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Préparer les cœurs et les esprits au retour soudain de Yahushua!

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Le ‘pourquoi’ derrière le mensonge

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Programme 154

Le "pourquoi" derrière le mensonge

Partie 1

Thomas Rolland : Vous a-t-on déjà raconté un mensonge, et vous l’avez cru ? Comment vous êtes-vous senti quand vous avez découvert la vérité ? Blessé ? Trahi ? Avez-vous eu du mal à faire à nouveau confiance à la personne qui vous avait menti ? Avez-vous regretté avoir appris la vérité ?

Bonjour, je suis Thomas Rolland et vous écoutez Radio World's Last Chance.

La plupart d'entre nous apprennent dès l'enfance qu'il est mal de mentir. Mais il y a généralement une raison derrière le fait qu'une personne mente. Aujourd'hui, avec Jean Olivier, nous allons révéler la raison derrière l'un des mensonges les plus largement acceptés dans le christianisme. Jean ?

Jean Olivier : Bonjour, amis auditeurs. Susan Shapiro Barash a écrit un livre intitulé : Petits mensonges et sombres secrets : La vérité sur les raisons pour lesquelles les femmes mentent. Dans l'étude qu'elle a menée pour son livre, elle a découvert que 80 % des personnes qu'elle a interrogées croient que les femmes mentent avec plus de succès et sont plus habiles à le faire que les hommes. Plus de 75 % des femmes qui mentent se sentent justifiées dans leur mensonge, et 75 % des femmes interrogées disent qu'elles mentent au sujet de l'argent à leur compagnon ou mari.

Thomas : C'est intéressant que l'argent soit un sujet sur lequel tant de femmes mentent. Je n'ai jamais mené d'études sur le sujet, mais en me basant uniquement sur l'observation, j'ai longtemps pensé que la plupart des femmes qui mentent à leur mari, le font comme une réponse acquise par réaction.

Jean : Qu’est-ce que tu veux dire ?

Thomas : C'est quelque chose que ma femme m'a expliqué une fois et, quand j'y ai réfléchi, j'ai pu voir ce qu'elle disait. Quand une personne est désavantagée – n'importe quel désavantage – elle apprend à faire ce qui fonctionne dans sa situation. Si une femme ment à propos de l'argent, par exemple, ce n'est pas toujours parce qu'elle le dépense de façon frivole. Peut-être qu'elle ment parce qu'elle a peur de mettre son partenaire en colère, parce qu'elle est plus vulnérable – physiquement, financièrement – alors elle fait ce qui fonctionne à ses yeux. Et qu'il s'agisse d'un comportement appris d'une expérience passée avec son partenaire, ou de la façon dont elle a vu son père se mettre en colère contre sa mère, il s'agit toujours d'une réponse apprise, par son vécu. La peur, par exemple, d'une réponse de colère est en soi une réponse apprise.

En fait, ça fonctionne dans les deux sens. Certaines femmes se mettent aussi très en colère contre leur conjoint. Donc, si vous trouvez que votre femme (ou votre mari) vous ment, la première chose à faire est de vous demander : l'ai-je encouragé(e) à être malhonnête avec moi en faisant en sorte qu'il ou elle ne soit pas en sécurité dans le fait d’être honnête avec moi ?

Jean : Hm. C'est une perspective intéressante. Je peux certainement voir cela dans certaines situations. Pas toutes…

Thomas : Non, pas toutes. Mais suffisamment pour que ce soit un modèle discernable.

Jean : La chose que nous devons tous nous rappeler quand il s'agit de mensonges est que le temps qui passe ne transformera pas l'erreur en vérité.

Thomas : tu peux le redire ?

Jean : Le temps qui passe… ne fera pas de l'erreur… une vérité. Peu importe combien de temps un mensonge a existé, un mensonge reste un mensonge.

Il y a un mensonge qui existe depuis si longtemps que tout le monde, quelle que soit la croyance religieuse, l'a intériorisé. Nous ne sommes même pas conscients qu'il s'agit d'un mensonge car il existe depuis si longtemps qu'il fait partie de notre "normalité". Il existe depuis avant la chute de l’homme.

Thomas : Ouah. Vraiment ? Je savais que nous allions parler du mensonge, mais là, on remonte très loin… Alors, quel est ce mensonge qui existe depuis si longtemps.

Jean : Le mensonge selon lequel : tu n'es pas assez bon.

Thomas : Eh bien, oui. Je veux dire, nous sommes tous des pécheurs ! Aucun de nous n'est assez bon.

Jean : Oui, mais rappelons-nous que : ce mensonge existe depuis avant la chute de l’homme, et qu’il a façonné la façon dont nous nous percevons nous-même, le Créateur et la théologie, depuis lors.

Thomas : Ok. Tu va devoir développer. Je ne vois pas où tu veux en venir.

Jean : Très bien. Lisons-le dans les Écritures. Allons dans Genèse 3 et lisons les versets 1 à 5. Genèse, chapitre 3, versets 1 à 5. Qu'est-il écrit ?

Thomas : "Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que Yahuwah Elohim avait faits. Il dit à la femme : Elohim a-t-il réellement dit : Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? 2 La femme répondit au serpent : Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. 3 Mais quant au fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Elohim a dit : Vous n'en mangerez point et vous n'y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. 4 Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point; 5 mais Elohim sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront, et que vous serez comme Elohim, connaissant le bien et le mal. "

Jean : A ce stade, personne n'avait encore péché. La tentation n'est pas un péché, sinon Yahushua aurait péché puisqu'il a été tenté plus que quiconque. A cet instant, donc, à ce stade de l'histoire, Eve est juste tentée. Mais c'est le mensonge qui a jeté les bases du péché, et c'est le mensonge qui, des millénaires plus tard, a façonné notre vision de la nature même de notre Sauveur.

Thomas : "Vous ne mourrez point" ?

Jean : Eh bien, ce mensonge traîne encore dans la doctrine de l’âme immortelle, ou de la réincarnation : c’est-à-dire, la vie après la mort. Mais ce dont je veux parler, c'est du mensonge qui a été utilisé pour inciter Adam et Eve à pécher, parce qu'Adam n’était pas loin. Nous avons cette idée qu'Eve a cueilli le fruit et l'a apporté à Adam. Verset 6 : "Et la femme vit que l'arbre était bon à manger, et qu'il était un plaisir pour les yeux, et que l'arbre était désirable pour rendre intelligent; et elle prit de son fruit et en mangea; et elle en donna aussi à son mari pour qu'il en mangeât avec elle, et il en mangea."

Mais certaines versions suggèrent qu’il était juste là : "elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d'elle, et il en mangea."

On pourrait donc supposer que Adam était présent, où très près. Dans cette idée, ils auraient tous deux été tentés, ils auraient tous deux péché, mais le point à retenir ici est ce qui les a tentés précisément, et c'est : le mensonge selon lequel ils n'étaient pas assez bons. Que leur a dit le serpent ?

Thomas : Si vous mangez, "vous serez comme Elohim, connaissant le bien et le mal".

Jean : Nous ne savons pas exactement combien de temps cela s'est produit après leur Création. La Bible ne le dit pas. Mais ce que nous savons, c'est que l'humanité a été créée avec la capacité d'apprendre, de grandir et de se développer.

Adam et Eve ont été créés purs et innocents. Bien sûr, il y avait beaucoup de choses qu'ils ne savaient pas. Il y avait beaucoup de choses que le Créateur voulait qu'ils apprennent avec le temps, mais dans leur innocence, et je dirais même, dans leur ignorance, ils étaient parfaits tels qu'ils étaient. Et ils étaient aimés de Yah, tels qu'ils étaient. Nous le savons parce que la Bible nous le dit. Lisons Genèse 1, verset 31. Qu'est-il écrit ?

Thomas : "Elohim vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le sixième jour."

Jean : Ce n’est pas seulement la terre que Yahuwah a déclarée comme étant une chose "très bonne". C'était aussi la race d'êtres qu'Il a créée pour peupler la terre. Pour notre Créateur aimant, Adam et Ève eux-mêmes étaient "très bons". Ils étaient certainement assez bons pour qu'il leur soit donné la domination sur la toute nouvelle Création.

Thomas : Puis le diable est arrivé et leur a dit qu'ils n’étaient pas assez bons. S'ils voulent être plus, ou être mieux, ils devaient pécher.

Jean : Eh bien, il ne l'a pas explicité avec autant de mots, mais c'est définitivement implicite dans son discours tentateur. Il a pointé du doigt leur manque de connaissance et impliqué par cela que Yah serait égoïste : Il leur cachait supposément quelque chose de bon.

Nous savons tous ce qui s'est passé ensuite. Eve a mangé du fruit puis l'a tendu à Adam. Mais avant cela, Adam et Ève étaient satisfaits et je pense que c'est quelque chose que nous ne prenons pas le temps de réaliser. Avant les mensonges du diable, Adam et Eve étaient satisfaits de leur situation.

Thomas : C'est un bon point. Adam et Eve n'avaient pas de problème avec la façon dont les choses étaient avant. Ils ne se sentaient pas démunis ou indignes. Comme tu le dis, ils étaient satisfaits. Écoutez ceci. C'est Genèse 2, verset 25. Il est écrit : "L'homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n'en avaient point honte."

Jean : C'est vrai ! Adam et Eve n'étaient pas parfaits dans le sens d'être exactement comme leur Créateur, personne ne peut être identique au Père ! Ils étaient parfaits dans leur sphère et c'était assez bon pour le Créateur, même très bon, et c'était assez bon pour eux. Ils étaient Ses enfants et Il les aimait et ils étaient heureux d'accepter leur statut et de L'aimer en retour.

Thomas : Je suppose que c'est un peu comme quand on est enfant. Si nous sommes élevés dans un foyer aimant, nous savons instinctivement, évidemment, que nos parents sont plus capables et plus intelligents que nous, mais c'est leur travail de parents. Notre travail consiste à être un enfant, ce qui signifie : travailler à l'école, être assidu dans nos activités si nous en avons, aider à la maison, et nous amuser quand c’est le moment : être un enfant, quoi ! Vous savez en tant qu’enfant que vous n'avez pas autant d'expérience que vos parents, et vous êtes d'accord avec ça.

Jean : Et un parent aimant est d'accord avec ça aussi. Vous attendez naturellement de votre enfant rien de plus que d’être ce qu’il est : encore jeune, naïf et ignorant. Et vous le respectez et protégez pour cette raison. Les enfants n'ont pas encore l'expérience de vie que vous avez acquise. Ils sont en "mode croissance", si je puis dire, et c'est exactement à ce stade que vous attendez qu'ils soient. Vous n’attendez pas plus d’eux à ce stade.

C'est là où Adam et Eve étaient avant la chute. Ils avaient encore beaucoup à apprendre, mais ce n'était pas un problème. C'est un point important que nous avons manqué parce que nous avons été plongés dans la croyance que nous ne serions pas assez bons. Qu'a répondu Yahushua quand le jeune dirigeant riche lui a demandé : "Bon maître, que dois-je faire pour être sauvé ?" ou plus précisément, "Bon maître, que dois-je faire pour hériter la vie éternelle" ? Qu'a-t-il répondu ?

Thomas : "Pourquoi m'appelles-tu bon ? Il n'y a de bon que Yah seul."

Jean : Exact ! "Il n'y a de bon que Yahuwah seul". Il n'y a personne qui sache par nature distinguer le bien du mal, le bon du mauvais. Il n'y a personne qui soit complet dans la perfection, sauf Yahuwah.

Maintenant, bien sûr, Il n'a jamais voulu qu'Adam et Ève apprennent ce qu'ils devaient apprendre en péchant et en se rebellant. Il voulait qu'ils l'apprennent en obéissant avec amour. Mais le point que je veux clarifier, parce qu'il y a des ramifications profondes jusqu'à aujourd'hui dans toutes les religions du monde, c’est que même dans leur innocence juvénile et ignorante, Yahuwah considérait Adam et Ève comme "très bons". Ils étaient parfaits dans leur sphère.

C'est le mensonge du diable selon lequel ils ne seraient pas "assez bons" qui les a incités à essayer de soi-disant "s'améliorer" par la désobéissance et le péché.

Thomas : Et le résultat, bien sûr, c'est la culpabilité ! Nous luttons contre la culpabilité depuis lors.

Jean : Et c'est un sentiment horrible. Avec cette compréhension, voyons comment ce mensonge a affecté Adam et Eve. Genèse 3 verset 6 : "elle en donna aussi à son mari pour qu'il en mangeât avec elle, et il en mangea." Que s'est-il passé ensuite ? Continuons au verset 7.

Thomas : "Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s'en firent des ceintures. "

Jean : Quelle différence ! Dans leur ignorance juvénile et innocente, ils avaient été nus mais n'en avaient pas honte. Mais quand ils ont accepté le mensonge du serpent selon lequel ils n’étaient pas assez bons, ils se sont senti différents. Ils se sont demenés pour essayer de faire… quoi ?

Thomas : De se couvrir.

Jean : De s'améliorer. Lisons les versets 8 à 10.

Thomas : "Alors ils entendirent la voix de Yahuwah Elohim, qui parcourait le jardin vers le soir, et l'homme et sa femme se cachèrent loin de la face de Yahuwah Elohim, au milieu des arbres du jardin. 9 Mais Yahuwah Elohim appela l'homme, et lui dit : Où es-tu ? 10 Il répondit : J'ai entendu ta voix dans le jardin, et j'ai eu peur, parce que je suis nu, et je me suis caché".

Jean : Voilà l’homme, que Yahuwah Elohim a lui-même déclaré "très bon", et tout à coup, il se sent si coupable, si indigne, qu'il se cache. Et pourquoi ? Parce qu'il a accepté le mensonge du serpent selon lequel il ne serait pas assez bon tel qu'il était, tel qu'il a été créé.

Thomas : Hm ! Je n'y avais jamais vraiment pensé de cette façon, mais je vois ce que tu veux dire. Nous luttons tous contre le sentiment de ne pas être assez bons. Peut-être que nous n'avons pas le niveau d'éducation que nous voulions obtenir. Peut-être que nous n'avons pas le travail prestigieux ou le niveau de revenu que nous voulions. Peut-être que nous n'avons pas l’allure ou l’apparence physique que la société considère comme étant la norme de la beauté humaine. Les raisons sont aussi variées que les personnes individuelles. Mais nous luttons tous, à un niveau ou à un autre, contre le fait de ne pas nous sentir suffisamment bien.

La seule chose que je ne saisis pas, c'est l'effet d'entraînement que cela a sur les différentes religions du monde aujourd'hui. Nous devons faire une courte pause, amis auditeurs, mais à notre retour, nous allons aborder cette partie.

Jean : Très bien !

Thomas : A tout de suite.

* * *

Partie 2

Thomas : C'est un concept intéressant pour moi de réaliser que, dès la tentation, avant la chute, l'idée que nous, en tant qu'êtres humains, ne serions pas assez bons, a été inculquée.

Jean : Je pense que si Adam et Ève étaient restés obéissants, et avaient résisté à la tentation, cette idée ne se serait pas installée dans la psyché humaine comme c’est le cas, jusqu’à aujourd’hui. Mais elle s'est accrochée à la race humaine et ne nous a pas lâchés. Et on peut le voir à travers toutes les époques, et dans le monde entier. Voilà le mensonge que nous avons tous accepté : que nous ne serions pas "assez bons".

Thomas : Je vois. Mais comment cela est-il vu, dans les différentes religions du monde ? C'est ce lien que je ne vois pas.

Jean : Revenons à Genèse 3:7 : "Les yeux de l'un et de l'autre s'ouvrirent, ils connurent qu'ils étaient nus." Ça signifie – et nous verrons dans un instant comment cela s'applique aux systèmes de croyance des religions d'aujourd'hui – ça signifie, on peut le penser, qu'ils avaient honte de la façon dont ils avaient été créés. Ils avaient honte des limites naturelles de l'être humain. Yah les avait déclarés très bons et tout à coup, à leurs propres yeux, ils n'étaient plus assez bons. Alors qu'est-ce qu’ils fait ?

Thomas : Ils ont cousu des feuilles de figuier.

Jean : Ils ont essayé, par leurs propres œuvres, de se rendre meilleurs. Ils se sont concentrés sur leurs imperfections et leur incapacité à être comme Yah, même si Yah Lui-même avait prévu qu'ils grandissent dans leur compréhension. Ce n'est pas une mauvaise chose d'acquérir des connaissances, de l'expérience et de la compréhension, mais là, Adam et Ève étaient remplis d'auto-condamnation et d'auto-récrimination.

Et on peux voir ça dans toutes les religions. Bien sûr, les exigences pour s'améliorer diffèrent selon le système de croyance, mais ce sentiment de ne pas être assez bon, de devoir s'améliorer par ses propres efforts se retrouve dans toutes les religions.

Thomas : Oui, je peux voir ça. Dans certaines religions, c’est flagrant la façon dont leurs adeptes doivent travailler, oeuvrer, pour atteindre le nirvana, ou le paradis, ou autre. Les Chrétiens sont peut-être plus subtils à ce sujet, mais ce sentiment est toujours là. Et, en parlant en connaissance de cause, étant moi-même passé par là, je peux dire que les Chrétiens conservateurs, dans toute leur sincérité, sont les plus susceptibles d'essayer de s'améliorer par eux-même.

Ce sentiment aigu de savoir à quel point vous êtes lamentable est très intense chez les chrétiens conservateurs.

Jean : Et que ce soit s’imposant des normes humaines de droiture extrêmement strictes et pharisaïques, ou en essayant de se sentir mieux par toutes les choses qu’on voudrais vraiment, secrètement, faire mais qu’on s’abstient de faire, cette mentalité de ne pas être assez bon, de devoir s’améliorer, est toujours là.

Adam et Eve ont physiquement fui et se sont cachés de Yahuwah, et nous fuyons et nous nous cachons toujours, depuis lors. Les gens ont généralement honte de ce qu'ils sont, les raisons étant aussi variées que les différentes personnes qui ressentent cela.

Thomas : Oui, mais… Je pense qu'il y a beaucoup de facteurs contributifs, n'est-ce pas ? Je veux dire, bien sûr, La religion a fait sa part dans cela, mais ce n'est pas tout. Il y a beaucoup de normes sociétales dégradantes. Si on prend l’exemple des femmes, dans certains pays, aujourd'hui même, des femmes qui sont violées sont punies pour cela, comme si c'était de leur faute. C'est tout simplement terrible et unjuste.

Dans certaines régions de l'Inde – je ne sais pas si c'est encore le cas, mais jusqu'à il y a quelques années, les femmes étaient dispensées de porter un casque en conduisant une moto, ce qui démontre une dévalorisation sous-jacente. Dans de nombreux pays musulmans, comme dans la Cité du Vatican, les femmes n'ont pas le droit de voter.

Jean : Eh bien, cela tend à dévaloriser l'individu. Et les hommes ne sont pas exemptés. Les hommes sont peut-être jugés selon d'autres critères, mais ils sont aussi jugés. Certains n’ont peut-être pas un emploi aussi prestigieux que d’autres, ou ne peuvent pas s'offrir le véhicule le plus récent. J'ai un ami qui est extrêmement bien éduqué, qui parle couramment plusieurs langues et qui gagne bien sa vie. Mais quand nous avons fait connaissance, il m'a "avoué", un peu gêné, qu'il était le plus foncé parmi ses frères et sœurs. Cela n'a rien à voir avec sa valeur en tant que personne, mais il ne se sent pas "assez bon" simplement parce qu'il a un peu plus de mélanine dans sa peau que ses frères et sœurs.

Il est triste de constater que beaucoup de gens ont été élevés dans un environnement toxique, dans lequel leurs parents, en raison de leurs propres insécurités, ont inculqué l'insécurité à leurs enfants. Quelle qu’en soit la raison, nous peinons tous sous ce fardeau de ne pas nous sentir assez bien. Et ça nous empêche de réaliser notre destinée, désignée par Yahuwah.

Thomas : Qui est ?

Jean : Être l'apogée de Sa création ! Le plan de Yahuwah pour notre monde, depuis le tout début, a été de peupler la terre de personnes faites à Son image divine. Il continue à nous encourager à connaître notre valeur à Ses yeux.

Prenons nos Bibles et regardons quelques assurances qu’Il nous donne dans Sa Parole. Il y en a beaucoup, mais nous ne prendrons le temps d'en examiner que quelques-unes. Tournons-nous vers Esaïe 43 et lisons les versets 1 à 7. Esaïe 43:1 à 7. C'est un passage particulièrement intéressant parce qu'ici le Père explique jusqu'où Il est prêt à aller, pour prendre soin de ses enfants.

Thomas : "Ainsi parle maintenant Yahuwah, qui t'a créé, ô Jacob ! Celui qui t'a formé, ô Israël ! Ne crains rien, car je te rachète, Je t'appelle par ton nom : tu es à moi! 2 Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas. 3 Car je suis Yahuwah, ton Elohim, Le Saint d'Israël, ton sauveur; Je donne l'Egypte pour ta rançon, L'Ethiopie et Saba à ta place. 4 Parce que tu as du prix à mes yeux, Parce que tu es honoré et que je t'aime, Je donne des hommes à ta place, Et des peuples pour ta vie. 5 Ne crains rien, car je suis avec toi; Je ramènerai de l'orient ta race, Et je te rassemblerai de l'occident. 6 Je dirai au septentrion : Donne ! Et au midi : Ne retiens point! Fais venir mes fils des pays lointains, Et mes filles de l'extrémité de la terre, 7 Tous ceux qui s'appellent de mon nom, Et que j'ai créés pour ma gloire, Que j'ai formés et que j'ai faits."

Jean : Encore une fois, Yahuwah sait que nous ne sommes que poussière, et Il nous aime quand même ! Même maintenant, après la chute, alors que nous luttons tous avec nos natures héritées déchues, Il nous dit que nous sommes précieux à Ses yeux.

Passons au chapitre 31 de Jérémie et lisons les versets 3 et 4. Jérémie 31:3 et 4.

Thomas : "De loin Yahuwah se montre à moi: Je t'aime d'un amour éternel; C'est pourquoi je te conserve ma bonté. 4 Je te rétablirai encore, et tu seras rétablie, Vierge d'Israël ! Tu auras encore tes tambourins pour parure, Et tu sortiras au milieu des danses joyeuses."

Jean : Yahuwah fera cela. Maintenant même, Il connaît nos manquements et nos luttes, mais Il nous aime quand même, et Il n'attend pas de nous que nous fassions de nous-mêmes ce qu'Il sait que nous ne pouvons pas faire.

L'une des façons dont Il a essayé à plusieurs reprises de nous encourager – et qui a été en grande partie cachée à notre compréhension – est la vérité enseignée à plusieurs reprises dans les Écritures, à savoir qu'Il est Dieu. Il est le Tout-Puissant. Il est notre Créateur et notre Rédempteur. Encore une fois, Il est Dieu. Pas nous.

Thomas : Je sais que nous avons tendance à nous concentrer sur le rôle de Yahushua, mais Esaïe 48:17 dit en fait que Yahuwah est notre Rédempteur. Écoutez, ici. Il est écrit : "Ainsi parle Yahuwah, ton rédempteur, le Saint d'Israël : Moi, Yahuwah, ton Elohim, je t'instruis pour ton bien, Je te conduis dans la voie que tu dois suivre."

Jean : C'est un merveilleux verset. Remarquons que l'ignorance n'est pas une raison pour laquelle nous ne serions pas assez bons. Il est prêt à nous enseigner. Et tu as raison : Yah est notre Rédempteur ultime. À maintes reprises dans les Écritures, Il nous dit qu'il n'y a qu'un seul Dieu, et c'est Lui.

Deutéronome 6:4 : "Ecoute, Israël ! Yahuwah, notre Elohim, est le seul Yahuwah" ou : "Yahuwah notre Elohim est un", dans la King James. Pas trois. Pas trois-en-un. Juste… UN.

Nous n'avons pas à porter le fardeau de la perfection. Il sait que nous ne sommes que des humains et Il n'attend rien de plus ni de moins.

Thomas : Et des humains avec des natures déchues, il faut préciser !

Jean : C'est vrai. Encore une fois, Il sait que nous ne sommes que poussière. Quand Adam et Eve sont tombés, Il avait déjà élaboré un plan pour nous racheter. Ce plan consistait à créer un second Adam. Et une partie intégrante du plan, que la grande majorité du christianisme a perdu de vue, était que ce second Adam devait être pleinement humain. Pas entièrement humain et entièrement divin. Il était pleinement humain. C'est une partie importante du plan du salut. Il était nécessaire que celui qui nous rachète, là où le premier Adam est tombé, soit lui-même pleinement humain.

Donc, encore une fois, le plan de Yah, depuis le tout début, était d'avoir un second Adam pleinement humain pour surmonter là où le premier Adam est tombé.

Paul l'explique dans 1 Corinthiens, chapitre 15. Tu sais, toutes les années d'éducation qu’il a reçues en tant que pharisien ont en fait donné à Paul une solide connaissance de ce que, aujourd'hui, nous appelons l'Ancien Testament. En tant que pharisien, sa focalisation étaient encore erronée, mais plus tard, sous la tutelle de l’Esprit Saint, il a été capable d'établir des liens et de saisir des aperçus théologiques qui étaient vraiment avancés.

Thomas : Ça montre bien que le temps consacré à l'étude de la Bible n'est jamais perdu.

Jean : Non.

Ok, lisons 1 Corinthiens 15, versets 20 à 23. Paul fait ici référence à Christ par un nouveau symbole. Allons-y.

Thomas : "Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts. 21 Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts. 22 Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ, 23 mais chacun en son rang. Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ, lors de son avènement."

Jean : Dans les Écritures, avant chaque récolte, il y avait une récolte de ce qu'on appelait les "prémices" ou "premiers fruits" dans la King James. C'était une offrande de remerciement et elle était toujours offerte à Yah. La Bible énumère en fait plusieurs offrandes de " prémices " différentes, mais le point qu'il est important de noter est que les offrandes de " prémices " étaient toujours composé de la chose pour laquelle le peuple exprimait sa gratitude.

Thomas : C’est-à-dire ?

Jean : Par exemple, si la récolte était une céréale, disons de l'orge, alors, l'offrande des prémices était de l'orge. Ils n'offraient pas de figues, de fleurs ou… que sais-je, à ce moment-là. Si la récolte était de l'orge, ils faisaient une offrande d'orge. Et à mesure que l'année agricole avançait, il y avait d'autres récoltes, et ces récoltes avaient aussi des offrandes de remerciement. Encore une fois, l'offrande des "premiers fruits" ou "prémices" était constituée de ce qui était récolté.

Donc, pour que Yahushua soit les "prémices" de ceux qui seront ressuscités à sa venue, il doit être du même type : pleinement humain. Pas : à la fois pleinement humain et pleinement divin.

Thomas : C'est une corrélation intéressante.

Jean : Le plan du Père a toujours été que le Messie soit du même type que ceux qu'il a rachetés : pleinement humain. En tant que second Adam, il devait être le nouveau premier-né de la race humaine. Grâce à sa mort expiatoire, les gens pouvaient être rachetés, sauvés… pour vivre la vie que Yah a toujours voulu qu'ils vivent : en tant qu’êtres purs et saints, grandissant dans leurs capacités physiques, mentales et spirituelles, se réjouissant dans la sainteté, ici même sur la terre qui a été créée pour être leur maison.

Thomas : Ce concept est vraiment époustouflant pour moi. Ce sentiment que nous ne sommes jamais "assez bons" est si répandu, si large, il fait tellement partie de la condition humaine, je n'ai jamais vraiment pensé à son origine, d’où il venait. Mais j'aime ton point de vue selon lequel le simple fait que nous n'ayons pas encore atteint la pleine maturité, ou la pleine connaissance, ou tout autre chose, ne signifie PAS qu’il nous manque, en quelque sorte, quelque chose. Si c'était le cas, alors il aurait manqué à Christ lui-même quelquechose. Écoutez ceci. C'est Luc 2, verset 52. Luc raconte l'histoire du premier voyage de Yahushua à Jérusalem quand avait 12 ans. Puis le reste de son enfance et de sa jeunesse est résumé en un seul verset. Il est écrit : "Et Yahushua croissait en sagesse, en stature, et en grâce, devant Yah et devant les hommes."

Jean : C’est un exemple parfait : ce n'est pas parce que vous êtes moins que ce que vous serez plus tard, que vous n'êtes pas assez bien.

Voilà le message que Yahushua était si impatient de partager. Voilà l'évangile du Royaume de Yah. Allons dans Matthieu 4 et lisons le verset 17. C'est l’idée directirce du message du Sauveur.

Thomas : "Dès ce moment Yahushua commença à prêcher, et à dire : Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche."

Jean : Et précisément, qu'est-ce que l'évangile du Royaume ? C'est le message suivant : Yahuwah a fourni un Sauveur pour rendre la domination de la terre à la race humaine. Et tous ceux qui se repentent auront l'opportunité de vivre pour sur la terre renouvellée. Et la domination sera restaurée. Le plan original de Yah dans la Création de notre monde et de notre race sera accompli.

Si vous recherchez le message évangélique tissé à travers toutes les Écritures Saintes, vous découvrirez une vérité merveilleusement belle : les êtres humains ne sont pas la prunelle des yeux de Yah parce que nous sommes parfaits. Nous ne sommes pas la prunelle de Ses yeux à cause de notre parfaite obéissance à la loi divine, parce que la justice, la droiture – c’est-à-dire : l'action juste – ne vient pas par les œuvres de la loi.

Thomas : C'est vrai.

Jean : Yahuwah nous trouve aimables et tu sais pourquoi ?

Thomas : Pas vraiment, non !

Jean : Tu vois, là, c'est cette mentalité du " je ne suis pas assez bon " qui ressort. Notre aimabilité, le fait d’être digne d’amour, notre valeur, n'est pas basée sur les œuvres de la loi. Au contraire, Yah nous aime pour qui nous sommes… à cause de qui Il est.

Thomas : Yahuwah nous aime pour qui nous sommes… à cause de qui Il est.

Jean : Il est amour. Donc, nous sommes justifiés simplement par notre croyance active dans les promesses de Yah contenues dans le message de l'Évangile. C'est tout ce que nous pouvons faire, et c'est tout ce que Yah attend de nous.

Thomas : C'est vrai. Paul explique cela dans Romains 4, versets 1 à 3. Écoutez ceci : "Que dirons-nous donc qu'Abraham, notre père, a obtenu selon la chair ? 2 Si Abraham a été justifié par les oeuvres, il a sujet de se glorifier, mais non devant Yah. 3 Car que dit l'Ecriture ? Abraham crut à Yahuwah, et cela lui fut imputé à justice."

Jean : Amein ! C'est l'acceptation des promesses de Yah par la foi qui apporte la justice nécessaire pour hériter du Royaume de Yahuwah. Cela redresse notre pensée, et nous réalisons la valeur inimaginable que nous avons, pour être aimés tels que nous le sommes.

Croire le mensonge que nous ne serions pas assez bons perturbe notre pensée qui, à son tour, perturbe nos attitudes et nos croyances, et influence nos paroles et nos actions. L'évangile du Royaume ouvre une voie pour sortir de ce piège.

Thomas : Ouah. On peut voir pourquoi on l'appelle la "bonne nouvelle" de l'évangile, n'est-ce pas ? Et bien sûr, nous voudrions partager ce message partout où nous le pouvons.

Jean : Bien sûr. Et une partie intégrante de cette bonne nouvelle est que notre Créateur est un seul être, et que notre Sauveur est pleinement humain. Voilà la connaissance que nous devons accepter pour avancer vers notre plein potentiel en tant que bien-aimés de Yah.

Thomas : Oui, je vois ça. Parce que sans cela, nous allons continuer à patauger dans nos tentatives de nous rendre meilleurs, de nous promouvoir auprès de Yah.

Jean : Et nous ne comprendrons jamais la vraie justice par la foi, en faisant cela.

Le fait est qu'aucune des religions du monde ne sera jamais capable d'accepter un Messie pleinement humain parce qu'au fond d'elles se trouve la croyance qu'être humain n'est pas assez bon aux yeux de Yahuwah. Voilà pourquoi la doctrine de la trinité transforme le fils de Dieu en "Dieu le Fils".

D'autres doctrines, comme l'immortalité de l'âme, sont également liées à cette croyance que les humains ne seraient pas assez bons.

Thomas : Comment cela ?

Jean : Eh bien, une partie fondamentale de la croyance en l'immortalité de l'âme est que le corps physique lui-même est corrompu et doit être abandonné à la mort. Mais comment nos corps physiques, qui ont été faits âme vivante par le souffle même de Yah, et que notre Créateur Lui-même a déclaré " très bon ", comment peuvent-ils être mauvais ?

Thomas : C'est un bon point.

Jean : Notre travail en tant que croyants est d'être le porte-parole de Yah. Nous devons apporter la bonne nouvelle de l'évangile du Royaume et la partager avec ceux qui se trouvent dans notre sphère d'influence. Ce message est à la fois simple et profond. Le voici : vous êtes assez bon pour Yahuwah. Il vous accepte tel que vous êtes. En fait, un être pleinement humain s'est déjà vu accorder l'immortalité. C’est Yahushua. Il est le premier fruit, les prémices et ce même don sera accordé à tous ceux qui héritent du Royaume de Yahuwah.

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Radio World's Last Chance! Prépare un peuple pour le retour très proche du Sauveur!

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Courrier des Auditeurs

Thomas : Nous voici de retour ! C'est l'heure de notre Courrier des Auditeurs où nous lisons vos messages qui nous sont envoyés du monde entier.

Jean : Quelle est notre question pour aujourd'hui, Thomas ?

Thomas : Eh bien, voyons voir. Hye Sung – j’espère que je le prononce correctement – Hye Sung à Chungju, en Corée du Sud, a une question très importante que tout le monde s'est posée, je pense, à un moment ou à un autre. Elle écrit : "Cher WLC, les six derniers mois ont été très difficiles pour ma famille et moi. Entre la mort de mes parents, les problèmes de santé et d'autres problèmes encore, je me sens accablée par le chagrin et le sentiment de perte. Cela m'a amené à me demander pourquoi ? Je n'arrive tout simplement pas à me sortir ce questionnement de la tête. Je crois que Yahuwah est un Dieu d'amour. Mais pourquoi, alors, Il permet la souffrance ? Je sais que vous recevez probablement beaucoup de lettres, mais répondez s'il vous plaît, parce que je souffre vraiment beaucoup en ce moment."

Wow, c'est vraiment dur de lire cela. Et je sais moi-même qu’il m’est arrivé plusieurs fois de demander ça.

Jean : Je pense que nous l'avons tous fait, et c'est une bonne question. Mais d'abord, laissez-moi vous dire combien je suis désolé, Hye Sung, pour la douleur que vous vivez, et je vous prie d’accepter mes plus sincères condoléances pour la perte de vos bien-aimés parents. Quand nous "marchons dans la vallée de l'ombre", ce n'est pas seulement effrayant. C'est douloureux. Ça fait réellement mal.

Mais je suis heureux que vous ayez écrit et demandé, parce que, comme l'a dit Thomas, votre question est une très bonne question. C'est une question à laquelle nous pouvons tous nous identifier, à un moment de notre vie.

Thomas : C’est le cas pour moi !

Jean : Il y a quelques points dont nous pouvons nous souvenir. D'abord, Hébreux 4 nous dit : "Nous n'avons pas un Grand-Prêtre qui serait incapable de se sentir touché par nos faiblesses."

En d'autres termes, nous avons un Grand Prêtre qui est touché par nos faiblesses, ou dans la version KJV, par les sentiments de nos infirmités. Ce que nous ressentons, Yahushua le ressent. Et parce que Lui et Son Père sont Un, ce que nous ressentons, Yahuwah le ressent aussi. Ta douleur touche le cœur de Yah !

Thomas : C'est une nouvelle pensée, pour moi, mais c'est très réconfortant. Nous voulons tous savoir que nous ne sommes pas seuls, que quelqu'un comprend, que quelqu'un ressent ce que nous ressentons.

Jean : Et c'est le cas du Père ! Alors quand vous avez mal, quand vous souffrez, sachez que Yahuwah ne se tient pas à l'écart de tout ça. Il ressent aussi la douleur – physique, mentale, psychologique et émotionnelle – que vous ressentez.

Et cela m'amène au point suivant, car si Yah était égoïste, Il interviendrait immédiatement bien sûr, ne serait-ce que pour s'épargner Lui-même la douleur de ressentir nos souffrances. Mais Il n'est pas égoïste. Et c'est pourquoi Il n'intervient pas.

Thomas : Qu'est-ce que tu veux dire ? Peux-tu nous en dire un peu plus ?

Jean : Connais-tu quelqu'un qui est malade mentalement, psychiquement ? Pas de noms, s’il te plait. Est-ce que, en gardant cela dans tes pensées, tu connais, disons, un narcissique (certains parlent de pervers narcissique ou narcissique manipulateur) ? Ou bien, connais-tu quelqu'un avec un trouble de la personnalité (comme selon certains la personnalité borderline, par exemple) ?

Thomas : Euhh… eh bien, oui. Je connais quelques personnes qui correspondent à la définition de narcissique.

Jean : Et qu'est-ce qu'ils ont en commun ?

Thomas : Euh. Eh bien, ils projettent. Les narcissiques accusent les autres d'être ce qu'ils sont.

Jean : Excellent exemple. Oui. Et Satan fait ça aussi. Le diable projette ses propres attributs de caractère sur Yah. Une des choses dont il accuse Yah est d'être arbitraire:

– d'exiger de ses disciples qu'ils se sacrifient, mais de ne pas se sacrifier Lui-même.

– d'être contrôlant et de ne pas permettre le choix personnel.

Tu vois ça ?

Thomas : Oh, totalement ! Satan fait croire aux gens que le Père est froid, dur et impitoyable alors qu'en réalité, c'est le diable lui-même qui est comme ça. Mais comment cela s'applique-t-il à la question posée ? Je ne vois pas le lien.

Jean : Ça s'applique à la question parce que, en un sens, les mains de Yah sont en retrait. Il aime la liberté. Yahwuah ne forcera jamais la volonté humaine. Il permet toujours la liberté de choix.

En fait, la mort de Yahushua garantit notre droit de choisir.

Thomas : Comment ça ? Je veux dire, sa mort nous rachète, mais comment est-ce qu’elle garantit notre droit individuel de choisir ?

Jean : Quand Adam et Eve ont péché, ils ont abandonné la nature divine dans laquelle ils avaient été créés, et ils ont pris la nature de Satan. Cette nature déchue, ils l'ont transmise à chacun de leurs descendants. C'est pourquoi nous disons que la race humaine est déchue : nous avons hérité d'une nature déchue.

Thomas : Très bien. Je te suis, jusque là.

Jean : Ok. Et que dit Romains 6:23 ? "Le salaire du péché, C’EST… ?”

Thomas : "La mort ; mais le don de Yah est la vie éternelle en Yahushua."

Jean : Puisque nous avons tous, chacun de nous, une nature déchue, nous avons tous péché, chacun de nous. Juste quelques chapitres avant dans Romains, il est dit : "Il n'y a pas de juste, non, pas même un seul."

Or, puisque "le salaire du péché, c’est la mort", et que tout le monde a péché, personne n'a la liberté de choix. Nous sommes tous, de façon juste, condamnés à mort. C'est le caractère de Satan qui est illustré ici : pas de liberté de choix, juste la force.

Mais, que dit encore la fin du verset de Romains 6:23 ? "Mais le don de Yah est… ?"

Thomas : "La vie éternelle en Yahushua."

Jean : Absolument. Tu vois, c'est la mort de Yahushua qui garantit à chacun la liberté de choix. Puisque la race humaine a hérité d'une nature déchue, tous ont été perdus. Sans aucun doute. Mais le Père a dit, "Ce n'est pas juste. Ces gens n'ont pas choisi d'hériter de la nature de Satan. Ils sont simplement nés comme ça ! Je veux leur donner une seconde chance."

Et c'est là que Yahushua entre en scène. En sacrifiant son Fils unique, Yahuwah a racheté la race déchue.

Et cela nous reamène directement à la question de Hye Sung. Permettez-moi de vous raconter une histoire pour illustrer : En septembre 2015, un dimanche après-midi, Marco Muzzo a pris l'avion pour rentrer chez lui en Ontario, au Canada, après son enterrement de vie de garçon à Miami, en Floride. On ne sait pas combien de verres il a pris dans l'avion, mais il en a pris quelques-uns, et encore plus la nuit précédente. Après avoir récupéré son 4×4, une Jeep Cherokee, dans le parking de l'aéroport, il a conduit pour rentrer chez lui, en dépassant les limites de vitesse. En route, il a grillé un panneau stop, et il est entré en collision avec un autre véhicule. Le quotidien le National Post a rapporté qu'il était tellement ivre qu'il avait besoin de l'aide d'autres personnes pour maintenir son équilibre, et qu'il était incapable de comprendre les instructions des agents de police.

L'horrible accident a tué un grand-père et trois jeunes enfants, âgés de 9, 5 et 2 ans.

Thomas : C’est horrible ! C’est une tragédie ! Je n'aime même pas entendre de telles histoires. Je ne peux pas m'empêcher de me mettre à la place des parents. Et oui, je suis sûre que je demanderais "Pourquoi ?"

Jean : C'est déchirant. Mais on en revient au libre exercice de la volonté humaine. Personne n'a forcé Marco Muzzo à se mettre au volant d'un véhicule alors qu'il était ivre. Et même, si je puis me permettre, personne ne lui a mis un pistolet sur la tempe et pour lui faire avaler de force de l'alcool jusqu'à ce qu'il soit tellement ivre, que son jugement en soit altéré et qu'il prenne une décision stupide, qui a coûté le vie de quatre personnes, et a changé le cours de sa propre vie. C’est lui qui a fait ces choix, et il en est responsable.

Thomas : Mais d'autres en paient le prix ! En quoi est-ce juste ?

Jean : Tu as raison. Ce n'est pas juste. Mais en se mettant en retrait, et en laissant le péché suivre son cours, la Création toute entière peut observer la gravité du péché, son horreur absolue. C'est pourquoi, quand tout sera fini, le péché ne reviendra jamais plus une seconde fois. Tous auront vu à quel point le péché est vraiment horrible, infiniment mauvais, amenant la souffrance, et en effet, injuste, et personne à travers les cycles illimités de l'éternité ne choisira plus jamais de violer la loi divine.

Tu vois, quand Satan a séduit un tiers des anges pour qu’ils se joignent à lui dans sa rébellion, aucun d’entre eux n'avait jamais été face à un mensonge auparavant. Ils ne savaient pas ce qu'était la tromperie. Ils l'aimaient, ils lui faisaient confiance. Pourquoi pas ? La pureté et la sainteté totale étaient tout ce qu'ils avaient jamais connu. Pour révéler la vérité sans forcer la volonté, Yah devait prendre du recul, se mettre en retrait, et lui donner le temps de se développer.

Thomas : Donc, nous attendons tous que la démonstration soit finie.

Jean : Oh, non. C'était fini à la croix. Maintenant, nous attendons que tout le monde prenne une décision. Une fois que ce point sera atteint, tout sera fini et Yahushua se lèvera et déclarera que c'est fini. C’est écrit dans Apocalypse 22:11. Veux-tu le lire pour nous ?

Thomas : "Que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore." Est-ce que ça veut dire que si quelqu'un n'a pas fait son choix, oups ! Dommage, c'est triste, mais trop tard ?

Jean : Non. Il s'agit simplement d'une déclaration de fait qu’à ce moment-là tous auront pris leur décision. Mais en attendant, oui. Nous vivons dans un monde de péché. De mauvaises choses arrivent à de bonnes personnes. Et souvent, de bonnes choses arrivent à de mauvaises personnes. Ça fait partie de la vie dans un monde de péché. C'est pourquoi Yahuwah n'a jamais voulu que le péché entre dans l'équation.

Thomas : Tout cela a du sens, mais émotionnellement, c'est vraiment difficile à accepter quand c’est vous qui êtes celui qui traverse les épreuves.

Jean : Ça l'est.

Thomas : Nous sommes un peu à court de temps, mais y a-t-il des pensées que tu pourrais nous partager pour inspirer la foi lorsqu’on "marche dans la vallée de l'ombre" ou, peut-être, des promesses auxquelles nous pouvons nous accrocher ?

Jean : Absolument. Dans Joël 2, il y a une très belle promesse. Il est écrit : "Je vous remplacerai [ou je vous rendrai, je vous restaurerai, selon les versions] les années qu'ont dévorées la sauterelle, le grillon, le criquet et la chenille… "

Thomas : Les sauterelles, les criquets font beaucoup de dégâts. Si ils sont assez nombreus, ils peuvent mettre à nu un champ entier, sans rien laisser derrière eux.

Jean : Tout à fait. Une dévastation totale. Autrefois, les gens mouraient de faim quand des invasions de criquets venaient détruire les récoltes de l'année. Mais la promesse divine continue. Peux-tu lire la suite pour nous ? À partir du verset 26.

Thomas : "Vous mangerez à satiété et vous louerez Yahuwah, votre Elohim, qui accomplit pour vous des choses merveilleuses."

Jean : Remarquez bien ça ! Même face à tout ce qu'ils ont perdu, tout sera restauré de telle manière que les rachetés seront tous satisfaits et conviendront que Yahuwah a traité avec eux de manière "merveilleuse". Continuons à lire. Encore un verset.

Thomas : "Et jamais plus mon peuple ne connaîtra la honte. Et vous reconnaîtrez que Je suis, Moi, au milieu d'Israël, et que Je suis Yahuwah, votre Elohim, qu'il n'y en a pas d'autre. Et jamais plus mon peuple ne connaîtra la honte."

Jean : Ça c’est une promesse à laquelle il faut s'accrocher. Il va "restaurer ce que la sauterelle a mangé".

Mais il y a plus. Ma promesse préférée est dans Apocalypse. Retournons au chapitre 21 et lisons le verset 4, si tu veux, Thomas ?

Thomas : Apocalypse 21:4 dit… : "Et la mort ne sera plus; et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni peine, car les premières choses sont passées."

Ah, oui. J'aime ce verset.

Jean : Parfois, les épreuves que nous traversons causent une douleur si profonde qu'on a l'impression de ne même pas pouvoir pleurer, parce que si on commençait, on ne s'arrêterait jamais. Mais cette puissante promesse nous assure que peu importe ce qui nous arrive dans cette vie, Yah essuiera toutes les larmes. Il n'y aura plus de peine, plus de douleur ! "Car les premières choses sont passées."

Thomas : Et il a le pouvoir de faire cela. Souvenez-vous de ça, mes amis. Peu importe ce qui arrive dans cette vie, vous pouvez faire confiance à Yahuwah pour réparer tous les torts, pour restaurer ce que l'ennemi a pris, et pour essuyer toutes les larmes.

Si vous avez des questions ou des commentaires, écrivez-nous ! Rendez-vous sur notre site, WorldsLastChance.com, et cliquez sur l’icône Radio WLC. Nous aimons avoir des nouvelles de nos auditeurs, alors n'hésitez pas. Nous voulons aussi avoir de vos nouvelles.

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

Depuis près de 30 ans, Lori et Russ Kennedy aimaient vivre au pied des magnifiques montagnes de la Sierra Nevada, dans le nord de la Californie. La campagne paisible, les pins imposants qui embaumaient l'air, la faune locale, tout cela contribuait à une tranquillité qu'ils appréciaient vraiment. Récemment, la vie qu'ils chérissaient tant s'est arrêtée net tôt un matin lorsqu'ils ont reçu un appel téléphonique leur indiquant qu'ils devaient évacuer leur maison. Immédiatement ! Un énorme incendie ravageant les montagnes de la Sierra Nevada, dans le nord de la Californie, avait changé de cap et se dirigeait vers eux.

Prenant leurs animaux domestiques et quelques objets personnels, Lori et Russ ont passé les deux semaines suivantes à camper dans des hôtels, s'inquiétant de ce qu'ils trouveraient lorsqu'ils seraient enfin autorisés à rentrer chez eux. Le jour est enfin arrivé. Armés de gants, de bottes de travail, de pelles et de masques pour protéger leurs poumons de la cendre, Lori et Russ ont pris le chemin du retour.

Lorsqu'ils sont arrivés, la vue qui les a accueillis était dévastatrice. Le feu avait brûlé directement sur leur propriété et traversé leur maison. Les biens accumulés au cours de toute une vie : photographies, souvenirs, objets de famille, tout … avait disparu. En triant les décombres, Lori a dû essuyer des larmes à plusieurs reprises. Il y avait un porte-manteau en métal, un plat que son fils lui avait fait, noirci mais intact, juste des bricoles ici et là. C'était comme si rien ne restait de la vie qu'ils avaient travaillé si dur à construire.

Finalement, en fin d'après-midi, ils ont décidé qu'ils avaient fait tout ce qu'ils pouvaient pour une journée. En retournant à la voiture, le coeur brisé, Lori a remarqué que quelque chose était collé à sa botte. En la retirant, elle a découvert un bout de papier. Il était couvert de suie avec des bords brûlés par la chaleur, mais les mots étaient encore lisibles. Il disait : "Si la vie semble difficile, je fais une pause et je réfléchis à la bénédiction qui se cache parfois dans chaque circonstance. Avec une foi et un courage renouvelés, je recommence."

Les mots ont coulé dans son cœur blessé comme de l'eau dans une terre desséchée. En y repensant plus tard, Lori a dit des mots qu'elle avait lus, je cite : "Des mots qui devaient provenir d'un de mes livres, un passage dont je ne me souvenais pas mais qui disait maintenant tout ce que j'avais besoin d'entendre. Des mots qui renaissaient de leurs cendres. J'ai encadré ce bout de papier. Je l'ai gardé sur la table de nuit de chaque hôtel et motel où nous avons séjourné au cours des mois suivants. Il trône maintenant à une place d'honneur dans notre nouvelle maison, un rappel que nous pouvons recommencer." Unquote.

Matthieu, chapitre 5 verset 4 dit : "Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés." Nous aimons croire que rien de vraiment horrible n'arrive jamais aux croyants. Mais la vérité est que nous vivons dans un monde pécheur. Parfois, des choses horribles, voire déchirantes, se produisent. La différence pour les croyants est que nous ne marchons pas seuls. Deuxième Corinthiens, chapitre 1, versets 3 et 4, dit : "Loué soit le Dieu et Père de notre Seigneur Yahushua Christ, le Père de la compassion et le Dieu de tout réconfort, qui nous réconforte dans toutes nos détresses, afin que nous puissions réconforter ceux qui sont en difficulté par le réconfort que nous recevons nous-mêmes de [Yahuwah]."

Peu importe ce qui arrive dans la vie, vous n'êtes pas seul. Votre Père céleste marche à vos côtés. La main tendue pour vous frapper, frappe d'abord la main de Yahuwah qui vous couvre. Cette main pèse la force du coup et seule la partie qui peut être tournée pour votre bien est laissée passer. Lorsque la vie vous accable, vous effraie ou vous brise le cœur, tournez-vous vers le Père céleste. Il ne vous quittera jamais et ne vous abandonnera pas.

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

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Partie 3

Jean : Quand vous rejetterez le mensonge du diable raconté en Eden, à savoir que vous ne seriez pas assez bon aux yeux de Yah, non seulement vous vous sentez aimé et accepté par Yah, mais vous donnez à votre tour ce même amour et cette même acceptation aux autres, pour lesquels Christ est mort. Le message de l'Évangile est un message de guérison. C'est un message d'amour et d'acceptation.

C'est pourquoi nous devons traiter les autres comme Christ l'a fait : avec amour, compassion et acceptation. Pas de critique ou de jugement.

Thomas : Oui. Tu connais ce dicton : "Aimez le pécheur mais détestez le péché" ? J’aimerais dire que toute personne qui reçoit cette phrase ne se sentira jamais aimée. On se sent toujours haïs et rejetés. Ce n'est pas ce que Christ a fait. Il a aimé et accepté les pécheurs, tout comme Yahuwah le fait.

Jean : C'est pourquoi les pécheurs, les publicains, les prostituées, même les soldats romains – les parias de la société de l’époque – ont tous été attirés par le Sauveur. Tournons-nous vers Luc 15 et lisons les deux premiers versets. Cela nous montre, non pas Dieu dans la chair humaine, mais un Messie pleinement humain révélant l'amour que Yah a – l'acceptation que Yah ressent – pour les êtres humains déchus. Et c'est ainsi que nous devons agir, nous aussi. Luc 15.

Thomas : Il est écrit : "Tous les publicains et les gens de mauvaise vie s'approchaient de Yahushua pour l'entendre. 2 Et les pharisiens et les scribes murmuraient, disant : Cet homme accueille des gens de mauvaise vie, et mange avec eux."

Jean : Une fois que vous savez que Yahuwah vous aime et vous accepte tel que vous êtes, alors vous êtes prêt à transmettre ce même amour, et cette même acceptation, aux autres. Vous n'avez pas besoin de resserrer vos robes d'autosatisfaction autour de vous, en disant à quelqu'un : " Je t'aime, mais je déteste ton habitude de boire, ton langage… ou autre, donc je ne peux pas venir dîner chez toi et je ne vais certainement pas t'inviter chez moi. "

Thomas : Oui, nous avons tendance à faire cela, n'est-ce pas ? Quand nous nous sentons inférieurs, ou pas assez bons, le moyen le plus rapide et le plus facile de nous sentir mieux dans notre peau est de démolir quelqu'un d'autre. Mais se construire aux dépens des autres, c'est ce que faisaient les pharisiens, pas ce que faisait le Sauveur.

Jean : Non, et si nous voulons être comme lui, si nous voulons coopérer avec Yah pour répandre la bonne nouvelle de l'évangile – c’est-à-dire : que nous sommes aimés et acceptés – nous vivrons cet amour et cette acceptation.

Pour terminer, lisons une courte parabole. Elle se trouve dans Luc 18, versets 9 à 14.

Thomas : "Il dit encore cette parabole, en vue de certaines personnes se persuadant qu'elles étaient justes, et ne faisant aucun cas des autres : 10 Deux hommes montèrent au temple pour prier; l'un était pharisien, et l'autre publicain. 11 Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : O Dieu, je te rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ou même comme ce publicain; 12 je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. 13 Le publicain, se tenant à distance, n'osait même pas lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. 14 Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l'autre. Car quiconque s'élève sera abaissé, et celui qui s'abaisse sera élevé."

Jean : Vous, que vous soyez, qui que vous soyez, indépendamment de ce que vous avez fait ou dit, ou de ce que vous n'avez pas fait ou dit, vous êtes aimé et accepté par Yahuwah. Si vous laissez votre foi saisir les promesses contenues dans la bonne nouvelle de l'évangile, cela vous sera compté comme justice, tout comme cela a été le cas pour Abraham.

Vous n'avez pas à continuer à peiner sous ce fardeau de penser que vous n'êtes pas assez bon. Yahuwah vous aime, tel que vous êtes. À ses yeux, vous êtes suffisamment bon. Même avec une nature déchue, Il comprend ! Il sait que nous ne sommes que poussière, mais Il nous aime et Il nous accepte quand même.

Thomas : Rejoignez-nous demain, et d'ici là, souvenez-vous : Yahuwah vous aime. . . et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance, en toute sécurité, car Il en est digne !

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Fin

Vous avez écouté la radio WLC.

Ce programme, ainsi que les épisodes passés de Radio WLC, sont disponibles en téléchargement sur notre site web. Ils sont parfaits pour partager avec vos amis et pour étudier la Bible ! C'est aussi une ressource merveilleuse pour ceux qui adorent Yahuwah seuls ou à la maison. Si vous souhaitez écouter les programmes de Radio WLC, visitez notre site web à l'adresse WorldsLastChance.com.

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Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité sur WBCQ, à 9330 kilohertz sur la bande des 31 mètres.

La radio de la dernière chance du monde ! Préparer un peuple au retour prochain du Sauveur !

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