. Tu te sens mieux par rapport à tes propres défauts en te comparant aux autres et à leurs défauts, en les regardant de haut et en les jugeant comme étant pire que toi.

Thomas : Alors, quelles sont les exceptions à la règle ?

Jean : Eh bien, évidemment, s'il y a un handicap physique qui pourrait empêcher une personne de se faire baptiser. Pour certains en prison, ils n'en ont peut-être pas le droit. Je l'ai déjà dit et je le répète : Yah lit le cœur humain. Il sait si notre cœur est enclin à obéir… ou à chercher une excuse pour nous soustraire à ce que notre cœur naturel considère comme une corvée désagréable. Tu vois, c'est là que la foi entre dans l'équation. Le voleur sur la croix est un excellent exemple d'une exception due à des circonstances extrêmes atténuantes.

Thomas : Y a-t-il des cas dans lesquels l'aspersion serait acceptable ?

Jean : Peut-être ! Encore une fois, si quelqu'un est vraiment incapable d'être baptisé par immersion et n'a pas d'autre option, alors c'est la foi exprimée dans l'acte qui a de la valeur, pas les détails. Cela dit, je ne crois pas que le baptême des nouveau-nés, ou très jeunes enfants soit acceptable. Le baptême des nourrissons est apparu après l'introduction de la doctrine de l'enfer. Les gens ne voulaient pas qu'un nourrisson finisse dans un enfer brûlant éternellement, alors on les baptisaient rapidement. C'est une pratique très orientée vers les œuvres : fais rapidement ceci pour sauver ton enfant d'une éternité de torture.

Le baptême devrait toujours avoir lieu quand quelqu'un est assez âgé pour faire un choix conscient, pour lui-même.

Thomas : Ok, nous allons faire une courte pause. Nous revenons dans un instant.

* * *

Partie 2

Jean : Nous parlions des exceptions. Jetons un coup d'œil à l'histoire du voleur sur la croix. Lisons-le. C'est dans Luc 23.

Thomas : Oui, verset 39 à 43. Il est écrit : "L'un des malfaiteurs crucifiés l'injuriait, disant : N'es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous ! 40 Mais l'autre le reprenait, et disait : Ne crains-tu pas Yah, toi qui subis la même condamnation ? 41 Pour nous, c'est justice, car nous recevons ce qu'ont mérité nos crimes; mais celui-ci n'a rien fait de mal. 42 Et il dit à Yahushua : Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. 43 Yahushua lui répondit : Je te le dis en vérité aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis."

Jean : Il est important de remarquer ce que dit réellement le deuxième malfaiteur. Son sentiment d'injustice est déclenché quand le premier malfaiteur ridiculise et se moque du Sauveur. Il lui dit, si on paraphrase : " Tu n'as même pas peur de Yah, alors que tu subis exactement la même condamnation ? Et, en plus de ça, notre condamnation est juste parce que nous avons enfreint la loi. Mais lui n'a rien fait de mal !"

Il s'agit donc d'une confession de culpabilité ainsi que d'une réprimande de son compère. Puis, dans sa déclaration suivante, on peut voir sa foi, et c'est magnifique. Il y a là Yahushua, crucifié, flagellé, méconnaissable après les coups et tortures qui lui on été infligées juste avant la crucifixion. Et pourtant, dans cet homme voit en Lui le Messie, son Rédempteur et il met sa foi en mots. Il dit : "Seigneur", en utilisant un titre respectueux, "souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton règne", ou dans ton royaume, dans la King James.

C'est une déclaration de foi magnifique !

Thomas : Ça l'est. Et de toute évidence, le Sauveur a accepté cela comme le mieux qu'il pouvait faire dans ces circonstances, parce que de toute évidence, il ne pouvait pas être baptisé. Il n’allait pas descendre vivant de sa croix.

Jean : C'est vrai. Encore et encore, dans le Nouveau Testament, chaque fois que quelqu'un a demandé comment il pouvait être sauvé, la réponse des apôtres a été claire : "Repentez-toi et sois baptisé." D'après les récits enregistrés dans les Écritures, il est clair que le baptême dont ils parlaient était le baptême d'eau, et non un quelconque et vague "baptême dans la Parole" mystique. Nous parlons là d’une déclaration très simple et très claire : "Repentez-vous et soyez baptisés". Ce n'est pas quelque chose que nous devons spiritualiser.

Thomas : C'est vrai. De plus, quand nous spiritualisons des ordres clairs dans les Écritures, nous nous égarons sur un terrain glissant. Chercher des moyens d'écarter des exigences claires, c'est de la rébellion. De la désobéissance.

Jean : Dans Marc 7:13, Yahushua dit très clairement que nous ne devons pas rendre la Parole claire de Yah sans effet par nos excuses, nos propres explications ou nos traditions.

Thomas : Alors laisse-moi te demander ceci. Maintenant que nous avons vu que le baptême est une exigence littérale, à laquelle nous devons obéir, comment nos péchés sont-ils pardonnés quand nous sommes baptisés au nom de Yahushua ? Je veux dire, ce n'est que de l'eau. Pourquoi – et comment – cela a-t-il un impact si vital… que c'est ce qui fait que nos péchés sont pardonnés ?

Jean : Cela a à voir avec les motivations du cœur. Encore une fois, Yahuwah lit le cœur caché de l’homme, notre être intérieur. Tu es pardonné et purifié de tes péchés quand tu es baptisé parce que… tu obéis… à l’ordred'être baptisé.

Lucifer est tombé par rébellion délibérée. Comment Adam et Eve sont-ils tombés ?

Thomas : Par la rébellion. Enfin, la désobéissance pour être précis, mais c'est toujours de la rébellion.

Jean : Et le contraire de la rébellion, c'est l'obéissance. C’est l'obéissance dans le cœur, le désir du cœur d'honorer Yah en obéissant à Sa parole, qui nous pardonne et nous purifie du péché.

Pierre l'explique, dans 1 Pierre, chapitre 3. Lisons ce qu'il a à dire.

Thomas : 1 Pierre… ?

Jean : 1 Pierre, chapitre 3, versets 18 à 22.

Thomas : Ok, il est écrit : "Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Yah, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l'Esprit, 19 dans lequel aussi il est allé prêcher aux esprits en prison, 20 qui autrefois avaient été incrédules, lorsque la patience de Yahuwah se prolongeait, aux jours de Noé, pendant la construction de l'arche, dans laquelle un petit nombre de personnes, c'est-à-dire, huit, furent sauvées à travers l'eau. 21 Cette eau était une figure du baptême, qui n'est pas la purification des souillures du corps, mais l'engagement d'une bonne conscience envers Yah, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Yahushua-Christ, 22 qui est à la droite de Yah, depuis qu'il est allé au ciel, et que les anges, les autorités et les puissances, lui ont été soumis."

Jean : Le pardon et la purification, qui sont le don de Yah, viennent quand nous nous repentons et désirons vraiment aligner notre volonté sur la volonté divine. Ensuite, nous faisons des efforts déterminés pour obéir, pour respecter la loi, pour mettre notre volonté en harmonie avec la volonté divine. Ça ne signifie pas que, même par la foi, nous sommes soudainement sans péché. Nous avons toujours une nature déchue et donc, tant que nous aurons cette nature déchue, nous trébucherons toujours occasionnellement dans le péché. Mais ça signifie que l'obéissance, l'unité avec le Père est dans nos cœurs.

Si tu lis les prescriptions lévitiques dans l'Ancien Testament, tu trouveras des instructions détaillées sur l'endroit où le sang des sacrifices devait être appliqué.

Thomas : Ah, oui ! Il devait être appliqué sur la base et les cornes de l'autel, c’est ça ?

Jean : Oui, et en Égypte, sur le linteau et les poteaux de la porte. Lors de la purification d'Aaron et de ses fils, le sang a été appliqué sur leurs oreilles droites, leurs pouces droits et leurs gros orteils droits. Toutes ces exigences sont très précises.

Maintenant, laisse-moi te demander quel aurait été le résultat si un Israélite en Égypte avait décidé que peindre le cadre de la porte avec du sang était un peu trop odorant pour lui. Disons qu’il aurait sacrifié l'agneau mais pas appliqué le sang. À ton avis, que se serait-il passé ?

Thomas : Eh bien, je pense que les conséquences auraient été assez tragiques.

Jean : Exact ! Et cela n'était qu'un type. Le sang versé à l'époque était un type, ou un symbole pointant vers le sang de " l'agneau de [Yah] qui ôte le péché du monde ". Alors, maintenant, laisse-moi te demander ceci : si dans le type, le symbole, le sang devait être appliqué, alors dans l'anti-type – l'accomplissement, ou la réalité – pourquoi le sang ne devrait-il pas aussi être appliqué ?

Thomas : Hm. Oui, c'est logique qu'il doive l'être, n'est-ce pas ?

Jean : Et la façon dont il est appliqué, c’est… le baptême. Pourquoi ne voudrais-tu pas que le sang rédempteur de Christ soit appliqué ?

Thomas : C'est vrai. Mais comment, précisément, l'eau du baptême fournit-elle cette purification dont nous avons besoin ? Je veux dire, le fait qu'elle applique le sang montre clairement, sans l'ombre d'un doute, que le baptême, chaque fois que c'est possible, est un acte très important, et pas seulement un rituel inutile et démodé.

Jean : C'est une bonne question et l'Écriture a la réponse. Allons dans Jean 19. C'est le récit de Jean sur la crucifixion. C'est dans Jean que nous apprenons que la crucifixion a eu lieu le sixième jour de la semaine. Or les ennemis de Christ, les Pharisiens, étaient, comme nous le savons, très attentifs à respecter la stricte lettre de la loi. C'était le jour de la préparation et le soleil se couchait. La mort par crucifixion prenait généralement plusieurs jours et ils ne voulaient pas laisser les corps sur les croix pendant le Sabbat, alors ils ont obtenu la permission de hâter leur mort.

Commençons à lire au verset 31. Jean 19:31.

Thomas : "Dans la crainte que les corps ne restassent sur la croix pendant le sabbat,-car c'était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour,-les Juifs demandèrent à Pilate qu'on rompît les jambes aux crucifiés, et qu'on les enlevât. 32 Les soldats vinrent donc, et ils rompirent les jambes au premier, puis à l'autre qui avait été crucifié avec lui. 33 S'étant approchés de Yahushua, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; 34 mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l'eau."

Jean : Du sang et de l'eau. Voilà le "bain purificateur", ou "marée purificatrice", si tu veux, qui était dans l'esprit de Yah depuis l'éternité comme la solution en cas de péché. C'était ce double courant conçu pour montrer Son amour et purifier les pécheurs. Donc, si nous ne comprenons pas la signification de ce double courant et ce qu’il doit accomplir pour nous, nous manquons une partie importante du plan du salut.

Tournons-nous vers Marc 16. Nous avons lu le Grand ordre de mission dans Matthieu, ainsi que la déclaration de Pierre le jour de la Pentecôte. Lisons maintenant ce que Marc a consigné. Marc 16, versets 14 à 16.

Thomas : Voyons voir… c'est après la résurrection de Yahushua. Il est écrit : "Enfin, il apparut aux onze, pendant qu'ils étaient à table; et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur coeur, parce qu'ils n'avaient pas cru ceux qui l'avaient vu ressuscité. 15 Puis il leur dit : Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné."

Jean : Il y a là trois mots que nous avons tendance à survoler mais qui sont importants. Au verset 16. Relisons-le.

Thomas : "Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé…"

Jean : Celui qui croira, ou "celui qui croit" (dans la King James)… et qui sera baptisé ou "est baptisé" (dans la King James). Le baptême est important. C'est le sang de Christ qui apporte le pardon de Yah, mais c'est l'eau du baptême qui nous purifie.

Thomas : Ouah. Tout cela en un seul acte d'obéissance. Tu sais, je n'ai jamais considéré le baptême comme un rituel démodé, mais je ne l'ai jamais vu de cette façon. C'est magnifique !

Jean : ça l'est vraiment. Maintenant, voici autre chose que la plupart des chrétiens d'aujourd'hui négligent ou ne comprennent pas vraiment : le sang ratifie aussi la Nouvelle Alliance. L'ancienne alliance était ratifiée par le sang des animaux, mais la nouvelle alliance est ratifiée par le sang de notre Rédempteur.

Lisons Hébreux 9, versets 19 à 23. C'est un passage intéressant. Hébreux 9:19-23.

Thomas : "Moïse, après avoir prononcé devant tout le peuple tous les commandements de la loi, prit le sang des veaux et des boucs, avec de l'eau, de la laine écarlate, et de l'hysope; et il fit l'aspersion sur le livre lui-même et sur tout le peuple, 20 en disant : Ceci est le sang de l'alliance que Yahuwah a ordonnée pour vous. 21 Il fit pareillement l'aspersion avec le sang sur le tabernacle et sur tous les ustensiles du culte. 22 Et presque tout, d'après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n'y a pas de pardon. 23 Il était donc nécessaire, puisque les images des choses qui sont dans les cieux devaient être purifiées de cette manière, que les choses célestes elles-mêmes le fussent par des sacrifices plus excellents que ceux-là."

Jean : Les sacrifices d'animaux étaient un type qui pointait vers le grand anti-type, Yahushua, l'agneau de Yah. Il était le "meilleur sacrifice" ou "sacrifice plus excellent".

Maintenant, passons à Hébreux 10. Hébreux 10, verset 29.

Thomas : "de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Yah, qui aura tenu pour profane le sang de l'alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l'Esprit de la grâce ? "

Jean : Le sang de Yahushua est ce qui ratifie la Nouvelle Alliance qui permettra à Yahuwah de nous donner de nouvelles natures, non déchues, quand Yahushua reviendra pour établir le royaume de Yah sur terre.

Thomas : Je pense maintenant à un certain nombre de passages des Écritures… qui sont tous en train de prendre vie maintenant. Comme lors de la Pâque, Yahuwah a dit aux enfants d'Israël que lorsqu'il verrait le sang sur leurs portes, il "passerait par-dessus". Et ce que Yahushua a dit à Pierre, lors de la sainte Cène. Pierre ne voulait pas que le Sauveur lui lave les pieds, mais Yahushua a alors expliqué quelque chose d'important. Il a dit : "Si je ne te lave, tu n’auras point de part avec moi."

Jean : C'est vrai ! Il y a tant de profondeur de sens là-dedans !

Passons à Colossiens 3. Ce passage rassemble vraiment le tout. Colossiens 3, versets 1 à 4.

Thomas : Très bien : "Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d'en haut, où Christ est assis à la droite de Yah. 2 Affectionnez-vous aux choses d'en haut, et non à celles qui sont sur la terre. 3 Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Yah. 4 Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire."

Jean : Le sang et l'eau. L'un nous cache avec Christ en Yah ; l'autre nous purifie.

Prenons maintenant quelques minutes pour parler de l’ordre de mission. Allons dans Marc 14 et lisons les versets 22 à 24. Qu'est-il écrit ?

Thomas : "Pendant qu'ils mangeaient, Yahushua prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Prenez, ceci est mon corps. 23 Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous. 24 Et il leur dit : Ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui est répandu pour plusieurs."

Jean : Probablement que tout chrétien vivant comprend la signification du pain et du vin. Ce sont des emblèmes, des symboles du corps et du sang de Christ. Chaque dénomination a une façon de célébrer la sainte Cène.

Dans 1 Corinthiens 11, après avoir parlé de la sainte Cène, Paul pose les bases pour que les croyants continuent cette pratique. Il a écrit : "Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne."

La chose que la plupart des chrétiens ont négligée, cependant, c'est l'importance de ce qui s'est passé avant. Nous l'avons mentionné brièvement, mais lisons-le maintenant dans son contexte. Jean 13, versets 3 à 15.

Thomas : "Yahushua, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu'il était venu de Yahuwah, et qu'il s'en allait à Yahuwah, 4 se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit. 5 Ensuite il versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. 6 Il vint donc à Simon Pierre; et Pierre lui dit : Toi, Seigneur, tu me laves les pieds ! 7 Yahushua lui répondit : Ce que je fais, tu ne le comprends pas maintenant, mais tu le comprendras bientôt. 8 Pierre lui dit : Non, jamais tu ne me laveras les pieds. Jésus lui répondit : Si je ne te lave, tu n'auras point de part avec moi. 9 Simon Pierre lui dit : Seigneur, non seulement les pieds, mais encore les mains et la tête. 10 Yahushua lui dit : Celui qui est lavé n'a besoin que de se laver les pieds pour être entièrement pur; et vous êtes purs, mais non pas tous. 11 Car il connaissait celui qui le livrait; c'est pourquoi il dit : Vous n'êtes pas tous purs. 12 Après qu'il leur eut lavé les pieds, et qu'il eut pris ses vêtements, il se remit à table, et leur dit : Comprenez-vous ce que je vous ai fait ? 13 Vous m'appelez Maître et Seigneur; et vous dites bien, car je le suis. 14 Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres; 15 car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. "

Jean : Parfois, quand nous parlons de la sainte Cène, nous pouvons avoir l'impression qu'ils sont tous entrés en se précipitant dans la chambre haute, qu'ils se sont assis, puis qu'ils se sont regardés d'un air gêné en attendant qu'un serviteur vienne leur laver les pieds. Puis, après que Yahushua ait fait l'acte, qu’ils ont poursuivi avec le repas, mais ce n'est pas comme ça que ça s'est passé. Tu as commencé à lire au verset 3. J’aimerais que tu relises les premiers versets à nouveau, mais cette fois-ci, commençons au verset 2.

Thomas : "Pendant le souper, lorsque le diable avait déjà inspiré au coeur de Judas Iscariot, fils de Simon, le dessein de le livrer, 3 Yahushua, qui savait que le Père avait remis toutes choses entre ses mains, qu'il était venu de Yahuwah, et qu'il s'en allait à Yahuwah, 4 se leva de table, ôta ses vêtements, et prit un linge, dont il se ceignit. 5 Ensuite il versa de l'eau dans un bassin, et il se mit à laver les pieds des disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. "

Jean : "Pendant le souper"… La King James dit même : "Et le souper étant terminé…" voici ce qu'il a fait : il a lavé les pieds des disciples. Le lavage des pieds fait partie du rite commémoratif ! Yahushua lui-même, aux versets 14 et 15, a dit quoi ?

Thomas : "Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres; 15 car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait. "

Jean : Et pourtant, qu'est-ce que la grande majorité des dénominations oublient commodément de faire chaque fois qu'elles organisent une messe ou qu'elles célèbrent la sainte Cène ?

Thomas : Le service de lavage des pieds.

Jean : Le service de lavage des pieds. Et tu sais pourquoi ? Oh… c'est embarrassant. C'est gênant. Devons-nous vraiment toucher les pieds de quelqu'un d'autre ? Certaines églises l'appellent même "l'ordonnance de l'humilité". Mais Yahushua a dit : "vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres; 15 car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait."

La raison pour laquelle le service de lavage des pieds est si important est que c'est cette partie de la commémoration qui symbolise l'eau du baptême. Le pain et le vin représentent le corps et le sang du Sauveur qui apportent le pardon, mais c'est le lavage des pieds qui symbolise la purification de l'eau du baptême.

Thomas : Hm. C'est vrai.

Jean : Vous voyez, ça ne dérange pas satan que nous réclamions le pardon… tant que nous négligeons la partie purification de l'équation. Le sang et l'eau ont tous deux coulé du côté du Sauveur, et il faut à la fois le sang du sacrifice et l'eau purificatrice du baptême. Et les deux sont symbolisés dans le service de la communion et du lavement des pieds.

Mais, dans notre orgueil, nous n'aimons pas laver les pieds les uns aux autres. Nous trouvons des excuses, tout comme beaucoup aujourd'hui ignorent l'importance du baptême. Les deux sont importants et les deux sont nécessaires.

Le lavage des pieds nous rappelle la purification qui vient du baptême. C'est beau et c’est une chose à laquelle nous voulons participer si nous voulons honorer Yahuwah par notre obéissance.

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Courrier des Auditeurs

Thomas : La question d'aujourd'hui pour notre Courrier des Auditeurs nous vient de… la "Ville rose".

Jean : Toulouse ?

Thomas : Bingo ! Une belle ville, avec plus de 2000 ans d’histoire, construite en briques pâles, d’où son nom. Anna-Léa de Toulouse, nous écrit : "Je n'ai découvert vos émissions que récemment, et je les écoute depuis. Mon commentaire (et ma question) concerne les prières à Marie. Je sais que de nombreux protestants affirment que prier Marie est la même chose que de prier une idole. Mais je tiens à préciser qu'en tant que catholique, je ne prie pas Marie. Je prie Dieu, mais je demande à Marie de prier pour moi. En quoi est-ce différent de demander à un ami proche, ou à un membre de la famille, de se joindre à moi pour prier ?"

Jean : Eh bien, tout d'abord, permettez-moi de vous remercier, chère Anna-Léa, pour votre commentaire. Nous devrions toujours faire très attention à être exacts dans toutes les déclarations que nous faisons. Un excellent exemple est celui des chrétiens qui prétendent que les païens adorent des idoles et font des offrandes aux statues.

Thomas : Oui, quand j'étais enfant, ça m'a toujours semblé étrange. Même enfant, je savais qu'un bloc de pierre, de plâtre ou de métal ne pouvait pas voir, ou entendre. Alors pourquoi lui adresser des prières ?

Jean : Mais ce n’est pas vraiment ce que font les païens: ils ne sont pas stupides. Ils ne pensent pas que la statue en plâtre, ou l'idole sculptée, peut réellement voir ou entendre. C'est simplement un symbole qu'ils utilisent pour diriger leur esprit vers le dieu qu'ils vénèrent. On pourrait dire que c'est comme les images de Jésus que beaucoup de gens accrochent chez eux. Ils savent que cette image n'est pas Yahushua, mais ils en aiment la représentation parce qu'elle leur fait penser à lui.

Mais Anna-Léa a raison, et je l'en remercie. Ce n'est pas en exagérant une situation et en argumentant ensuite contre cette exagération, que l'on convaincra qui que ce soit.

Thomas : Sans parler de malentendu, voire de malhonnêteté. Honnêtement, je ne savais pas que les catholiques ne priaient pas Marie. On m'a toujours dit que c’est ce qu’ils faisaient.

Jean : Eh bien, peut-être que certains le font, mais la question d'Anna-Léa est une bonne question : elle demande simplement à Marie de prier pour elle, tout comme tu demanderais à un bon ami de se joindre à toi pour prier. Qu'y aurait-il de mal à cela ?

Il se trouve, néanmoins, qu’il y a plusieurs raisons pour lesquelles nous ne demandons pas à Marie de prier pour nous.

La première, est qu'elle est… morte. Je sais que cela ne fait aucune différence, dans la théologie catholique, mais, Thomas ? Que nous dit l'Écriture au sujet des morts ?

Thomas : Eh bien, Ecclésiaste 9, versets 5 et 6 nous dit : "Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. 6 Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil."

Jean : Merci. Il y a d'autres versets bibliques qui indiquent clairement qu'il n'y a pas de conscience après la mort, mais c'est l'un des plus clairs. Nous n'allons pas entrer dans tout cela maintenant, mais il y a des articles et vidéos sur notre site Web et notre chaîne YouTube qui étudient cela en profondeur. Nous avons aussi un ou deux épisodes radios à ce sujet, alors recherchez-les.

Mais il y a plus. Les Écritures indiquent clairement que seul Yahushua est le médiateur entre Yah et l'homme. Maintenant, Marie était manifestement une femme très pieuse et dévouée. Elle n'aurait pas été choisie pour porter le fils de Yah, autrement ! Elle aimait et honorait Yah, et Yah l'a honorée en faisant d'elle la mère de son fils.

Mais elle était quand même humaine.

Thomas : Dirais-tu que Marie était plus proche de Yahushua que quiconque ?

Jean : Elle était sa mère. Il est clair qu'ils partageaient une relation aimante, d'après les quelques échanges consignés dans les Écritures, après qu'il soit devenu adulte. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que la relation de Yahushua avec Marie avait deux aspects. Premièrement, le lien biologique, familial. Elle était sa mère ; il était son fils. Cependant, le deuxième aspect révèle un lien beaucoup plus étroit. Il était son Sauveur. Le fait qu'elle était sa mère ne change rien au fait qu'il était toujours son Sauveur. Le lien le plus étroit entre eux était que Yahushua était son Sauveur plutôt qu'elle était sa mère.

Lisons Marc, chapitre 3, si tu veux, et voyons comment Yahushua a clarifié sa relation avec Marie. Lisons les versets 31 à 35. C'est un passage important car il clarifie à quel niveau n'importe qui – y compris Marie – peut avoir une relation étroite avec le Sauveur.

Thomas : "Survinrent sa mère et ses frères, qui, se tenant dehors, l'envoyèrent appeler. 32 La foule était assise autour de lui, et on lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors et te demandent. 33 Et il répondit : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? 34 Puis, jetant les regards sur ceux qui étaient assis tout autour de lui : Voici, dit-il, ma mère et mes frères. 35 Car, quiconque fait la volonté de Yahuwah, celui-là est mon frère, ma soeur, et ma mère. "

Jean : Donc ici, nous avons le fondement sur lequel repose la relation de quiconque avec Yahushua. Ceux qui font la volonté de Yah sont ses frères, ses sœurs et sa mère. C'est le fait de coopérer avec lui en accomplissant la volonté divine qui nous lie au Sauveur.

Maintenant, j'aimerais que nous nous tournions vers Hébreux 1. C'est une autre raison pour laquelle nous n'avons pas besoin de prier Marie, ou par Marie, ou de lui demander de prier pour nous. Le sacrifice de Yahushua nous donne un accès immédiat au Père. Lisons Hébreux 10, les versets 19 à 23.

Thomas : "Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire 20 par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair, 21 et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Yah, 22 approchons-nous avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi, les coeurs purifiés d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'une eau pure. 23 Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle."

Jean : Grâce à la mort expiatoire de Yahushua sur la croix, chacun d'entre nous a maintenant un accès immédiat au Père. Bien que nos péchés nous aient séparés de Lui, Son amour pour nous n'a jamais faibli. Par la foi dans le sang de Yahushua, même le pire des pécheurs peut maintenant s'approcher de Yah, pour lui-même, juste par lui-même. Nous n'avons pas besoin de demander à quelqu'un d'autre de prier pour nous.

Thomas : D'accord. Peut-être que nous n'avons pas "besoin" de prier par l'intermédiaire de Marie, mais est-ce si mal de demander à quelqu'un de prier pour nous ? Je veux dire, il faut admettre que certaines personnes semblent obtenir plus de réponses à leurs prières que d'autres.

Jean : Les personnes qui obtiennent le plus de réponses à leurs prières sont celles qui ont appris à prier de façon très spécifique, au lieu de toujours formuler les choses de façon générale. Il existe une science de la prière, pour ainsi dire, et pour ceux qui voudraient en savoir plus à ce sujet, vous pouvez lire nos articles qui traite de cela, regarder nos vidéos ou écouter nos précédentes émissions sur le sujet. Mais Yahuwah nous aime tellement qu'Il a pris en compte le fait que nous ne sommes que des humains. Il sait que nous sommes faibles, et imparfaits…

Thomas : De la poussière.

Jean : Nous sommes de la poussière ! C'est vrai. Mais le Père en tient compte. Lisons Romains 8, les versets 26 et 27. J’aime ce chapitre, mais ces deux versets en particulier sont particulièrement encourageants.

Thomas : Très bien. Il est écrit : "De même aussi l'Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu'il nous convient de demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; 27 et celui qui sonde les coeurs connaît quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est selon Yah qu'il intercède en faveur des saints."

Jean : En d'autres termes, Yahuwah Lui-même nous indique comment prier d'une manière qui Lui donne la voie libre pour répondre à nos prières. C'est dire à quel point Il nous aime et est prêt à entendre et à répondre à nos prières.

Thomas : C'est bien. J'aime. C'est si encourageant ! Je sais que, pour ma part, j'ai parfois eu l'impression que mes prières ne passaient pas parce que je ne disais tout simplement pas les bons mots, ou que je ne suppliais pas assez fort, peut-être. Tu as dit que les personnes dont les prières sont le plus exaucées ont appris à prier… qu'as-tu dit ?

Jean : Plus précisément. Trop souvent, les gens ont tellement peur de demander quelque chose qui pourrait ne pas être la volonté de Yah, qu'ils prient de façon si large, et font des demandes si ouvertes que, même lorsque Yah répond, ils n'ont aucun moyen de le savoir !

Thomas : Oui, mais, il faut avouer : c'est une chose effrayante que d'aller à l'encontre de la volonté de Yah.

Jean : Mais ne penses-tu pas que Yah sait ce qu'il y a dans nos cœurs ? Il ne va pas récompenser la foi de Ses enfants en leur donnant quelque chose qui leur ferait du mal ! Allons dans Matthieu 7. Lisons les versets 8 à 11. Si cela ne donne pas la confiance nécessaire pour prier spécifiquement, je ne sais pas ce qui le fera !

Thomas : "Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. 9 Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain ? 10 Ou, s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? 11 Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent."

Jean : Demandez au Père ce dont vous avez besoin. Demandez-Lui ce que vous voulez. Il n'est pas un distributeur automatique géant dans le Ciel, mais Il veut ce qu'il y a de mieux pour vous et il veut votre bonheur. Il nous a donné toutes les indications qu'Il veut que nous venions à Lui avec nos problèmes, nos peurs, nos luttes et nos joies et victoires. Il veut une relation avec nous, individuellement.

Alors allez vers Lui ! Vous ne pouvez pas Le surcharger. Vous ne pouvez pas Le rendre perplexe. Il vous attend. Il ne s'imposera jamais là où Il n'est pas désiré, mais Il veut une relation personnelle avec chacun de Ses enfants.

Thomas : C'est magnifique, et très inspirant pour la foi.

Continuez à nous envoyer vos questions et commentaires, les amis. Nous aimons avoir des nouvelles de nos auditeurs, que ce soit par les ondes courtes, sur notre site Web, ou sur notre chaîne YouTube. Il vous suffit d’aller sur WorldsLastChance.com et de cliquer sur " contactez-nous ".

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

Le philosophe allemand Arthur Schopenhauer a déclaré: "Toute vérité passe par trois étapes. Premièrement, elle est ridiculisée. Deuxièmement, elle subie une violente opposition. Troisièmement, elle est acceptée comme allant de soi."

Au cours de ces derniers jours de l’histoire de la Terre, la lumière de la vérité augmente. D’anciennes vérités, longtemps enfouies sous de nombreuses suppositions et erreurs, sont en train d'être restaurées. De nouvelles vérités sont données pour préparer un peuple pour le Ciel.

Cela peut être très déroutant! Un livre ou un article bien écrit peut dire une chose, en prouvant son point de vue par la parole de Yah, tandis qu'un pasteur de confiance vous dit quelque chose de complètement différent. Cela peut être effrayant de ne pas savoir à qui faire confiance, ou que croire. En ce temps où tous vents de doctrine sont en train de souffler, vous avez besoin d'une aide que seul Yahuwah peut vous donner.

Il a promis de vous conduire dans toute la vérité. Il ne permettra jamais que ceux qui sont humbles et honnêtes d’esprit s’égarent. Faites-Lui confiance pour vous garder en sécurité pendant que vous étudiez la lumière avancée.

Le Psaume 40 nous assure que Yahuwah est digne de confiance. Il dit:

“J'ai attendu patiemment Yahuwah, mon espérance; Et il s'est incliné vers moi, il a écouté mes cris. Il m'a retiré de la fosse de destruction, Du fond de la boue; Et il a mis mes pieds sur le roc, Il a affermi mes pas. Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, Une louange à notre Créateur; Beaucoup verront cela, et en auront de la crainte, Et ils se confieront en Yahuwah.”

Si vous êtes confus et ne savez que croire, demandez au Père de vous montrer quelle est la vérité. Il ne permettra jamais que vous soyez pris au piège contre votre propre volonté. Il est à vos côtés!

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

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Partie 3

Thomas : Je veux juste dire à quel point je suis reconnaissant de notre discussion d’aujourd'hui, Jean. Il y a tellement plus de choses que je n'avais jamais réalisé auparavant ! J'avais remarqué que les "chants de louange" modernes ont tendance à éviter le sujet du baptême, mais le lien entre le baptême et le lavement des pieds, et le sang et l'eau qui ont coulé du côté du Sauveur est tellement riche de sens. Je n'avais jamais vu tout cela auparavant.

Jean : Tu n'es pas le seule. Beaucoup de chrétiens aujourd'hui ne comprennent pas la signification du sang et de l'eau. Le baptême est d'une importance vitale. Le lavage des pieds est aussi une partie importante du dernier souper, la sainte Cène. Tout cela est significatif. Le sang nous couvre et l'eau nous purifie. Ce sont des cadeaux de l'amour infini.

Les paroles de Pierre au jour de la Pentecôte sont plus importantes que nous n’avions réalisé auparavant. Relisons-les. Actes 2, verset 38.

Thomas : "Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Yahushua-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit."

Jean : "que chacun de vous soit baptisé. . . pour le pardon de vos péchés". C'est une partie importante du plan du salut, et ce n'est pas à nous de dire que ce n'est pas nécessaire.

Robert Lowry était un pasteur américain du 19ème siècle. En 1876, il a écrit un hymne intitulé "Rien que le sang". Les paroles disent :

Qu'est-ce qui peut laver mon péché ?

Rien d'autre que le sang de [Yahushua] ;

Qu'est-ce qui peut me rendre entier à nouveau ?

Rien d'autre que le sang de [Yahushua].

Puis le refrain dit :

Oh ! précieux est le flux

Qui me rend blanc comme neige ;

Je ne connais aucune autre source,

Rien d'autre que le sang de [Yahushua].

Pour mon pardon, voici ce que je vois,

Rien d'autre que le sang de [Yahushua] ;

Pour ma purification, voici mon plaidoyer,

Rien d'autre que le sang de [Yahushua].

Il y a du pouvoir dans le sang, et il y a du pouvoir dans l'eau. C'est le plan du Père pour notre salut.

Thomas : Ça me rappelle les paroles de l'hymne qui est connu comme le "chant d'amour du renouveau gallois". J'aimerais le lire pour clore l'émission d'aujourd'hui. Je pense qu'il aura vraiment du sens après la discussion d'aujourd'hui. Et pendant que je lis, je vous invite à vous représenter ce flux purificateur. Le Sauveur de l'humanité suspendu à la croix, la lance plantée si rudement dans son côté, et les flux jumeaux – le sang et l'eau – qui ont coulé de son côté.

Voici l'amour, vaste comme l'océan

La bonté aimante comme un fleuve

Quand le Prince de la vie, notre rançon

A versé pour nous son précieux sang

Qui ne se souviendrai de Son amour ?

Qui de chanter Ses louanges pourrait cesser ?

Jamais il ne pourra être oublié

Tout au long des jours célestes de l’éternité

Sur le mont de la crucifixion

Des fontaines se sont ouvertes, profondes et larges.

A travers les vannes de la miséricorde divine

Coule une vaste et gracieuse marée

La grâce et l'amour, comme des rivières puissantes

Se déversent sans cesse d'en haut

Et la paix et la justice parfaite du Ciel

Ont embrassé d'amour un monde coupable

Qui ne se souviendrai de Son amour ?

Qui de chanter Ses louanges pourrait cesser ?

Jamais il ne pourra être oublié

Tout au long des jours célestes de l’éternité

Toi seul sera ma gloire

Je ne vois rien d’autre dans ce monde

Tu m'as purifié et sanctifié

Tu m'as toi-même libéré

Le temps est court, les amis. Tournez-vous vers le Sauveur, maintenant. Acceptez le cadeau d'amour de Yahuwah et soyez pardonné et purifié. Il ne vous repoussera jamais. Il a sacrifié Son propre fils pour vous sauver ! Et Il attend avec impatience de vous faire sien.

Nous espérons que vous pourrez vous joindre à nous demain, et en attendant, souvenez-vous : Yahuwah vous aime . . et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance, en toute sécurité, car Il en est digne !

* * *

Fin

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Ce programme, ainsi que les épisodes passés de Radio WLC, sont disponibles en téléchargement sur notre site web. Ils sont parfaits pour partager avec vos amis et pour étudier la Bible ! C'est aussi une ressource merveilleuse pour ceux qui adorent Yahuwah seuls ou à la maison. Si vous souhaitez écouter les programmes de Radio WLC, visitez notre site web à l'adresse WorldsLastChance.com.

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