Programme 143
Dernières Nouvelles ! Ce que les érudits de la Bible pensent vraiment de la trinité !
Partie 1
Thomas Rolland : Avez-vous été trompé ? Croye-vous connaître la vérité mais, en réalité, vous avez été dupé pour accepter un mensonge ?
Bonjour ! Je suis Thomas Rolland et aujourd'hui, nous allons révéler des vérités qui peuvent être désagréables à entendre, mais vous devez quand même les entendre. Les érudits, ou spécialistes de la Bible connaissent certainement la vérité, mais la grande majorité des chrétiens s'accrochent encore par ignorance à de vieilles erreurs.
Jean Olivier : Bonjour ! Je suis Jean Olivier. Beaucoup de gens sont très dédaigneux au sujet de ce qu’ils appellent les "théories du complot".
Thomas : Eh bien, je dois admettre que parmi certaines des dernières théories du complot, ils y en a quelques une qui semblent un peu folles. Parfois, il n'y a aucune preuve avancée. Juste un type sur YouTube qui parle, avec certes beaucoup de conviction… mais, ils ont des adeptes ! Des gens les croient et leur envoient même de l'argent… même quand ils n'offrent aucune preuve empirique ou pragmatique sérieuse.
Jean : Eh bien, il y a une raison à cela, tu sais.
Thomas : Laquelle ?
Jean : J'ai une citation ici qui explique cela. Lisons-la.
Thomas : "Dans le grand mensonge, il y a toujours une certaine force de crédibilité; parce que les foules … tombent plus facilement victimes du grand mensonge que du petit mensonge, puisqu'elles se disent souvent de petits mensonges dans les petites choses, mais auraient honte de recourir à des faussetés à grande échelle. Il ne leur viendrait jamais à leur esprit de fabriquer des faussetés colossales, et elles ne croiraient pas que d'autres pourraient avoir l'impudence de déformer la vérité de manière aussi infâme.
"Même si les faits qui prouvent qu'il en est ainsi étaient portés clairement à leur connaissance, elles continueraient à douter et à vaciller et continueraient de penser qu'il peut peut-être y avoir quelque autre explication. Car le mensonge grossièrement impudent laisse toujours des traces derrière lui, même après qu'il ait été sanctionné; un fait qui est connu de tous les menteurs experts dans ce monde et de tous ceux qui conspirent ensemble dans l'art du mensonge." Fin de citation.
Ouah. Qui a dit ça ?
Jean : En fait, c'est une citation de Mein Kampf d'Adolf Hitler. Et il faut reconnaître qu’il y a une part de vérité dans cette déclaration. C’est pour cela que les méchants de classe internationale réussissent.
Maintenant, faisons un petit jeu d'association de mots. Je vais dire un mot et tu vas me dire quel mot te vient immédiatement à l'esprit. D'accord ?
Thomas : Ok. Vas-y !
Jean : C’est parti… Couteau.
Thomas : Du sang.
Jean : . . . Sérieux ?
Thomas : Ben, pourquoi pas ? C’est une association valable.
Jean : D’accord, si tu veux. On continue… Noir.
Thomas : La mort.
Jean : Je m'inquiète pour toi, Thomas. Je m'inquiète vraiment.
Très bien. Le dernie… Conspiration.
Thomas : Théorie.
Jean : Ah, j'espérais que tu dirais ça ! Oui. Aujourd'hui, beaucoup de gens, quand ils entendent "conspiration", pensent immédiatement "théorie". Mais une fois que tu as suffisamment de preuves devant les yeux, ta "théorie" cesse d'être une théorie et devient… un fait.
En fait, il y a eu un bon nombre d'idées que les gens ont rejetées premièrement comme étant des théories du complot et qui, finalement, se sont avérées être des faits.
Thomas : Ah, vraiment ? Comme quoi ?
Jean : Eh bien, par exemple, entre 1890 et 1891, une histoire a commencé à circuler à propos d'un grand groupe de criminels opérant dans les coulisses de manière très organisée. L'idée semblait si ridicule que la plupart des gens l'ont simplement rejetée comme une folle théorie du complot. Ce n'est qu'en 1962, quand le célèbre dénonciateur de la mafia, Joe Valachi, a témoigné devant le Congrès des États-Unis de l'existence de la mafia, que la "théorie" s'est avérée vraie.
Thomas : C'est intéressant. C’est difficile à croire que l'existence de la mafia ait été considérée comme une théorie du complot.
Jean : Eh bien, que dire de celle-ci ? Au 20e siècle, le gouvernement canadien a engagé un professeur d'université pour fabriquer une machine conçue pour détecter l'homosexualité.
Thomas : Ah bon ? Alors, comment ce . . . ce radar fonctionnait-il précisément ?
Jean : Eh bien, la " machine à fruits ", comme ils l'ont appelé… mesurait la dilatation des pupilles quand des images érotiques de même sexe étaient montrées.
Thomas : Ils n'ont quand même pas fait ça ?… Je veux dire, ils n'y ont pas vraiment cru, n'est-ce pas ?
Jean : Aussi étrange que ça puisse paraître, la vérité est qu'ils l'ont effectivement utilisé. Plus de 400 hommes ont été soit renvoyés, soit exclus de postes dans l'armée, la police ou autres secteurs de la fonction publique.
Thomas : Ouah… Rappelons que nous sommes tous des pécheurs, et que nous avons tous besoin d'un Sauveur. Faire de telles discriminations est l'antithèse même du message d'amour et d'acceptation de Yahuwah : "Que celui qui est sans péché parmi vous jette la première pierre."
Jean : C'est vrai. Bref, ce que je veux dire, c'est que ce n'est pas parce qu'une nouvelle idée semble folle qu'elle l'est. Le fait qu'un nouveau concept soit rejeté comme n'étant rien de plus qu'une "théorie du complot" ne signifie pas qu'il ne s'agit en fait que d'une : "théorie". Avec des preuves suffisantes, une théorie devient un fait.
Examinons donc quelques preuves que la théorie d'une divinité trine ne peut être prouvée à partir des Écritures. Nous avons déjà examiné les preuves tirées des Écritures dans des émissions précédentes, nous n'y reviendrons donc pas aujourd’hui. Pour l’heure, je veux partager ce que les érudits, ceux qui sont considérés comme des spécialistes de la Bible, ont à dire sur la doctrine de la trinité et sur les fondements bibliques de cet enseignement.
Thomas : Ok, attends un instant. Je sais que nous avons déjà couvert les preuves bibliques et historiques qui prouvent que la trinité est une doctrine païenne, non soutenue par les Écritures. Mais, juste pour ceux qui nous écouteraient pour la première fois, j’aimerais revoir un seul point.
Jean : Très bien. Vas-y.
Thomas : Quand l'idée m'a été présentée pour la première fois – que la doctrine de la trinité est non scripturaire – je vais être honnête : je l'ai d'abord rejetée. Après tout, la Bible mentionne un "esprit saint", n'est-ce pas ? De plus, 1 Jean 5, versets 7 à 8 dit, les anciennes versions francophones, comme dans la King James : "Car il y en a trois dans le Ciel qui rendent témoignage, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit; et ces trois-là ne sont qu'un. 8 Il y en a aussi trois qui rendent témoignage sur la terre, savoir l'Esprit, l'eau, et le Sang; et ces trois-là se rapportent à un. "
Comment peut-on lire cela et dire qu'il n'y a pas de trinité ?
Jean : Alors, qu'est-ce qui t'a convaincu ?
Thomas : Eh bien, j'ai appris que ces versets ont été ajoutés… au 11ème siècle ! Ils n'apparaissent pas du tout dans les plus anciens manuscrits de 1 Jean. Ce passage n'a pas sa place dans la Bible. Il a été ajouté un millier d'années après Christ. Donc, je veux juste faire remarquer à nos nouveaux auditeurs qu'il y a beaucoup de choses sur ce sujet qui nous ont été cachées. Ce n'est pas parce que ça sonne faux… que c'est faux. Écoutez avec un esprit ouvert, puis étudiez-le par vous-même.
Jean : Merci, Thomas. C'est vrai. Ici, au temps la fin, il y a beaucoup de " vents de doctrine " qui soufflent. Il est important que nous ne rejetions jamais une idée, simplement parce qu'elle est nouvelle, ou qu'elle "sonne faux", selon nous. Nous devons être comme les Béréens, et étudier la vérité par nous-mêmes. Très bien, commençons par quelques passages de la Bible.
Tournons-nous vers 1 Corinthiens 8. Comme nous l'avons dit, nous avons déjà abordé ce sujet en détail dans d'autres programmes, mais examinons quelques textes bibliques fondamentaux qui révèlent la vraie nature de Yah. Lisons les versets 5 et 6 de 1 Corinthiens 8.
Thomas : Très bien. Il est écrit : "Car encore qu'il y en ait qui soient appelés dieux, soit au ciel, soit en la terre (comme il y a plusieurs dieux, et plusieurs Seigneurs,) 6 Nous n'avons pourtant qu'un seul Dieu, qui est le Père; duquel sont toutes choses, et nous en lui; et un seul Seigneur Yahushua-Christ, par lequel sont toutes choses, et nous par lui. "
Jean : Voilà ce que dit la Bible sur la nature du Créateur. Il n'est pas "trois en un". Il est un. Un seul Dieu. Malachi, chapitre 2, verset 10, pose la question suivante : "N'avons-nous pas tous un seul Père ? N'est-ce pas un seul Dieu qui nous a créés ?"
Encore une fois : Un. Pas une trinité. Pas un Dieu trois-en-un. Juste : Un seul Dieu.
Thomas : Deutéronome 6, verset 4, dans la King James : "Écoute, ô Israël : Le Seigneur notre Dieu, le Seigneur est Un !"
Jean : Et bien sûr, " le Seigneur " ici est : Yahuwah. Une note de bas de page dit : " Yahuwah est notre Dieu, Yahuwah seul, l'unique ".
Ce n'est pas une unité, ou trinité, ou trois phases. C'est un seul Dieu qui est le même hier, aujourd'hui et à jamais.
Après le Concile de Nicée au quatrième siècle, le christianisme traditionnel a rejeté ses racines monothéistes. Au lieu de cela, sous l'influence du pape Sylvestre, qui était évêque de Rome, et de l'empereur meurtrier Constantin, le christianisme dans son ensemble a adopté la doctrine païenne de la trinité et a proclamé sa croyance en "un Dieu : Père, Fils et Saint-Esprit".
Thomas : Ce qui est un oxymore. On ne peut pas être un et toujours trois.
Jean : Non, c'est ridicule. Mais chaque fois que les gens essaient de réfléchir au ridicule absolu de ce concept, on berce leur perplexité en leur répétant que c'est un "mystère" trop élevé pour que des esprits humains puissent le comprendre.
Thomas : Yahushua a également enseigné que le Père était le seul et unique vrai Dieu. Dans Jean 17, verset 3, il a déclaré : "Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Yahushua-Christ. "
Jean : En fait, si tu as une Bible interlinéaire, c'est encore plus clair. Augustin, l'un des premiers soi-disant "pères de l'Église", que tant de chrétiens révèrent, a en fait modifié le texte en réorganisant l'ordre des mots. Si tu réarranges l'ordre des mots, tu altères le sens. L'original dit : "le Père est le seul qui soit le vrai Dieu".
Thomas : Ouah ! C'est une grande différence.
Jean : Oui ! Nous sommes tellement bénis, dans notre monde moderne, d'avoir les outils d’aide à l'étude de la Bible que nous avons. Les bibles interlinéaires, les dictionnaires bibliques, les concordances. . . ces précieux outils nous aident à creuser sous l'erreur accumulée par des siècles d'endoctrinement et de tradition.
Thomas : Et une grande partie de cette "tradition" est arrivée dans l'église au quatrième siècle et plus tard, en provenance du paganisme. Comme nous l'avons déjà dit, le temps qui passe ne transformera pas soudainement, par magie, l'erreur en vérité. Nous devons creuser pour la trouver.
Jean : Et nous devons toujours nous rappeler que la vérité est cohérente. Yahuwah n'a pas besoin d'un apologiste. Il n'a pas besoin que l'un d'entre nous mette une "tournure" à Ses paroles. La vérité se tient d’elle-même, et elle est convaincante, pure et sainte. Mais nous devons nous consacrer à l'étudier, et ne pas simplement supposer que nous savons déjà tout ce qui est nécessaire pour notre salut. Qu'a dit le Témoin Véritable aux Laodicéens ?
Thomas : Euh… laisse-moi juste le retrouver. Apocalypse 3, versets 14 à 19. Il est écrit : "Voici ce que dit l'Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la création de Yah : 15 Je connais tes oeuvres. Je sais que tu n'es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant ! 16 Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. 17 Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n'ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, 18 je te conseille d'acheter de moi de l'or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. 19 Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle, et repens-toi."
Jean : En tant qu'Église de la dernière génération, nous avons la lumière combinée des siècles passés qui brille sur nous ! Et le Ciel déverse encore plus de lumière, en ce moment-même. Mais dès que nous supposons que nous "savons tout" et qu'il n'y a plus rien à apprendre, aussi vite, nous tombons dans le piège de supposer que toute nouvelle lumière serait fausse, par défaut. Et ce n'est pas vrai.
Thomas : L'orgueil spirituel est très dangereux. Et je dois admettre que je suis mooi-même passé par là ! C'est tellement facile de réagir de manière émotionnelle aux nouvelles idées, et de les rejeter comme étant mauvaises simplement parce qu'elles sont nouvelles et différentes, mais nous ne pouvons pas nous permettre de faire ça.
Jean : Il est aussi important que, quand nous étudions les Écritures, nous mettions de côté toutes nos idées préconçues, et que nous lisions la Bible telle qu'elle est écrite. Par exemple, un trinitaire, qui lit avec des lunettes trinitariennes, va voir la trinité partout dans le Nouveau Testament. Mais elle n'est pas là !
Prenons le mot "theos", ou "Dieu", tel qu'il est traduit en français. Il fait clairement référence à Yahuwah, environ 1300 fois, dans le Nouveau Testament. C'est beaucoup ! 1300 fois, le mot "Dieu" fait référence à Yahuwah, le Père. Si tu prends le temps de vérifier chacun de ces versets, tu verras que pas une seule fois ce mot ne fait référence au : Père et au Fils et au saint Esprit ! Pas une seule fois ! Ce n'est tout simplement pas là, dans le texte.
Thomas : C'est intéressant. Nos idées préconçues influencent vraiment nos interprétations, n'est-ce pas ?
Jean : C’est le cas. Et pourtant, tout au long des Écritures, Yahuwah, le " Dieu unique ", notre Créateur, est décrit de manière cohérente comme une entité divine singulière. Quand Il parle de Lui-même, Il utilise des pronoms personnels singuliers : Je, Moi, Mon, Moi-même, Le Mien, etc.
La seule allusion à la pluralité dans toute la Bible se trouve dans l'utilisation, dans l'Ancien Testament, du pluriel "elohim" pour parler de Yahuwah. "Elohim" est la forme plurielle de "eloah" qui signifie "dieu" ou "puissant".
Thomas : Tu n'as pas dit une fois que c'était juste un procédé littéraire ? En hébreu, ils élevaient un roi, un magistrat ou un individu haut placé en le désignant au pluriel.
Jean : Exactement. Mais jamais, dans l'Ancien Testament, "eloah" ne décrit un "Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit" trine. Pas une seule fois.
Donc, encore une fois. Il est important que nous mettions de côté nos idées préconçues quand nous étudions les Écritures. Et les spécialistes de la Bible le savent. Les érudits modernes savent bien que la doctrine de la trinité ne peut pas être prouvée à partir des Écritures, et qu'elle est arrivée des siècles après la rédaction de la Bible.
Thomas : Très bien. Nous allons faire une courte pause et à notre retour, nous aborderons cela. A tout de suite.
* * *
Partie 2
Thomas : Donc, tu disais que les principaux spécialistes de la Bible connaissent la vérité sur la trinité ?
Jean : Absolument. As-tu entendu parler du cardinal John Henry Newman ?
Thomas : Oui… c’était un prêtre anglican qui s'est converti au catholicisme et qui est devenu cardinal ?
Jean : C’est ça. C'était un théologien anglais du 19ème siècle.
Thomas : Il faisait partie de ce qu'on appelle le "Mouvement d'Oxford", qui visait à ramener le rituel et la liturgie catholiques dans l'Église d'Angleterre. Une sorte de retour à ce qu'ils avaient cru et pratiqué avant la Réforme anglaise ?
Jean : En effet. Il en était l'un des leaders les plus importants, en fait. Un homme très instruit. En 1895, il a publié un livre intitulé : Traités Choisis d'Athanase dans la Controverse avec les Ariens [Select Treatises of Athanasius in Controversy with the Arians]. Rappelons-nous qu'une grande partie de cette controverse concernait la nature de Christ. Les Ariens n'étaient pas trinitaires, ils défendaient donc la présentation biblique de Yahuwah en tant qu’une seule entité, et non comme trois-en-un.
À la page 515 de ses Traités Choisis, Newman a admis que le plus proche que l'on puisse dire pour expliquer, ou mettre en mots, la trinité est de : "dire qu'une chose est deux choses".
Thomas : Tu peux le redire ?
Jean : C'est déroutant, n'est-ce pas ? Il a dit que la meilleure façon, ou la façon la plus proche d'articuler l'idée d'une divinité trine est de, je cite : "dire qu'une chose est deux choses."
Thomas : Ça n'a même pas de sens !
Jean : Non, ça n’a aucun sens ! Et pourtant, c'est ce que disent les chrétiens quand ils affirment être monothéistes tout en prétendant adorer une divinité trois-en-un. Voyons ce que d'autres érudits ont dit. Nous avons là un certain nombre de citations. De qui est la première ?
Thomas : John Hey ?
Jean : Ah, oui. John Hey était un ecclésiastique anglais. En 1780, il est devenu le premier professeur de théologie norrisien à l'Université de Cambridge. Qu'est-ce qu'il a dit ?
Thomas : Eh bien, cette citation est tirée du volume deux de ses Conférences en théologie [Lectures in Divinity]. Il a dit, je cite : "Cela pourrait tendre à promouvoir la modération et, en fin de compte, l'accord, si nous nous appliquions en toute occasion à représenter notre propre Doctrine [la Trinité] comme totalement inintelligible." Fin de citation.
Ouah ! Il a vraiment dit ça ? Voilà un professeur de théologie qui admet que la doctrine de la trinité est complètement "inintelligible". Incroyable.
Jean : La vraie question est de savoir pourquoi cette croyance a persisté, alors qu'il y a tant de preuves contre elle. Je me souviens que, la majeure partie de ma vie, je considérais les Témoins de Jéhovah comme des hérétiques, précisément parce qu'ils ne croient pas en une divinité trine. Maintenant, je ne dis pas qu'ils ont toute la vérité, mais ils ont raison sur ce point, et la plupart de la chrétienté les rejette comme secte précisément à cause de cette croyance.
Ok, quelle est la suivante ?
Thomas : La prochaine citation est d’un certain Dr. Martin Werner. Écoutez ça. Le sous-titre est très révélateur. Le titre est : La Formation de la Doctrine Chrétienne, et le sous-titre est : Une étude historique de son problème.
Jean : C'est plutôt révélateur, n'est-ce pas ? Que dit-il ?
Thomas : A la page 24, il dit : "L'Église s'est retrouvée face à un dilemme dès qu'elle a essayé d'harmoniser la doctrine de la déité de Jésus et de la déité du Père avec le monothéisme. En effet, selon les témoins [du Nouveau Testament], l'enseignement de Jésus concernant le monothéisme de l'[Ancien Testament] et du judaïsme n'a subi aucun changement. Dans [Marc] 12:29… est consigné la confirmation par Jésus lui-même, sans aucune réserve, de la confession de foi monothéiste suprême de la religion israélite dans sa forme complète… Les moyens par lesquels l'Église a cherché à démontrer l'accord de son dogme de la Déité du Père et du Fils avec le monothéisme, sont restés sérieusement incertains et contradictoires."
Jean : C'est une sacrée dénonciation. Il déclare explicitement qu'essayer de prétendre que le Père et le fils sont tous deux divins contredit la définition même du monothéisme.
Thomas : Il dit que Yahushua lui-même dans Marc 12:29 confirme le monothéisme pur. Que dit Marc 12:29 ?
Jean : Eh bien, lisons-le ?
Thomas : Très bien. Donne-moi juste un instant. Oh, intéressant. Ecoutez ça. En commençant au verset 28, il est écrit : "Un des scribes, qui les avait entendus discuter, sachant que Jésus avait bien répondu aux sadducéens, s'approcha, et lui demanda : Quel est le premier de tous les commandements ? 29 Jésus répondit : Voici le premier : Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur"
Jean : C'est du monothéisme pur. Le Seigneur, Yahuwah, notre Dieu est l'unique Seigneur, ou : est un (dans la King James). Il cite ici Deutéronome 6. Maintenant, si le Sauveur était divin, cela aurait été le moment parfait pour enseigner ce concept. Mais il ne l'a pas fait. Au lieu de cela, il a cité les écrits de Moïse pour affirmer qu'il n'y a qu'un seul Dieu, et c'est : Yahuwah.
Thomas : Pour être juste, c'est tout ce qu'il pouvait citer. Je veux dire : il n'y a pas aucun passage de l'Ancien Testament qui enseignent une divinité trinitaire, pas plus qu'il n'y en a dans le Nouveau Testament !
Jean : C'est vrai. Le concept n'existe tout simplement pas dans les Écritures.
Revenons dans 1 Corinthiens 8:5 et 6.
Thomas : Très bien.
Jean : C'est un passage important parce qu'ici, Paul définit et clarifie que le " Dieu unique " est le Père : Yahuwah. Ce n'est pas : Yahuwah et Yahushua. Ce n'est pas : Yahuwah, Yahushua et le Saint-Esprit. C'est Yahuwah seul.
Relisons-le.
Thomas : "Car, s'il est des êtres qui sont appelés dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, comme il existe réellement plusieurs dieux et plusieurs seigneurs, 6 néanmoins pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui viennent toutes choses et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Yahuwah-Christ, par qui sont toutes choses et par qui nous sommes. "
Jean : Les trinitaires évitent la première partie et se concentrent sur la partie qui dit qu'il y a " un seul Seigneur " : Yahushua. Mais "seigneur" et "dieu" ne sont pas les mêmes mots ! On ne peut négliger la première partie qui dit clairement : "il n'y a qu'un seul Dieu, le Père".
Thomas : Donc, la rupture de la logique vient du fait que les trinitaires essaient de prendre l'utilisation du titre "seigneur", en parlant de Yahushua, et de prétendre que cela le rend divin.
Jean : C'est ça. Yahushua est le seigneur ! Mais il n'est Dieu.
Quand les anges ont annoncé la naissance du Christ aux bergers, ils ont dit : "c'est qu'aujourd'hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le . . ." Quoi ?
Thomas : "Christ, le Seigneur."
Jean : Exact ! Donc Yahushua est le seul : "Christ, le Seigneur ", mais il n'est pas le : " Seigneur Dieu ". Seul Yahuwah l’est. Seul le Père est l’unique Seigneur Dieu.
Très bien. Quelle est la prochaine citation ?
Thomas : Celle-là vient du volume 1 du : Dictionnaire du Christ et de l'Évangile. A la page 807, il est dit, je cite : "Pour les hommes du [Nouveau Testament], Dieu était le Dieu de l'[Ancien Testament], le Dieu vivant, une Personne, aimante, énergisante, cherchant à accomplir un dessein éternel de miséricorde, la satisfaction de Sa propre nature aimante… Le monothéisme de l'[Ancien Testament] n'a jamais été abstrait, car le Dieu de l'[Ancien Testament] n'a jamais été une conception, ou une substance [ou une simple essence], mais toujours : une Personne."
Jean : C'est un point important. Qui était le " Dieu " de l'Ancien Testament ?
Thomas : Yahuwah.
Jean : Exactement. Il n'y avait aucun " Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit " enseigné dans l'Ancien Testament. Il n'y avait que Yahuwah, le Seigneur des armées célestes. Et que dit Malachi 3:6 à propos du Dieu de l'Ancien Testament ?
Thomas : "Car je suis Yahuwah, Je ne change pas".
Jean : Donc, le Dieu de l'Ancien Testament est le même que le Dieu du Nouveau Testament, parce que nous avons la déclaration de Ses propres lèvres qu'Il : Ne. Change. Pas.
Thomas : C'est vrai. Et non seulement Yah Lui-même, mais Sa nature. S'Il ne change pas, ça veut dire : qu'Il ne change pas. Alors pourquoi devrions-nous nous attendre à ce qu'Il se transforme entre l'Ancien et le Nouveau Testament ?
Jean : Nous ne devrions pas ! Encore une fois, pourquoi les chrétiens s'accrochent-ils à cette ancienne croyance païenne ? Elle devrait rester dans la poubelle de l'histoire, avec les autres erreurs.
Murray Harris est professeur de théologie et d'exégèse du Nouveau Testament. Il enseigne à la Trinity Evangelical Divinity School à Deerfield, dans l’Illinois, aux États-Unis. Maintenant, ce qui est intéressant chez Harris, c'est qu'il est – à ma connaissance – trinitaire. Il enseigne à la TRINITY Evangelical Divinity School ! Et pourtant, il est conscient du problème que pose cette doctrine.
Lisons donc la prochaine citation. Elle se trouve dans une note de bas de page à la page 47 de son livre intitulé : Jésus comme Dieu.
Thomas : "Il ne semble pas illégitime de poser une question comme celle-ci : À qui l'auteur d'Hébreux [1:1] faisait-il référence lorsqu'il a dit… ‘À plusieurs reprises et de diverses manières, Dieu a parlé dans le passé à nos ancêtres par l'intermédiaire des prophètes’ ? Il est évident qu'il ne s'agissait pas du Saint-Esprit au sens ultime du terme, puisque ni dans l'[Ancien Testament] ni dans le [Nouveau Testament], l'Esprit n'est explicitement appelé "Dieu". Et, malgré le fait que l'équivalent de . . . Et, bien que l'équivalent [de la Septante] de YHVH – kurios [ou Seigneur] – soit régulièrement appliqué à Jésus dans le [Nouveau Testament] de sorte qu'il devient moins un titre qu'un nom propre, o theos [Dieu] dans Hébreux 1:1 désigne Jésus-Christ, car la même phrase (en grec) contient : ‘(le Dieu qui a parlé…) en ces derniers jours nous a parlé par un Fils’. Puisque l'auteur souligne la continuité des deux phases de la parole divine ('Dieu ayant parlé… a ensuite parlé'), cette référence à un Fils montre que o theos [ou Dieu] était compris comme étant 'Dieu le Père'.
De même, la différenciation faite entre o theos [ou Dieu] comme Celui qui parle dans les deux époques [Ancien Testament et Nouveau Testament] et le 'Fils' comme son moyen final de parler montre que dans l'esprit de l'auteur, ce n'était pas le Dieu trinitaire de la théologie chrétienne qui a parlé aux ancêtres par les prophètes. En d'autres termes, pour l'auteur des Hébreux (comme pour tous les auteurs [du Nouveau Testament], on peut le penser), ‘le Dieu de nos pères’, Yahweh, n'était autre que ‘le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ’…
Une telle conclusion est tout à fait cohérente avec l'usage régulier [dans le Nouveau Testament] de o theos [ou Dieu]. Il serait inapproprié qu'Elohim ou [Yahuwah] fasse référence à la Trinité dans l'[Ancien Testament], alors que dans le [Nouveau Testament] theos [ou Dieu] fait régulièrement référence au Père seul, et apparemment jamais à la Trinité."
Jean : Ok, ça fait beaucoup, alors examinons un peu tout ça. Harris parle du chapitre 1 d'Hébreux qui commence par établir un contraste très clair entre le Père et le fils. Je vais le lire. Notez comment l'auteur des Hébreux fait une distinction claire entre le Père et le fils, Yahuwah et Yahushua.
Thomas : Très bien.
Jean : Il est écrit : "Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu [ou : theos], dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils"
Remarquons que rien n'est dit sur le fait que le fils serait égal au Père et formé de la même substance que Lui.
Thomas : C'est vrai.
Jean : Ce serait l'endroit parfait pour expliquer une divinité trine ! Mais ce n’est pas ce qui est dit.
Thomas : Non. En fait, l’auteur de la lettre aux Hébreux souligne qu'il y a une différence entre les deux.
Jean : Et ce que ce spécialiste de la Bible dit, c'est que "Dieu", dans les Écritures, ne fait jamais référence à une divinité trine. Au contraire, "Dieu" fait toujours référence à Yahuwah Lui-même.
Ce n’est que plus tard, des siècles après Christ, quand l'Église a adopté des philosophies et dogmes païens, qu’elle a imposé l'acceptation de la doctrine de la trinité, en menaçant : d'expulsion, de torture, ou de mort, tous ceux qui s'accrochaient au vrai monothéisme.
Le Dr Leonard Hodgson était professeur Regius de théologie à l'Université d'Oxford entre 1944 et 1958. La prochaine citation est tirée de son ouvrage : Foi et Pratique Chrétiennes [Christian Faith and Practice]. Lisons-là.
Thomas : "Le Credo d'Athanase est un document très instructif, car il montre que, lorsqu'on a essayé d'énoncer la foi chrétienne en termes de métaphysique [c’est-à-dire : philosophie] de l'époque, tout ce qu'on a pu faire, c'est énoncer une série de contradictions et dire qu'on serait damné si on ne les croyait pas… La première impression produite sur l'esprit en entendant cette doctrine chrétienne de la Trinité est qu'elle est tout à fait incroyable."
C'est un aveu plutôt humoristique ! Il admet que la doctrine elle-même est tellement incompatible avec les Écritures, que la seule façon de la faire respecter était de menacer les gens de damnation éternelle, s'ils n'acceptaient pas et ne croyaient pas cette nouvelle hérésie !
Jean : Le "Shema" est le nom que les Juifs donnent à cette déclaration de la nature de Yah dans Deutéronome 6, celle qui déclare : "Yahuwah notre Dieu, Yahuwah est Un".
Eh bien, B. Buzzard, dans son article intitulé : "Prier comme Jésus : Le Shema," a des choses intéressantes à dire. Lisons cette prochaine citation, qui montre les contradictions entre les Écritures et l'hérésie de la trinité.
Thomas : "La vérité est que ces credos violent le Shema. Pour Jésus, le Shema était le principe fondamental . . . Comment se fait-il que si l'on souscrit au credo de Jésus, on peut être considéré comme un hérétique par l'Église établie ? Comment se fait-il que nous ayons négligé/changé/annulé le plus grand commandement de tous ? Le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur (Deutéronome 6:4 ; Marc 12:29).
Le professeur Les Hardin a déclaré : "Ceux d'entre nous qui appartiennent à la foi chrétienne ont traditionnellement lu ce verset comme une déclaration trinitaire ; nous croyons que Dieu est triple – Père, Fils et Esprit – et ce verset nous empêche de croire qu'il y a trois dieux… Dans le contexte, cependant, cela n'a pas beaucoup de sens, et c'est la controverse théologique sur laquelle des barils d'encre d'imprimante ont été déversés". (L'encre gaspillée semble pâlir en comparaison du sang des nombreuses personnes dont les vies ont été prises parce qu'elles défendaient le fait que Dieu est un, et un seul : le Père).
Hardin a raison de se demander quel sens y a-t-il à dire que Dieu est triple. Des âmes courageuses à travers les siècles ont eu le courage de remettre en question cette logique. Certaines ont vécu assez longtemps pour écrire à ce sujet . . . Sommes-nous en train de dire que le Maître Logicien, Celui de qui émane toute intelligence, valide, en fait, une théorie inintelligible sur Son identité ? Vraiment ?"
Jean : Aucune de ces confusions, et certainement aucune des persécutions, et des martyres qui s’en sont suivi, n'auraient eu lieu si les croyants s'étaient simplement accrochés à la vérité de 1 Corinthiens 8:6 : "Pour nous, il y n’a qu’un seul Dieu, le Père."
Thomas : Ou si l'Église s'était juste souvenue des paroles de Yahushua dans Marc 12 verset 29 : "le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur".
Jean : Un "unique Seigneur " signifie un seul Dieu, une seule Personne, une seule entité. Pas trois. Pas trois-en-un. Simplement : Un. C'est une magnifique vérité dont nous devons nous souvenir. Yahuwah est un. Voilà une vérité biblique que satan a réussi à cacher pendant près de 2000 ans, mais il est temps que cette vérité soit rétablie.
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Courrier des Auditeurs
Thomas : La question d'aujourd'hui pour notre Courrier des Auditeurs nous vient de… la "Ville rose".
Jean : Toulouse ?
Thomas : Bingo ! Une belle ville, avec plus de 2000 ans d’histoire, construite en briques pâles, d’où son nom. Anna-Léa de Toulouse, nous écrit : "Je n'ai découvert vos émissions que récemment, et je les écoute depuis. Mon commentaire (et ma question) concerne les prières à Marie. Je sais que de nombreux protestants affirment que prier Marie est la même chose que de prier une idole. Mais je tiens à préciser qu'en tant que catholique, je ne prie pas Marie. Je prie Dieu, mais je demande à Marie de prier pour moi. En quoi est-ce différent de demander à un ami proche, ou à un membre de la famille, de se joindre à moi pour prier ?"
Jean : Eh bien, tout d'abord, permettez-moi de vous remercier, chère Anna-Léa, pour votre commentaire. Nous devrions toujours faire très attention à être exacts dans toutes les déclarations que nous faisons. Un excellent exemple est celui des chrétiens qui prétendent que les païens adorent des idoles et font des offrandes aux statues.
Thomas : Oui, quand j'étais enfant, ça m'a toujours semblé étrange. Même enfant, je savais qu'un bloc de pierre, de plâtre ou de métal ne pouvait pas voir, ou entendre. Alors pourquoi lui adresser des prières ?
Jean : Mais ce n’est pas vraiment ce que font les païens: ils ne sont pas stupides. Ils ne pensent pas que la statue en plâtre, ou l'idole sculptée, peut réellement voir ou entendre. C'est simplement un symbole qu'ils utilisent pour diriger leur esprit vers le dieu qu'ils vénèrent. On pourrait dire que c'est comme les images de Jésus que beaucoup de gens accrochent chez eux. Ils savent que cette image n'est pas Yahushua, mais ils en aiment la représentation parce qu'elle leur fait penser à lui.
Mais Anna-Léa a raison, et je l'en remercie. Ce n'est pas en exagérant une situation et en argumentant ensuite contre cette exagération, que l'on convaincra qui que ce soit.
Thomas : Sans parler de malentendu, voire de malhonnêteté. Honnêtement, je ne savais pas que les catholiques ne priaient pas Marie. On m'a toujours dit que c’est ce qu’ils faisaient.
Jean : Eh bien, peut-être que certains le font, mais la question d'Anna-Léa est une bonne question : elle demande simplement à Marie de prier pour elle, tout comme tu demanderais à un bon ami de se joindre à toi pour prier. Qu'y aurait-il de mal à cela ?
Il se trouve, néanmoins, qu’il y a plusieurs raisons pour lesquelles nous ne demandons pas à Marie de prier pour nous.
La première, est qu'elle est… morte. Je sais que cela ne fait aucune différence, dans la théologie catholique, mais, Thomas ? Que nous dit l'Écriture au sujet des morts ?
Thomas : Eh bien, Ecclésiaste 9, versets 5 et 6 nous dit : "Les vivants, en effet, savent qu'ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n'y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. 6 Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n'auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil."
Jean : Merci. Il y a d'autres versets bibliques qui indiquent clairement qu'il n'y a pas de conscience après la mort, mais c'est l'un des plus clairs. Nous n'allons pas entrer dans tout cela maintenant, mais il y a des articles et vidéos sur notre site Web et notre chaîne YouTube qui étudient cela en profondeur. Nous avons aussi un ou deux épisodes radios à ce sujet, alors recherchez-les.
Mais il y a plus. Les Écritures indiquent clairement que seul Yahushua est le médiateur entre Yah et l'homme. Maintenant, Marie était manifestement une femme très pieuse et dévouée. Elle n'aurait pas été choisie pour porter le fils de Yah, autrement ! Elle aimait et honorait Yah, et Yah l'a honorée en faisant d'elle la mère de son fils.
Mais elle était quand même humaine.
Thomas : Dirais-tu que Marie était plus proche de Yahushua que quiconque ?
Jean : Elle était sa mère. Il est clair qu'ils partageaient une relation aimante, d'après les quelques échanges consignés dans les Écritures, après qu'il soit devenu adulte. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que la relation de Yahushua avec Marie avait deux aspects. Premièrement, le lien biologique, familial. Elle était sa mère ; il était son fils. Cependant, le deuxième aspect révèle un lien beaucoup plus étroit. Il était son Sauveur. Le fait qu'elle était sa mère ne change rien au fait qu'il était toujours son Sauveur. Le lien le plus étroit entre eux était que Yahushua était son Sauveur plutôt qu'elle était sa mère.
Lisons Marc, chapitre 3, si tu veux, et voyons comment Yahushua a clarifié sa relation avec Marie. Lisons les versets 31 à 35. C'est un passage important car il clarifie à quel niveau n'importe qui – y compris Marie – peut avoir une relation étroite avec le Sauveur.
Thomas : "Survinrent sa mère et ses frères, qui, se tenant dehors, l'envoyèrent appeler. 32 La foule était assise autour de lui, et on lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors et te demandent. 33 Et il répondit : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? 34 Puis, jetant les regards sur ceux qui étaient assis tout autour de lui : Voici, dit-il, ma mère et mes frères. 35 Car, quiconque fait la volonté de Yahuwah, celui-là est mon frère, ma soeur, et ma mère. "
Jean : Donc ici, nous avons le fondement sur lequel repose la relation de quiconque avec Yahushua. Ceux qui font la volonté de Yah sont ses frères, ses sœurs et sa mère. C'est le fait de coopérer avec lui en accomplissant la volonté divine qui nous lie au Sauveur.
Maintenant, j'aimerais que nous nous tournions vers Hébreux 1. C'est une autre raison pour laquelle nous n'avons pas besoin de prier Marie, ou par Marie, ou de lui demander de prier pour nous. Le sacrifice de Yahushua nous donne un accès immédiat au Père. Lisons Hébreux 10, les versets 19 à 23.
Thomas : "Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire 20 par la route nouvelle et vivante qu'il a inaugurée pour nous au travers du voile, c'est-à-dire, de sa chair, 21 et puisque nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Yah, 22 approchons-nous avec un coeur sincère, dans la plénitude de la foi, les coeurs purifiés d'une mauvaise conscience, et le corps lavé d'une eau pure. 23 Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle."
Jean : Grâce à la mort expiatoire de Yahushua sur la croix, chacun d'entre nous a maintenant un accès immédiat au Père. Bien que nos péchés nous aient séparés de Lui, Son amour pour nous n'a jamais faibli. Par la foi dans le sang de Yahushua, même le pire des pécheurs peut maintenant s'approcher de Yah, pour lui-même, juste par lui-même. Nous n'avons pas besoin de demander à quelqu'un d'autre de prier pour nous.
Thomas : D'accord. Peut-être que nous n'avons pas "besoin" de prier par l'intermédiaire de Marie, mais est-ce si mal de demander à quelqu'un de prier pour nous ? Je veux dire, il faut admettre que certaines personnes semblent obtenir plus de réponses à leurs prières que d'autres.
Jean : Les personnes qui obtiennent le plus de réponses à leurs prières sont celles qui ont appris à prier de façon très spécifique, au lieu de toujours formuler les choses de façon générale. Il existe une science de la prière, pour ainsi dire, et pour ceux qui voudraient en savoir plus à ce sujet, vous pouvez lire nos articles qui traite de cela, regarder nos vidéos ou écouter nos précédentes émissions sur le sujet. Mais Yahuwah nous aime tellement qu'Il a pris en compte le fait que nous ne sommes que des humains. Il sait que nous sommes faibles, et imparfaits…
Thomas : De la poussière.
Jean : Nous sommes de la poussière ! C'est vrai. Mais le Père en tient compte. Lisons Romains 8, les versets 26 et 27. J’aime ce chapitre, mais ces deux versets en particulier sont particulièrement encourageants.
Thomas : Très bien. Il est écrit : "De même aussi l'Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu'il nous convient de demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; 27 et celui qui sonde les coeurs connaît quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est selon Yah qu'il intercède en faveur des saints."
Jean : En d'autres termes, Yahuwah Lui-même nous indique comment prier d'une manière qui Lui donne la voie libre pour répondre à nos prières. C'est dire à quel point Il nous aime et est prêt à entendre et à répondre à nos prières.
Thomas : C'est bien. J'aime. C'est si encourageant ! Je sais que, pour ma part, j'ai parfois eu l'impression que mes prières ne passaient pas parce que je ne disais tout simplement pas les bons mots, ou que je ne suppliais pas assez fort, peut-être. Tu as dit que les personnes dont les prières sont le plus exaucées ont appris à prier… qu'as-tu dit ?
Jean : Plus précisément. Trop souvent, les gens ont tellement peur de demander quelque chose qui pourrait ne pas être la volonté de Yah, qu'ils prient de façon si large, et font des demandes si ouvertes que, même lorsque Yah répond, ils n'ont aucun moyen de le savoir !
Thomas : Oui, mais, il faut avouer : c'est une chose effrayante que d'aller à l'encontre de la volonté de Yah.
Jean : Mais ne penses-tu pas que Yah sait ce qu'il y a dans nos cœurs ? Il ne va pas récompenser la foi de Ses enfants en leur donnant quelque chose qui leur ferait du mal ! Allons dans Matthieu 7. Lisons les versets 8 à 11. Si cela ne donne pas la confiance nécessaire pour prier spécifiquement, je ne sais pas ce qui le fera !
Thomas : "Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. 9 Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain ? 10 Ou, s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? 11 Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent."
Jean : Demandez au Père ce dont vous avez besoin. Demandez-Lui ce que vous voulez. Il n'est pas un distributeur automatique géant dans le Ciel, mais Il veut ce qu'il y a de mieux pour vous et il veut votre bonheur. Il nous a donné toutes les indications qu'Il veut que nous venions à Lui avec nos problèmes, nos peurs, nos luttes et nos joies et victoires. Il veut une relation avec nous, individuellement.
Alors allez vers Lui ! Vous ne pouvez pas Le surcharger. Vous ne pouvez pas Le rendre perplexe. Il vous attend. Il ne s'imposera jamais là où Il n'est pas désiré, mais Il veut une relation personnelle avec chacun de Ses enfants.
Thomas : C'est magnifique, et très inspirant pour la foi.
Continuez à nous envoyer vos questions et commentaires, les amis. Nous aimons avoir des nouvelles de nos auditeurs, que ce soit par les ondes courtes, sur notre site Web, ou sur notre chaîne YouTube. Il vous suffit d’aller sur WorldsLastChance.com et de cliquer sur " contactez-nous ".
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Promesse Quotidienne
Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.
Charlotte Elliott, de Brighton en Angleterre, était malheureuse. Sa santé était ruinée et la frustration d'être une malade chronique la mettait en colère et lui donnait du ressentiment. Comme beaucoup de personnes dans sa situation, elle reporta sa frustration sur ceux qui l'entouraient. Plus encore, elle blâma Yahuwah.
"Si Dieu m'aimait vraiment", disait-elle, "il n'aurait pas permis que cela m'arrive".
Un pasteur suisse du nom de Dr. Cesar Malan rendit visite aux Elliott dans l'espoir d'aider Charlotte. Au cours du dîner, le soir du 9 mai 1822, la rage de Charlotte explosa et elle se déchaîna contre Yahuwah et sa propre famille jusqu'à ce que, dans l'embarras, ils aient quitté la pièce.
Seuls Charlotte et le Dr Malan restèrent. Après l'avoir regardée tranquillement pendant un moment, il lui demanda : "Tu es fatiguée de toi-même, n'est-ce pas ?".
Charlotte était surprise. Elle écouta pendant qu'il continuait : "Tu t'accroches à ta haine et ta colère parce que tu n'as rien d'autre au monde à quoi te raccrocher. En conséquence, tu es devenue aigrie, amère et rancunière."
N'entendant aucun jugement, seulement de la compréhension dans la voix du ministre pastoral, Charlotte a demandé : "Avez-vous un remède ?"
"La foi que vous essayez de mépriser", a-t-il promptement répondu.
Au fil de leurs visites, le cœur de Charlotte s'adoucit.
Elle a finalement demandé : "Si je voulais devenir Chrétienne et partager la paix et la joie que vous possédez, que devrais-je faire ?"
C'était l'ouverture que Dr. Malan avait attendue. "Vous vous donnez simplement à Yah, juste comme vous êtes maintenant", a-t-il expliqué. "Allez à Lui avec vos combats et vos peurs, vos haines et vos amours, votre fierté et votre honte. Allez à Lui tel que vous êtes".
Charlotte s’est approchée de Yahuwah, telle qu'elle était. En se rapprochant de Yah et en Le laissant la transformer, elle a découvert de nombreuses et précieuses promesses. L'une d'entre elles, qui lui a apporté un grand réconfort, est celle de Jean 6, verset 37, qui dit : "Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi".
Bien que Charlotte n'ait jamais retrouvé la santé, elle était forte en son Sauveur. Elle a vécu jusqu'à 82 ans et écrit plus de 50 hymnes. L'un d'entre eux est devenu le cantique d'invitation le plus célèbre de l'histoire. Il dit, en partie :
Tel que je suis, sans autre plaidoyer
Que ton sang qui a été versé pour moi,
Et que Tu m'as offert de venir à Toi,
O Agneau de [Yah], je viens, je viens.
Tel que je suis, Tu me reçois,
Tu accueilles, tu pardonnes, tu purifies, tu soulages ;
Car en Ta promesse je crois,
Ô Agneau de [Yah], je viens, je viens.
Vous n'avez pas besoin de vous améliorer pour être accepté par Yah. Tout ce que vous avez à faire, c'est d'aller vers Lui, tel que vous êtes, et Il vous acceptera parce que… Il…vous… aime.
Jérémie 31, verset 3 nous dit : "De loin Yahuwah se montre à moi: Je t'aime d'un amour éternel; C'est pourquoi Je te conserve ma bonté."
Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!
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Partie 3
Thomas : Je ne cesse d'être étonné par les erreurs ridicules auxquelles nous avons cru. Je veux dire, certaines de ces choses, même les enfants se les posent. Mais quand les adultes n'ont pas de réponses, ces questions très perspicaces sont rejetées, l'enquête naturelle est supprimée, et on nous dit que c'est un mystère que nous devons accepter sur la foi.
Jean : Eh bien, ce qui est vraiment dommage, c'est que même si la vérité est là et disponible, la grande majorité d'entre nous sommes devenu complaisants et fiers de ce que nous pensons savoir.
"Un seul Seigneur" a toujours fait référence à une seule personne. Pas trois, pas deux : un seul. Dire que Yahuwah est trois personnes en une seule contredit les Écritures.
Thomas : Eh bien, à mon avis, ça se résume vraiment à ceci : allons-nous prendre la Parole de Yahuwah telle qu'elle est écrite, telle que Son Esprit a inspiré les auteurs de la Bible ? Ou allons-nous imposer notre propre perspective influencée par les païens sur les mots de l'Écriture ? Les Écritures ne peuvent pas être plus claires, en déclarant qu’il n'y a : qu'un seul vrai Dieu, Yahuwah.
Jean : Comme Paul l'a écrit dans 1 Corinthiens 8 verset 6 : "Pour nous [les chrétiens], il y a qu’un seul Dieu : le Père." Cela aurait été l'endroit logique pour expliquer une divinité trine, mais c’est ce n’est pas ce qu’il a fait !
Vous voyez, les vérités de l'Écriture sont à plusieurs niveaux. Oui, elles servent à nous enseigner les vérités que nous devons connaître pour être sauvés. Mais plus que cela, elles sont destinées à nous préparer pour les jours à venir. Connaître la vraie nature de Yah et la vraie nature du Sauveur est vital. Cela nous révèle, d'une toute nouvelle manière, l'amour du Père ainsi que des nuances du plan de salut que nous manquons si nous supposons que Yahushua est Dieu.
Thomas : Une autre raison pour laquelle je crois qu'il est important d'étudier par nous-mêmes, et de connaître la vérité, est que les illusions de satan dans les jours à venir vont être construites sur les mensonges qu'il a fait croire à tout le monde depuis si longtemps. Il a construit cet édifice géant d'erreurs sur les mensonges qu'il a propagés au cours des 6000 dernières années. Donc, si nous voulons être en sécurité, nous devons rester humbles, admettre que nous ne savons pas tout, et commencer à étudier.
Jean : Oui. Rester humble. Nous n'aimons pas beaucoup cela, de façon naturelle, n'est-ce pas ? Nous aimons l'assurance que nous ressentons quand nous pensons tout savoir. Nous aimons ce subtil sentiment de supériorité, même inconscient. Mais surtout, nous aimons ce sentiment de sécurité quand nous nous disons que nous connaissons toute la vérité nécessaire au salut.
Mais ce n'est vraiment pas le cas, et c'est pourquoi le Ciel déverse la lumière, en ce moment même. Je sais que ce sujet est délicat dans les milieux chrétiens. Nous avons été élevés dès l'enfance pour croire en une trinité. Nous prions "Jésus". En tant qu'enfant, nos premières prières lui sont adressées. Nous chantons son amour et son sacrifice. Les mots intemporels de la doxologie se terminent par "Louez le Père, le Fils et le Saint-Esprit".
Et pourtant, dans tout cela, la vérité sur Yahuwah, Son amour infini pour les pécheurs, les sacrifices qu'Il a faits, se perdent dans toute cette adoration portée uniquement sur le fils. Et cette incompréhension du rôle de Yahushua, et sa nature, nous prépare aux illusions de satan à la fin des temps, qui approche à grands pas.
Thomas : Dirais-tu que les chrétiens commettent de l'idolâtrie dans leur… vénération du Sauveur ?
Jean : On peut le dire, oui, d’une certaine façon. Parce qu'il ne s'agit pas seulement de faire preuve de respect, d'amour et de gratitude. C'est quelque part lui rendre le culte qui est dû à Yahuwah seul. La définition de l' "idolâtrie" ne se limite pas à l'adoration d’idoles. Elle inclut également dans sa définition : "une dévotion aveugle ou excessive à quelque chose". Eh bien, quand nous détournons notre attention et notre dévotion du seul vrai Dieu, Yahuwah, que faisons-nous ?
Thomas : Nous commettons une forme d’idolâtrie.
Jean : C'est ça. Pour terminer, j'aimerais que nous lisions les conseils de Paul à Timothée. Bien qu’il ait écrit cela pour Timothée, ces mots s'appliquent également à nous tous. Notez la description de Yahuwah, donnée ici. Cela s'applique à Yah seul, jamais à Yahushua. Ça souligne la nature de Yahuwah, en tant que seul vrai Dieu.
Thomas : Quel verset ?
Jean : 1 Timothée, chapitre 6, versets 12 à 16.
Thomas : Il est écrit : "Combats le bon combat de la foi, saisis la vie éternelle, à laquelle tu as été appelé, et pour laquelle tu as fait une belle confession en présence d'un grand nombre de témoins.
13 Je te recommande, devant Yah qui donne la vie à toutes choses, et devant Yahushua-Christ, qui fit une belle confession devant Ponce Pilate, 14 de garder le commandement, et de vivre sans tache, sans reproche, jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Yahushua Christ, 15 que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le roi des rois, et le Seigneur des seigneurs, 16 qui seul possède l'immortalité, qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n'a vu ni ne peut voir, à qui appartiennent l'honneur et la puissance éternelle. Amen ! "
Jean : Voici notre devoir : combattre le bon combat de la foi, en s'accrochant à la vie éternelle. Et nous le faisons, quand nous acceptons par la foi la parole de Yah, telle qu'elle est écrite.
Thomas : Amein. Amein.
Nous espérons que vous pourrez nous rejoindre à nouveau demain, et d'ici là, souvenez-vous : Yahuwah vous aime, et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance, en toute sécurité, car Il en est digne !
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Fin
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