Programme 78

Les Jésuites et la Grande dissimulation du Sabbat

Partie 1

Denis Lefort : Bonjour et bienvenue sur Radio WLC. Je suis votre animateur, Denis Lefort. Jean Olivier se joint à moi, et nous avons un programme des plus intéressant pour vous aujourd'hui !

Jean Olivier : Bonjour à tous nos auditeurs. C'est vrai, Denis. Il s'agit d'un secret caché sous nos yeux. Ou, plus précisément, une tromperie cachée, pourtant sous nos yeux. Une tromperie en fait si… omniprésente que les gens ne réalisent pas que c'est un mensonge, et ils l'acceptent quotidiennement comme un fait.

Denis : Ce sera peut-être votre réaction, d’ailleurs, quand nous entrerons dans la discussion d'aujourd'hui, chers amis. Si c'est le cas, je voudrais vous encourager à garder l'esprit ouvert. Quand quelque chose que nous avons toujours accepté comme un fait évident est remis en question, il est facile de le rejeter immédiatement comme étant faux, sans jamais prendre le temps d'examiner les preuves présentées. Ne faites pas cela, s’il vous plait, avec ce sujet très important.

Comme l'a déclaré le philosophe allemand Schopenhauer, je cite : "Toute vérité passe par trois étapes. D'abord, elle est ridiculisée. Deuxièmement, elle est violemment combattue. Finalement, elle est acceptée comme une évidence."

Jean : Ou, comme le roi Salomon l'a dit : "Celui qui répond avant d'avoir écouté fait un acte de folie et se couvre de honte."

Denis : Oouhh ! Chaud ! Salomon a dit ça ? C'est dans la Bible ?

Jean : Proverbes 18, verset 13.

Denis : Très bien, alors, je m'en souviendrai. Vous avez entendu, les amis ! Ne rejetez pas le sujet d'aujourd'hui simplement parce qu'il contredit ou remet en question une croyance que vous avez longtemps considérée comme un fait.

Mais avant d'entrer dans le vif du sujet, je voudrais dire à nos nouveaux auditeurs qu’à WLC, nous utilisons toujours le nom personnel du Créateur, qui est Yahuwah, ou Yah (en forme courte). Son nom lui-même est une promesse car il vient d'un verbe d’état : le verbe être. Donc, quel que soit votre besoin, Son nom lui-même est une promesse qu'Il sera ce dont vous avez besoin pour votre vie, bonheur et salut.

Le nom du Fils est également une promesse. Le nom du Fils est Yahushua et signifie "Yahuwah sauve".

Jean : La beauté et la promesse qui réside dans le nom divin font tellement partie de la connaissance et de la compréhension de Qui le Père et le Fils sont, que les Écritures nous exhortent à plusieurs reprises à : "Invoquer le nom de Yahuwah". Mais le nom s’est perdu dans la plupart des traductions modernes, qui ont remplacé le nom divin par un titre générique, se réfèrent à Lui comme étant simplement "le Seigneur".

Mais il est important que nous connaissions et utilisions le nom réel de Yahuwah. Donc, à WLC, quand nous lisons des citations qui utilisent des titres génériques, pour faire référence au Créateur, nous prenons la liberté de lire en remplaçant les titres par les véritables noms divins.

Denis : Ok. C'est l'heure de notre grand sujet du jour. Nous avons dit que ce sujet porte sur une tromperie si répandue, que les gens ont pris pour acquis qu'elle serait un fait. Il s'agit du : Sabbat. Maintenant, avant que vous ne décidiez que cela ne vous concerne pas parce que votre pasteur vous a dit que "la loi a été clouée à la croix", permettez-moi de vous dire que ce sujet a des effets d'une immense portée, même pour ceux qui pratiquent leur culte le dimanche. Alors, soyez patients et à l’écoute.

Habituellement, c'est Jean qui partage le maximum d’informations. C'est vraiment un studieux, notre Jean. Mais le sujet d'aujourd'hui est un sujet sur lequel nous avons tous les deux fait des recherches approfondies, donc nous avons tous les deux des points que nous voulons partager avec vous aujourd’hui.

Jean : Pour faire court, et pour que vous sachiez où nous voulons en venir : l'Ordre des Jésuites a été le cerveau derrière quelque unes des plus grandes tromperies de toute l'histoire humaine. Aujourd'hui, nous allons parler d'une seule d'entre elles. Une recherche minutieuse des Écritures, de l'archéologie et de l'histoire, relie les jésuites à la plus récente couche de dissimulation d'un mensonge qui s'étend en fait sur près de 1700 ans. Et ce mensonge, c’est : la croyance largement répandue que le samedi serait le Sabbat du septième jour de la Bible.

Denis : Maintenant, si vous vous demandez ce que cela a à voir avec vous puisque vous adorez "tous les jours", et que, vous allez à l'église le dimanche, je voudrais juste souligner que la seule justification théologique pour le culte du dimanche vient de la croyance – qui est aussi une simple hypothèse, une supposition – que le Sauveur aurait été ressuscité un dimanche. C'est la seule raison que les prêtres et prédicateurs donnent, pour expliquer pourquoi le culte est passé du Sabbat Biblique au dimanche et non pas, disons… au jeudi ou au mardi.

La raison pour laquelle vous devez prêter attention à notre discussion d'aujourd'hui est que ce mensonge a un impact direct sur le jour de votre culte. Par conséquent, c'est un facteur majeur qui contribuera à l'application forcée de la marque de la bête. Alors, réveillez-vous, les amis ! Faites attention, car le sujet d'aujourd'hui impacte tout le monde, sur la terre.

Jean : Ce que nous devons comprendre, c'est que la supposition – ou plutôt, le mensonge – , l’hypothèse répandue selon laquelle le samedi serait le Sabbat Biblique et le dimanche le jour de la résurrection de Yahushua, est bien plus qu'un simple et unique mensonge. Il est en fait basé sur un système entier de falsification et de tromperie. Des mensonges s'entrelacent avec d’autres mensonges et se soutient en un sytème complet trompeur.

Denis : Oui. Leur complexité apparente donne aux mensonges habiles une faisabilité de surface.

Jean : Les Jésuites sont des experts pour cacher la vérité sous de multiples couches de mensonges. Depuis leur tout début, les Jésuites ont institutionnalisé la tromperie. Ils sont à l'origine d'un nombre impressionnant de conspirations maléfiques variées qui s'étendent sur plusieurs générations.

Depuis près de 500 ans, les Jésuites ont coopéré avec des intelligences surnaturelles, démoniaques, dans une vaste conspiration. Ce complot global est bien plus vaste qu'aucun d'entre nous ne l'a jamais réalisé auparavant, et il s'inscrit dans le plan de satan lui-même, pour imposer la marque de la bête à la fin des temps.

Alors, démontons leur mécanisme. Prenons le samedi et étudions à rebours, vers le passé, pour voir pourquoi il s'agit d'une tromperie si épique.

Denis : La piste des Jésuites est un domaine que je n'ai pas étudié autant que toi, Jean. Pourrais-tu nous en dire plus à ce sujet ?

Jean : L'implication des Jésuites a été fondamentale dans cette tromperie qui cache le véritable Sabbat du Créateur et détourne l'adoration de Yahuwah. L'ordre des Jésuites est directement responsable du faux Sabbat du septième jour que nous connaissons aujourd'hui, la samedi, suivi du faux "dimanche" de résurrection.

Denis : Oui, mais comment ? Plus précisément ?

Jean : Plus précisément : le calendrier. Le monde entier est uni dans l'utilisation du calendrier grégorien. C'est le calendrier civil de facto, en pratique, du monde. Puisque la vie des gens est régie par leurs horaires de travail et d'école, leurs jours de culte sont aussi, par défaut, régis par ce calendrier papal.

Denis : Je ne pense pas que la plupart des gens réalisent le rôle important que joue le calendrier dans nos vies, mais c'est le cas. Surtout lorsque nous savons qu'Apocalypse 13 révèle que la confrontation finale, la marque de la bête, sera imposée au sujet du faux culte.

J'ai trouvé une citation intéressante sur le site TempleInstitute.org. C'est le site officiel du temple de Jérusalem. Je cite : "La vraie bataille en Israël est la bataille du calendrier : car celui qui contrôle le calendrier, contrôle les saisons spirituelles de toutes les âmes vivantes."

Jean : c'est vrai. J'ai une autre citation ici. Elle vient de l'érudit Zechariah Sitchin. Elle est tirée de son livre, Quand le Temps a Commencé (When Time Began). Il dit, je cite : "La notion selon laquelle le calendrier a été conçu par et pour les agriculteurs pour qu'ils sachent quand semer et quand récolter a été considérée comme acquise depuis trop longtemps ; elle échoue à la fois au test de la logique et des faits. Les agriculteurs n'ont pas besoin d'un calendrier officiel pour connaître les saisons, et les sociétés primitives ont réussi à se nourrir pendant des générations sans calendrier. Le fait historique est que le calendrier a été conçu pour déterminer à l'avance le moment précis des fêtes honorant les dieux. Le calendrier, en d'autres termes, était un dispositif religieux."

Denis : Hmm. Très perspicace.

Jean : L'Ordre des Jésuites est l'architecte du calendrier grégorien. D'une manière très concrète, ils contrôlent les jours de culte du monde entier. Ils contrôlent et régulent les temps de culte de tous ceux qui calculent leurs jours de culte selon ce calendrier. Ce qui, ironiquement, inclut les trois religions abrahamiques : Les juifs pratiquent leur culte le samedi, la plupart des Chrétiens vont à l'église le dimanche…

Denis : Bien qu'il y ait plus de 500 dénominations Protestantes qui pratiquent aussi le samedi.

Jean : Mais c'est toujours le "samedi" du calendrier papal ! Ce n'est pas le Sabbat de la Bible.

Denis : C'est vrai. Et les musulmans vont à la mosquée pour prier le vendredi.

Tu sais que j’aime les mots, Jean. Eh bien, j'étais curieux de savoir comment le dictionnaire définit le mot "adoration". Il définit l’adoration comme étant, je cite : "L'acte de rendre des honneurs divins à l'Être Suprême, ou, la révérence et l'hommage qui Lui sont rendus dans les exercices religieux." Fin de citation.

En d'autres termes, quiconque contrôle le calendrier, contrôle donc l’adoration, puisqu’il exerce une influence d’autorité, ou dominatrice, sur l’adoration.

Jean : Et n'oubliez pas que les catholiques eux-même déclarent ouvertement que ce contrôle universel des temps de culte est leur signe ou leur marque d'autorité. Lisons quelques citations, tirées des écrits des catholiques eux-mêmes. Écoutez bien ce qu'ils disent ouvertement.

La Revue Catholique Américaine (American Catholic Quarterly Review) a déclaré, je cite : "Le dimanche… est une pure création de l'Église catholique."

La Sentinelle Américaine (American Sentinel), une autre publication catholique, a déclaré, je cite : "Le dimanche… est la loi de la seule Église catholique […]"

La Presse Catholique (The Catholic Press) a déclaré, je cite : "Le dimanche est une institution catholique et son droit à l'observance ne peut être défendu que sur la base de principes catholiques… Du début à la fin des Écritures, il n'y a pas un seul passage qui justifie le transfert du culte public hebdomadaire du dernier jour de la semaine au premier." Fin de citation.

Ce sont les catholiques eux-mêmes qui l'admettent !

Denis : C'est une tromperie qui se cache en plein sous nos yeux, parce que – comme tu l'as dit – cela suppose que le samedi serait le Sabbat du septième jour des Écritures et le dimanche le jour de la résurrection de Christ.

J'ai d'autres citations d'auteurs catholiques qui font également cette supposition, et c'est ce qui est si trompeur.

H. F. Thomas, le Chancelier du Cardinal Gibbons, a dit, je cite : "Bien sûr que l'Église catholique affirme que ce changement (du ‘samedi sabbat’ au dimanche) était son acte… Et cet acte est une marque de son autorité ecclésiastique dans les affaires religieuses."

Une publication catholique appelée le Catholic Record a publié cette citation :

"Le dimanche est fondé non pas sur l'Écriture, mais sur la tradition, et c'est incontestablement une institution catholique. Comme il n'y a aucune Écriture Sainte justifiant le transfert du jour du repos du dernier au premier jour de la semaine, les Protestants devraient garder leur Sabbat le samedi, et ainsi laisser les catholiques en pleine possession du dimanche." Fin de citation.

C'est un mensonge, caché en plein sous nos yeux !

Jean : Oui. C'est le genre le plus efficace de mensonge. Un mensonge caché, bien qu’à la vue de tous, n'est pas remis en question ou analysé de façon critique. Son existence est simplement considérée comme acquise ! Le calendrier moderne est une fraude, et c'est précisément ce qu'il fait, nous présenter un mensonge qui se cache en plein sous nos yeux.

Vous voyez, on suppose que, puisque le temps est continu, le cycle hebdomadaire a dû aussi toujours être continu. Par extension, on suppose donc que la semaine moderne qui commence le dimanche et se termine le samedi a toujours existé.

Denis : C'est là que je veux exhorter nos auditeurs : s'il vous plaît, faites vos propres recherches sur ce sujet. Il suffit de creuser un peu pour découvrir que les faits de l’histoire contredisent cette hypothèse, cette supposition.

En fait, le dernier pays à avoir adopté le calendrier grégorien pour un usage civil a été l'Arabie saoudite… en 2016 ! C'est récent !

Jean : Tout le monde connaît Nicolas Copernic…

Denis : Oui, le savant catholique dont les "théories" sur un globe terrestre ont été utilisées par les Jésuites eux-même pour faire avancer leur programme de la fin des temps.

Jean : Ce que la plupart des gens ne savent pas, c'est qu'il a été approché par une commission papale dès le début du 16^e siècle. Ils voulaient son avis sur la réforme du calendrier.

Denis : Intéressant. Qu'est-ce qu'il a dit ?

Jean : Eh bien, au début, il ne voulait pas répondre. Il leur a dit, en 1514, qu'il ne comprenait pas suffisamment les mouvements du soleil et de la lune, pour tenter une réforme du calendrier. Mais finalement, son ouvrage "Des révolutions des sphères célestes", publié en 1543, a permis à Erasmus Reinhold, en 1554, de concevoir ses tables pruténiques. Celles-ci ont ensuite été utilisées comme base du calendrier grégorien.

Denis : Un autre acteur clé dans le développement du calendrier grégorien était Luigi Giglio. Selon l'Encyclopédie catholique, il a été, je cite : "l'architecte en chef" du calendrier grégorien.

C'était un médecin catholique et professeur de médecine. Ses idées ont été utilisées par le prêtre-astronome jésuite Christopher (ou Christophorus) Clavius, pour le nouveau calendrier.

Jean : Avant de continuer, je voudrais clarifier un point. Le calendrier qu'ils étaient en train de réformer n'était pas le calendrier Biblique. Nous en dirons plus à ce sujet dans un moment. Mais pour l'instant, sachez qu'il s'agissait du calendrier païen julien, établi par Jules César en 45 av. J.-C.

Ce calendrier réformé, donc, a été nommé d'après le pape Grégoire XIII. C'est de là que vient le nom : calendrier "grégorien" ; c'est un dispositif papal, de bout en bout.

Denis : Une chose que la plupart des gens ne savent pas, c'est que lorsque le calendrier grégorien a été introduit pour la première fois, il a été rejeté par les pays Protestants parce qu'ils voyaient en lui une institution catholique.

Une bulle papale, Inter Gravissimas, a été publiée le 24 février 1582. Elle ordonnait au clergé catholique de l'accepter, et exhortait les monarques catholiques à faire de même. À cette époque, les seuls pays qui l'ont accepté étaient : l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la Pologne et la majorité des régions de France.

Jean : Tous les pays catholiques.

Denis : Exact. Il a fallu plus de 430 ans pour que tout le reste du monde l'accepte.

Jean : Ce que tout le monde doit comprendre, c'est que le calendrier du pape, qui est utilisé dans le monde entier aujourd'hui, est un dispositif de contrôle religieux.

Les catholiques eux-mêmes l'admettent ! L'Encyclopédie catholique déclare, je cite : "La réforme du calendrier fut dès le début liée aux conciles généraux, [à savoir] ceux de Nicée ([en] 325), de Constance (de 1414 à 1418), de Bâle ([en] 1431), le cinquième du Latran ([de] 1512 à 1517), et celui de Trente (de 1545 à 1563)."

Denis : Nous n'avons pas vraiment l'habitude de relier les observances religieuses à l'astronomie, mais il y a un lien étroit. Dès le début, les Jésuites ont dominé l'astronomie et d'autres domaines scientifiques étroitement liés.

Jean : Eh bien, prenons la théorie du Big Bang. Elle a été inventée par un prêtre formé chez les Jésuites ! Le père Georges Lemaître. Le fait est que la connaissance de l'astronomie a été essentielle pour les Jésuites. Sans cette connaissance, ils n'auraient pas pu réformer le calendrier, puisque la mesure du temps dépend toujours du mouvement des corps célestes.

Denis : Le calendrier grégorien a été conçu dans un but principal : dissimuler la vérité et perpétrer le mensonge. Il a servi de camouflage supplémentaire pour détourner les chercheurs de vérité dans leurs tentatives de découvrir la vérité. Nous allons en parler un peu plus, juste après notre courte pause. Restez à l'écoute !

* * *

Partie 2

Denis : Ok, dans notre première partie, nous avons discuté du développement du calendrier grégorien. Il a été conçu par un astronome jésuite, et il est la raison principale pour laquelle la plupart des gens aujourd'hui supposent que la semaine que nous utilisons maintenant nous est venue, sans interruption, depuis la Création. Mais regardons cela de plus près. Les faits, encore une fois, vont prouver le contraire.

Jean : La raison pour laquelle la plupart des gens supposent que notre semaine moderne est issue d'un cycle ininterrompu de la Création est simplement que : lorsque nous sommes passés du calendrier julien au calendrier grégorien, aucun jour de la semaine n'a été perdu. Le jeudi 4 octobre 1582 a été suivi du vendredi 15 octobre. Seule le numéro de la date a été modifié, puisque 10 dates ont été supprimées du calendrier. C'est tout.

C'est pourquoi les gens aujourd'hui supposent que le samedi serait le Sabbat Biblique et que le dimanche serait le jour de la résurrection de Yahushua.

Denis : Eh bien, c'est un fait qu’il n'y a pas eu de perte de jours de la semaine quand le calendrier julien est passé au grégorien. Et c'est ce qui déroute la plupart des gens. C'est là qu'ils arrêtent de creuser.

Mais l'extrapolation selon laquelle le fait qu'aucun jour de la semaine n'a été perdu lors de l'adoption du calendrier grégorien "prouverait", en quelque sorte, que le cycle hebdomadaire moderne est resté inchangé depuis la Création, est tout simplement incorrecte.

Cependant, ça crée une diversion qui cache la vérité. Et voici cette vérité : le véritable Sabbat Biblique, tel qu'il était observé par les patriarches, les apôtres et Yahushua, était calculé selon un calendrier différent, avec un cycle hebdomadaire différent.

En fait…

Jean : Eh bien, attends une seconde avant de continuer, Denis. Expliquons ce que nous entendons par cycle hebdomadaire. C'est un point essentiel.

Le calendrier grégorien, comme le calendrier julien avant lui, a un cycle hebdomadaire continu, qui s’enchaîne sans interruption, de 7 jours en 7 jours, perpétuellement. Ça signifie, par exemple, que le mercredi 31 janvier est immédiatement suivi du jeudi 1er février. Ou, si on prend la fin de l'année : Le lundi 31 décembre est immédiatement suivi du mardi 1er janvier de l'année suivante. Il n'y a jamais d'interruption dans la succession des jours de la semaine.

Denis : Ce n'est pas comme ça que ça fonctionnait dans le calendrier Biblique.

Jean : Dans le calendrier de Yah, chaque mois commence par le jour de la Nouvelle Lune. Le lendemain du jour de la Nouvelle Lune, nous avons le premier jour de la première semaine de travail (qui est le 2^e jour du mois, donc), le semain se terminant par un Sabbat du septième jour le 8^e du mois (puisque nous commençons à compter au jour de Nouvelle Lune, qui est toujours le 1er jour du mois). Dans le calendrier Biblique, le Sabbat du septième jour tombe toujours le 8e, 15e, 22e et 29e jour du mois. Les mois ne comptent que 29 ou 30 jours.

Le mois suivant commence de nouveau par un jour de Nouvelle Lune. Le cycle hebdomadaire, de quatre semaines recommence alors, le lendemain du jour de Nouvelle Lune. Ce que cela signifie pour nous aujourd'hui, c'est que le samedi n'est pas le Sabbat du septième jour des Écritures et que le dimanche n'est pas le jour de la résurrection de Christ, car vous ne pouvez pas avoir un cycle hebdomadaire continu comme celui que nous utilisons aujourd'hui et vous attendre à ce qu'il s'aligne sur les jours de la semaine d'un calendrier où le cycle hebdomadaire recommence chaque mois, le lendemain du premier jour du mois. Ça ne peut tout simplement pas s’aligner. Les jours des deux calendriers ne s'alignent pas.

Denis : Merci, Jean. Oui, c'est important à comprendre.

Cette transition du calendrier païen julien, au calendrier du Pape Grégoire, s'est produite il y a plus de 430 ans ! Le poids que l’ancienneté donne aux mensonges, n'est qu'un poids superficiel d'autorité.

Jean : L’ancienneté de ce mensonge est justement la raison pourquoi les gens supposent qu'un cycle hebdomadaire continu serait arrivé à nous sans interruption depuis la Création. Des chercheurs de vérité peut-être sincères, soulignent la transition sans heurts du calendrier julien au calendrier grégorien et ne poussent pas plus loin leurs recherches.

Mais, le calendrier grégorien n'est qu'une couche supplémentaire de tromperie. Si vous enlevez cette couche, vous découvrez… le calendrier julien post-nicéen.

Denis : Un autre calendrier avec un cycle hebdomadaire continu. Les chercheurs de vérité sont donc convaincus d'avoir découvert la vérité !

Jean : Mais pour découvrir la vérité sur le vrai Sabbat et vrai jour de la résurrection de Christ, il faut aller encore plus loin, et continuer à creuser. Encore une fois, le calendrier papal grégorien a été basé sur le calendrier païen julien.

Denis : En fait, Christopher (ou Christiphorus) Clavius, l'astronome jésuite qui a conçu le calendrier grégorien : il l'a admis lui-même ! Dans un livre qu'il a écrit pour expliquer le calendrier grégorien, Clavius a déclaré que lorsque le calendrier julien est devenu le calendrier ecclésiastique de l'Église au Conseil de Nicée, l'Église a délibérément rejeté le calendrier Biblique et adopté le calendrier païen ! C'est énorme !

Jean : Non seulement ça, mais, la semaine moderne, du dimanche au samedi, remonte au Concile de Nicée, bien avant la transition du calendrier de 1582. La semaine, telle que nous la connaissons aujourd'hui, a été normalisée à cette époque, là, au Concile de Nicée, au 4^e siècle de notre ère.

Robert Odom a écrit un livre qui retrace l'acceptation du calendrier païen par l'église chrétienne. Il s'intitule Dimanche dans le Paganisme Romain (Sunday in Roman Paganism). À la page 202, il écrit, je cite : "Les noms païens de la semaine planétaire ont été perpétués dans le calendrier en usage parmi les nations dites Chrétiennes. Chaque fois que nous regardons le calendrier, nous avons devant nous un rappel constant de l'amalgame du paganisme et du Christianisme qui a eu lieu à la suite de la grande apostasie religieuse…"

Denis : Eh bien, voilà. Écoutez, les amis : la semaine planétaire ne vient pas, comme nous l'avons supposé, des Juifs et de la semaine de la Création. Au contraire, elle vient des religions à mystères perses. Franz Cumont était un érudit respecté qui a beaucoup écrit sur les religions à mystères perses. Il a écrit, je cite : "Il ne fait aucun doute que la diffusion des mystères iraniens [perses] a joué un rôle considérable dans l'adoption générale, par les païens, de la semaine avec le dimanche comme jour saint. Les noms que nous employons, inconsciemment, pour les six autres jours, sont apparus en même temps que le mithraïsme gagnait ses adeptes dans les provinces de l'Ouest, et il n'est pas imprudent d'établir une relation de coïncidence entre son triomphe et ce phénomène concomitant." Fin de citation.

C'est une information incroyable ! Notre semaine moderne vient d'une religion païenne !

Jean : Oui. Pour en revenir à Odom, il a vraiment compris la signification de tout ça. Il a écrit, je cite : "Il semble qu'un génie spirituel ayant le contrôle du monde païen ait ordonné les choses de telle sorte que la semaine planétaire païenne soit introduite juste au bon moment pour que le culte du Soleil le plus populaire de tous les temps arrive et exalte le jour du Soleil comme un jour supérieur et plus sacré que tous les autres. Ceci n'est sûrement pas un hasard."

Denis : Oh, oui ! Je voudrais parler d’une autre chose incroyable, en remontant encore plus loin la piste de l’histoire. Ça m'a vraiment époustouflé quand j'ai étudié ce sujet.

Vous ne pouvez pas arrêter vos recherches à l'adoption du calendrier grégorien, les amis. Vous voyez, quand le calendrier julien a adopté la semaine planétaire païenne, la semaine commençait à l'origine le… roulement de tambour ! … le : samedi ! Je répète cette information incroyable : la semaine planétaire commençait à l’origine le samedi, et non le dimanche.

Par conséquent, elle se terminait le vendredi ! Cela a été modifié plus tard, quand le mithraïsme s'est répandu en Occident, et a influencé le Christianisme. Nous avons là la preuve que la semaine telle que nous la connaissons aujourd'hui ne nous est pas parvenue dans un cycle continu ininterrompu depuis la Création.

Jean : J'ai trouvé une autre citation de Franz Cumont qui dit la même chose. Il a écrit, je cite : "La prééminence attribuée au dies Solis [jour du Soleil] a aussi certainement contribué à la reconnaissance générale du dimanche comme jour férié. Elle se rattache à un fait plus important, à savoir l'adoption de la semaine par toutes les nations européennes." Fin de citation.

Ce n'est pas que les premiers Européens n'avaient pas de semaine. Le fait est que la semaine qu'ils utilisaient était différente.

Les Mithraïstes voulaient commencer la semaine le dimanche, en l'honneur de leur dieu soleil, Mithra. C'est à ce moment-là que de nombreux chrétiens, en abandonnant le Sabbat du septième jour calculé par le calendrier Biblique, ont commencé à prier le dimanche également. Cela a été fait en apparence en l'honneur de la résurrection de Yahushua le premier jour de la semaine, mais ce n'était pas le premier jour de la semaine Biblique, et ils le savaient.

Denis : Puisque la semaine Biblique comporte sept jours et que les semaines julienne, et maintenant grégorienne, durent également sept jours, je peux comprendre que les gens aient supposé que la semaine d'aujourd'hui proviendrait de la Création. Mais, comme tu l'as dit plus tôt, si on remonte au début du calendrier julien, les faits sont clairs : la semaine d'aujourd'hui provient des religions païennes à mystères, et non de la Bible.

Une autre chose que j'ai été surpris d'apprendre – et on ne nous apprend pas ce genre de choses à l'école – c'est que : le premier calendrier julien avait en fait une semaine de huit jours ! Elle ne comptait pas sept jours. La semaine comptait en fait huit jours ! Ils désignaient les jours par les lettres A à H.

Jean : On sait que les Juifs de l'époque de Yahushua n'auraient jamais célébré leur culte le septième jour d'une semaine de huit jours !

Denis : C’est clair ! C'est ce que j'allais dire. Ils utilisaient toujours le calendrier de Moïse, le même calendrier luni-solaire qui avait été transmis depuis la Création.

Les apôtres et les premiers Chrétiens pratiquaient tous le Sabbat du septième jour du calendrier Biblique, bien qu'au deuxième siècle, certains Chrétiens aient été suffisamment influencés par le mithraïsme pour pratiquer le culte le samedi ou le dimanche de la semaine païenne planétaire.

Jean : Parlons un peu de cette transition. Nous n'avons pas l'habitude de penser que les premiers Chrétiens pratiquaient leur culte à différents jours calculés selon différents calendriers, mais c'est exactement ce qui s'est passé jusqu'au Concile de Nicée.

Et c'est à ce moment-là, au Concile de Nicée, que l'ancien calendrier a été mis de côté. Le concile a décrété que le calendrier païen julien devait être utilisé pour toutes les observances religieuses. Certains Chrétiens ont essayé de protester, mais ils ont finalement perdu car le concile était soutenu par la puissance impériale de Constantin Ier.

Denis : Quand on s'arrête pour réfléchir à ce que cela signifie pour les Chrétiens, les ramifications en sont énormes, et terribles : Ni les Chrétiens, ni les Juifs, ni les Protestants, ni les catholiques n'honorent Yahuwah en L’adorant sur Ses jours saints. Et je ne parle pas seulement du Sabbat. Je parle aussi du vrai jour de la résurrection. Ce n'est pas le dimanche.

Jean : Tu as étudié plus ce sujet sous l’angle juif, Denis. Est-ce que tu penses que les Juif laïcs savent que le samedi n'est pas le Sabbat originel ?

Denis : C'est une bonne question. Honnêtement, je ne sais pas. Mais je sais que les érudits juifs, eux, connaissent la vérité. Il y a beaucoup de citations dans les écrits des érudits juifs que nous n'avions pas comprises parce que nous avions tous supposé que les Juifs n'auraient jamais pratiqué leur culte un autre jour que le véritable et ancien Sabbat. Mais quand on commence à étudier ce sujet, on se rend vite compte que cette supposition est fausse.

Par exemple, l'une des citations les plus claires que je connaisse provient d'une édition du début du 20e siècle de l'Encyclopédie juive universelle.

Il est écrit, je cite : "La Nouvelle Lune est toujours, et le Sabbat était à l'origine, dépendants du cycle lunaire… À l'origine, la Nouvelle Lune était célébrée de la même manière que le Sabbat ; progressivement, elle a perdu de son importance tandis que le Sabbat est devenu de plus en plus un jour de religion et d'humanité, de méditation et d'instruction religieuse, de paix et de plaisir de l'âme."

Jean : Nous n'avons pas ça aujourd'hui : il n'y a pas de jour de "Nouvelle Lune" dans le calendrier grégorien solaire.

Denis : C'est vrai ! Et sans les Nouvelles Lunes, on ne peut calculer ni le vrai Sabbat, ni le vrai jour de la résurrection de Yahushua. Il ne nous reste que des jours de culte païens, calculés par un calendrier papal qui, lui-même, est une adaptation d'un calendrier utilisé par les adorateurs païens du soleil !

Il n'y a qu'une seule et unique façon de trouver le véritable Sabbat de Yah : c'est en utilisant le calendrier des Écritures – le calendrier même établi à la Création. C'est un calendrier luni-solaire. Ce n’est pas le calendrier solaire des catholiques et des païens.

Jean : J’aimerais revenir au sujet des Jésuites. Depuis près de 500 ans, satan a travaillé à travers eux pour faire avancer son programme. Le calendrier grégorien a ajouté encore une autre couche de tromperie. Il cache la vérité sur le calendrier Biblique et le Sabbat originel de la Création. Leur intention était de l'enterrer si profondément que cette vérité ne serait jamais découverte et restaurée.

Denis : Ce qui, bien sûr, prépare les gens à recevoir la marque de la bête. Si vous pensez que la marque de la bête est une puce RFID implantée, vous ne comprendrez pas la signification de la vraie marque de la bête, quand elle sera appliquée par la loi des hommes.

Jean : C’est ça. Et voilà le programme de satan, mis en œuvre par les Jésuites.

Satan a commencé sa campagne pour diminuer la capacité de réflexion de la population en général, pour niveler par le bas, pour ne pas dire abêter, l’intellect des gens, qu’ils ne puissent plus penser, réfléchir par eux-même. Cette campagne a commencé avec la formation de l'ordre des Jésuites, au moment même où les vérités divines étaient restaurées par la Réforme Protestante. Les Jésuites sont connus dans le monde entier pour trois choses : 1) leur zèle missionnaire impitoyable ; 2) leur présence dans le domaine de l'astronomie ; 3) leur système éducatif.

Denis : Eh bien, oui. Quiconque est prêt à examiner les preuves disponibles, verra le programme diabolique des Jésuites derrière leur calendrier contrefait.

Ce n'est pas une coïncidence si le calendrier grégorien a été créé au cours du même siècle où l'église catholique a établi l'ordre des jésuites. Ça n'a fait qu'ajouter une couche supplémentaire de tromperie. Ça a renforcé l'hypothèse selon laquelle le cycle hebdomadaire moderne continu aurait toujours existé.

Jean : Donc, toute preuve démontrant que le samedi n'est pas le Sabbat de la Bible est immédiatement rejetée comme impossible.

Denis : On voit ça souvent, quand on essaye de partager cette vérité avec les gens : tout ce qu’ils font, c'est pointer vers 1582. Ils soulignent le fait qu'aucun jour de la semaine n'a été perdu quand le calendrier julien est passé au grégorien… et c’est censé être accepté comme une preuve que la semaine d'aujourd'hui a été transmise sans interruption depuis la Création. Mais c'est un raisonnement circulaire. C'est comme si je disais que la semaine d'aujourd'hui vient sans interruption depuis la Création… puisque le cycle hebdomadaire n'a jamais été interrompu. C'est un raisonnement circulaire ! Et c’est faux, justement. Ça ne tient pas, donc, comme raisonnement.

Jean : Eh bien, ça va de pair avec un autre morceau de raisonnement circulaire qui est l’habitude de dire que : "Les juifs adorent au Sabbat, donc… le samedi est le Sabbat Biblique puisque c'est le jour où les juifs adorent".

Restons logiques, les amis ! La preuve est là, sous nos yeux ! Et elle ne soutient pas un Sabbat du samedi ou une résurrection du dimanche.

Denis : Le problème est que cette hypothèse est devenue si profondément ancrée que personne ne s'arrête plus pour la remettre en question ! C'est juste une "connaissance" supposée communément acquise.

Jean : Mais c'est un mensonge. Le problème est que si vous suggérez quelque chose de différent, les gens peuvent avoir tendance à se moquer. La pression des pairs peut être un véritable obstacle à la libre pensée, à un raisonnement sain et indépendant. Mais c'est exactement ce que nous devons faire si nous voulons bénéficier de la connaissance accrue que le Ciel déverse en ce moment-même.

Nous ne nous attendons pas à ce que vous nous croyiez sur parole, amis auditeurs. Mais s'il vous plaît, ne rejetez pas cela comme faux avant de vous être assis pour examiner les preuves par vous-même. Ce sujet est trop important pour se tromper, sans y consacrer un moment sincère.

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Courrier des Auditeurs

Denis : Le programme d'aujourd'hui est un peu lourd. C'est important, mais j'ai pensé que nous pourrions bénéficier d’un rappel de la raison pour laquelle nous désirons suivre Yahuwah quel qu’en soit le coût.

Nous avons reçu une question fantastique d'un jeune homme de Fremantle, en Australie. Patrick nous écrit : "Cher WLC : J'ai 10 ans et ma famille fait l’église à la maison. Chaque Sabbat, nous écoutons l'un de vos programmes radio sur votre site Web. Ma sœur et moi aimons aussi beaucoup l’histoire du Voyage du Pèlerin. Je sais que le Voyage du Pèlerin est une histoire inventée qui donne une leçon, mais ça m'a amené à me demander à quoi ressemblera vraiment la vie dans la nouvelle terre. Est-ce que la Bible le dit ? Est-ce qu’il y a un moyen de savoir comment ce sera vraiment là-bas ? Merci. Signé : Patrick."

Jean : J'aime ta question, cher Patrick, et je suis content que tu l'aies posée. Certaines personnes hésitent à donner l'impression que ce que la Bible dit à ce sujet est vraiment réel… comme si, cela rendait la chose… je ne sais pas. Pas assez saint, je suppose.

Mais la vérité, c'est que Yahuwah veut que nous sachions ! Il veut que nous soyons enthousiastes à ce sujet.

Denis : Il veut que nous ayons envie d'y aller.

Jean : Exactement ! Quand mon fils avait quelques années de plus que toi, Patrick, il a posé une question similaire. Il a dit : "Papa, est-ce qu'on va pouvoir faire quelque chose d'amusant sur la Nouvelle Terre ? Ou est-ce que ça va être comme un long service religieux ?"

Denis : Eh bien, tu sais, c'est une bonne question, en fait !

Jean : La Bible nous donne quelques indices sur la vie dans la nouvelle terre. Nous savons que la Nouvelle Jérusalem descendra du Ciel. C'est la ville qui est la maison de Yah, et la maison de tous les saints anges. Elle sera aussi la maison des rachetés pour toute l'éternité. Ce sera la ville capitale de la nouvelle terre. Il faut noter que pendant les 1000 premières années (appelées Millénium ou Millénaire), les rachetés auront accès à la Nouvelle Jérusalem alors que les non rachetés, qui seront évidemment encore mortels, n'y auront pas accès.

Apocalypse 21 nous donne une description physique de ce à quoi ressemble la ville. Nous n'avons pas le temps de la lire dans son intégralité, mais si vous voulez savoir à quoi elle ressemble, je vous encourage à la lire par vous-même.

Denis : C'est quel chapitre tu dis ?

Jean : Apocalypse, chapitre 21. Mais, juste pour vous donner quelques points saillants, voici une partie de ce que ce chapitre nous dit. Tout d'abord, elle est construite en carré, à sa base. Elle a 12 pierres de fondation, et les pierres sont des pierres précieuses à double réfraction. Ça signifie que la lumière entre et ressort.

Denis : Comme un diamant.

Jean : Exactement. Les diamants sont doublement réfractaires, tout comme les saphirs, les émeraudes, les améthystes, etc. Ils font partie des 12 pierres de fondation.

Les murs sont en or et ont une épaisseur de 144 coudées, c’est-à-dire 61 mètres !

Denis : Ouah.

Jean : C’est énorme ! Mais il y a plus. La ville elle-même est construite en forme de carré, comme je l’ai dit, et fait 12000 stades : ça fait 2253 kilomètres carrés !

Denis : C'est immense ! C'est plus grand que certains pays !

Jean : Eh bien, elle va abriter beaucoup d'êtres !

La ville a aussi 12 portes, trois de chaque côté, et chaque porte est une perle unique et gigantesque.

Nous n'avons pas le temps d’en lire beaucoup, mais j'aime vraiment la description des versets 23 et 24. Pourrais-tu nous la lire ?

Denis : "La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer, car la gloire de Yah l'éclaire et l'Agneau est son flambeau. Les nations marcheront à sa lumière et les rois de la terre y apporteront leur gloire."

Jean : Rien d'insalubre, de dangereux, ou de pécheur, ne sera autorisé à y entrer. Il n'y aura rien d'autre qu'une joie sans fin. Mais la vie éternelle ne consiste pas seulement à… s'asseoir sur un nuage et jouer de la harpe. Allons à 1 Corinthiens, chapitre 2, et lisons le verset 9.

Denis : "Mais, comme il est écrit, ce que l'oeil n'a pas vu, ce que l'oreille n'a pas entendu, ce qui n'est pas monté au coeur de l'homme, Yah l'a préparé pour ceux qui L'aiment."

Jean : C'est une promesse ! Ça dit que la vie éternelle sera si bien que tu ne peux même pas imaginer toutes les choses merveilleuses que tu pourras apprendre, expérimenter et apprécier. Tout ce que vous voulez poursuivre, tout ce que vous voulez apprendre, sera possible.

Ce ne sera pas une existence ennuyeuse. Ce sera la joie la plus merveilleuse, la plus impressionnante qu'aucun d'entre nous ne peut même essayer d'imaginer.

De plus, toutes les personnes que tu rencontreras seront comme ton meilleur ami ! Il (ou elle) sera peut-être né(e) il y a 700 ans. Il (ou elle) sera peut-être né(e) avant le déluge ! Mais là, à ce mooment, vous pourrez vous rencontrer et devenir les meilleurs amis du monde.

Denis : Quand on a Yahuwah en commun, on peut devenir le meilleur ami de n'importe qui !

Jean : C'est vrai. Et nous aurons l'occasion de rencontrer des gens de toutes les époques passées, de passer du temps avec des anges, Yahushua, et même Yahuwah Lui-même.

En conclusion, j’aimerais juste ajouter que tout ce que nous pouvons traverser sur terre est bon marché comparé au fait de pouvoir y aller et être avec le Père et le Fils pour toujours.

Denis : Très bien ! J'aimerais que nous ayons le temps de continuer, mais ce n'est pas le cas. Si vous avez des questions, sachez que nous serions ravis de vous entendre, vous aussi. Il suffit d'aller sur WorldsLastChance.com et de cliquer sur "Contactez-nous".

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

En 1989, à Andover, dans l’Ohio aux États-Unis, le printemps avait apporté avec lui beaucoup de pluie. À côté de la maison de Ray Blankenship se trouvait un profond fossé de drainage rempli de ces eaux de ruissellement. Un matin, Ray était occupé à préparer son petit-déjeuner lorsqu'il a regardé par la fenêtre et a vu une petite fille dans les eaux boueuses du fossé qui s'écoulaient rapidement.

Ray savait que plus loin en aval, le fossé se déversait dans une buse qui passait sous la route. Il s'est mis à courir en direction de l'enfant, essayant désespérément de la devancer. Il a plongé dans l'eau froide et agitée. En remontant à la surface, il a juste réussi à attraper le bras de la petite fille. Ils ont tous deux été emportés par le fort courant.

À environ un mètre de la buse, la main de Ray s'est accrochée à quelque chose qui dépassait de la rive. Il s'y accrocha de toutes ses forces, mais le courant était si fort qu'il était sur le point de les emporter. Les branches et autres débris se heurtaient à lui et sa prise commençait à lâcher.

"Je dois juste tenir jusqu'à ce que les secours arrivent", a-t-il pensé.

Quand les pompiers sont arrivés, Ray avait déjà réussi à mettre la petite fille en sécurité. Tous deux ont été traités pour le choc subi, mais ils ont survécu.

Le 12 avril 1989, Ray Blankenship a reçu la médaille d'argent de sauvetage de la Garde côtière. C'était une récompense appropriée pour un acte incroyablement courageux et désintéressé. Car, voyez-vous : Ray ne savait pas nager.

La vie peut être belle, mais elle peut aussi être difficile. Il y a des dangers et des difficultés tout au long du chemin. Mais pour le Chrétien, il y a aussi de l'aide. Philippiens 4, verset 13, déclare : "Je puis toutes choses par Christ qui me fortifie."

Et c'est vrai ! Nous ne sommes pas laissés seuls ici-bas, à lutter par nos propres forces, à faire des erreurs par manque de sagesse. Yahuwah a promis de répondre à tous nos besoins. Quel que soit notre besoin.

Le Psaume 37, verset 24, nous assure : "S'il tombe, il n'est pas terrassé, car Yahuwah lui prend la main."

Avec les promesses de Yah, vous pouvez vraiment faire "toutes choses" par Yahushua. Comme Paul l'a exprimé dans Romains 8, verset 31 : "Si Yah est pour nous, qui sera contre nous ?"

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

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Partie 3

Denis : Si vous écoutez régulièrement nos émissions, vous pensez peut-être que ne nous parlons, toujours, que des Trompettes d'Apocalypse 8 et 9. Eh bien, il y a une raison à cela. La série d'événements qui se produiront à ce moment-là, très bientôt, sera l'apogée de la tromperie à laquelle satan travaille depuis des millénaires ! C'est à ce moment-là que la marque de la bête sera imposée. Et si vous ne connaissez pas la vérité sur le Sabbat, la marque de la bête et les événements qui se dérouleront alors, vous risquerez d'être trompés, et nous ne voulons pas que cela arrive. C'est pourquoi nous revenons sans cesse sur les Trompettes, et encore les Trompettes. Nous voulons nous assurer que vous êtes avertis.

Jean : S'il vous plaît, les amis, étudiez cela, par vous-même. Ne vous arrêtez pas là, à simplement nous écouter. C'est sur cela que portera le conflit final : sur l'adoration. Si vous obéissez à la loi du pays, des hommes, pour mettre de côté le jour du dimanche comme un jour non-travaillé pour aucune autre raison que le pape, ou la loi humaine, vous dit de le faire, alors, vous recevrez la marque de la bête.

Libérez-vous des chaînes qui emprisonnent votre esprit, votre raisonnement. Pensez par vous-même ! Etudiez par vous-même !

Denis : Oh, oui. C'est tellement important. Nous avons vraiment été… euh, eh bien : abrutis, il n’y a pas d’autre mot, par leur leur système. Et c'est intentionnel.

Les Jésuites, à travers leurs missionnaires, leur présence influente dans le monde scientifique, et leurs écoles et universités, ont activement modelé la pensée de plusieurs générations.

Jean : Avec succès. La durée d'attention de la plupart des gens, leur capacité à se concentrer, à raisonner de cause à effet, à appliquer les concepts appris à leur vie, est si réduite qu'ils peuvent facilement être contrôlés par le pouvoir en place.

La personne moyenne n'a plus la capacité de s'asseoir et de se concentrer sur un sujet assez longtemps pour faire des recherches approfondies. Ils s'ennuient rapidement et cessent d'étudier avant que le sujet ne soit entièrement résolu.

Denis : C'est vrai. Peu de gens ont la capacité d’arriver à une conclusion basée sur le poids accumulé des preuves.

Jean : Encore plus rares sont ceux qui parviennent à mettre en pratique ces nouvelles informations dans leur vie quotidienne de manière efficace. L'esprit critique se perd et cela aussi fait partie du plan directeur des Jésuites.

Sans esprit critique, les gens se tournent vers les autorités extérieures. Au lieu de faire confiance à leur propre capacité à parvenir à une conclusion logique, ils se tournent vers des universitaires respectés, leurs pasteurs ou leurs prêtres, voire les médias contrôlés par l'État, pour leur dire ce qui est vrai et ce qu'il faut croire.

Ainsi, quelques personnes seules au sommet peuvent contrôler le comportement du public entier parce qu'elles contrôlent leur pensée par le biais du flux d'informations qu'elles permettent d'atteindre les masses.

Denis : Il est grand temps pour chacun d'entre nous de creuser et d'étudier par nous-mêmes. Il est plus que temps de savoir ce que vous croyez et, plus encore, pourquoi vous croyez ce que vous croyez.

Et, il est de la plus haute importance dans l'étude de tout nouveau sujet que vous gardiez l'esprit ouvert. Ne tombez pas dans le piège de l'information biaisée !

Jean : C'est un vrai danger. As-tu entendu parler de William Paley ?

Denis : Non.

Jean : Eh bien, c'était un ecclésiastique anglais et philosophe chrétien du 18e siècle. Il a écrit, je cite : "Il y a un principe qui est une barrière contre toute information, qui est une preuve contre tout argument, et qui ne peut manquer de maintenir un homme dans une ignorance éternelle. Ce principe est : le mépris avant l'investigation."

Denis : C'est bien dit.

Jean : Nous ne pouvons pas nous permettre de rejeter avec mépris la vérité avant de lui donner une enquête appropriée. Garder un esprit ouvert signifie que vous êtes prêt à accepter toute conclusion que l’Esprit Saint vous révèle comme étant la vérité, quelle qu'elle soit.

Il est impossible de parvenir à la vérité si vous commencez votre étude en cherchant à prouver que la nouvelle idée est fausse. Elle peut être fausse. D'un autre côté, il se peut qu'elle soit juste ! Ne portez pas préjudice à votre esprit et ne biaisez pas votre recherche en essayant de prouver qu'elle est fausse avant de savoir ce que toutes les preuves disponibles révèlent.

Denis : Et n'ayez pas peur de : remettre en question. J'ai remarqué que beaucoup de croyants ont peur de remettre en question. Ils ont peur d'être amenés comme par magie à douter. Mais ce n'est pas ainsi que ça fonctionne. Yahuwah a créé le cerveau humain pour qu'il soit logique.

Dans Esaïe 1, verset 18, dans la King James, il est écrit : "Venez maintenant, et raisonnons ensemble". C'est une invitation qu'Il lance à chacun d'entre nous.

Jean : Il peut sembler effrayant d'ouvrir son esprit pour accepter la possibilité que ce que vous avez toujours cru être la vérité est, en fait, une erreur. Mais Yahuwah s'est engagé à garder en sécurité ce qui Lui a été confié. Il ne va pas vous laisser vous égarer contre votre gré.

Denis : Oui, nous pouvons Lui faire confiance pour nous garder en sécurité pendant que nous regardons ces choses. J'aime beaucoup les paroles de Paul dans 2 Timothée 1, verset 12. Il dit : "Et c'est à cause de cela que je souffre ces choses; mais j'en ai point honte, car je sais en Qui j'ai cru, et je suis persuadé qu'Il a la puissance de garder mon dépôt jusqu'à ce jour-là."

Jean : Si tout ce que vous faites, c'est de changer de figure d'autorité, vous pouvez être à nouveau égaré. Les leaders spirituels reçoivent leur salaire d'organisations religieuses qui enseignent le culte le samedi ou le dimanche du calendrier grégorien ! Ils ont tout intérêt à préserver la théologie traditionnelle. En conséquence, vous n'apprendrez pas d'eux la pleine vérité.

Vous devez aller à la source de toute sagesse, le Créateur, pour vous-même. Faites-Lui confiance pour vous enseigner ce qu’est la vérité et ce qu’est l'erreur.

Denis : L'hypothèse selon laquelle le samedi serait le Sabbat Biblique et le dimanche le jour de la résurrection de Yahushua est une erreur dangereuse, car elle expose les croyants à accepter les illusions de satan de la fin des temps, et à recevoir la marque de la bête. C'est pourquoi Yahuwah a donné aux croyants le cadeau de la prophétie ! Pour que nous puissions étudier et éviter les illusions et les tromperies de satan !

Jean : Et, écoutez : n'ayez pas peur d'étudier de nouvelles idées. Dans le dernier chapitre de Daniel, le prophète a reçu une promesse. Daniel 12, verset 4, dit : "Toi, Daniel, tiens secrètes ces paroles, et scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera."

Maintenant, invariablement, nous avons tendance à interpréter ce texte comme étant une référence à la technologie avancée. Et oui : la technologie a progressé de façon exponentielle au cours des 120 dernières années. Mais l'augmentation de la connaissance donnée à la dernière génération est beaucoup plus significative que la simple technologie. Cette connaissance accrue fait référence à l'exposition de tous les mensonges qui ont été enseignés comme vérité.

Denis : Je voudrais juste dire que c'est maintenant qu'il faut faire cette étude. Maintenant, avant que les Trompettes ne commencent à sonner. Joël, chapitre 4, verset 14 montre le résultat de cette augmentation de la connaissance. Il est écrit : "C'est une multitude, une multitude, dans la vallée du jugement [ou : de décision, selon les versions]; car le jour de Yahuwah est proche, dans la vallée du jugement [ou : dans la vallée de décision]"

Chaque âme sur terre a une décision à prendre avant le jugement final.

Jean : C'est un verset puissant. Des multitudes aujourd'hui sont dans la vallée de la décision. La religion organisée a été construite sur de multiples couches de mensonges. Le grand jour de Yahuwah est proche et chacun de nous vivant aujourd'hui, est confronté à une décision : "Dois-je suivre la vérité qui dérange ? Ou m'accrocher à un mensonge commode ?"

Rappelez-vous : ne pas connaître la vérité ne change pas la réalité de ce qu’est la vérité.

Denis : Suivre la vérité quel qu'en soit le prix demande un sacrifice. Cela demande un engagement. Accepter une vérité impopulaire vous expose au ridicule de ceux qui s'accrochent au mensonge.

Jean : Ça peut aussi avoir un impact sur votre travail, et même sur votre mariage.

Denis : C'est possible ! Mais c'est une décision à laquelle chaque individu sur terre est confronté : La vérité ? Ou le mensonge ?

Le mensonge semble confortable. Plausible. Commode. C'est la compréhension fondamentale sur laquelle les autres croyances ont été construites. Mais maintenant que la vérité est rétablie, que la connaissance augmente, il est d'une importance vitale pour votre destinée éternelle de démasquer les mensonges et d'accepter la vérité, peu importe qu'elle soit ridiculisée ou que son impact sur votre vie soit désagréable.

S'il vous plaît : ne rejetez pas ce que vous avez entendu aujourd'hui. Creusez et étudiez tout cela par vous-même. Votre destinée éternelle dépend des décisions que vous prendrez, sur la base de la vérité qui vous est accessible.

Rejoignez-nous demain, et d'ici là, rappelez-vous : Yahuwah vous aime…. . et vous pouvez lui faire confiance en toute sécurité !

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Fin

Vous avez écouté la radio WLC.

Ce programme, ainsi que les épisodes passés de Radio WLC, sont disponibles en téléchargement sur notre site web. Ils sont parfaits pour partager avec vos amis et pour étudier la Bible ! C'est aussi une ressource merveilleuse pour ceux qui adorent Yahuwah seuls ou à la maison. Si vous souhaitez écouter les programmes de Radio WLC, visitez notre site web à l'adresse WorldsLastChance.com.

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Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité sur WBCQ, à 9330 kilohertz sur la bande des 31 mètres.

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