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Le Consolateur : Ce n’est pas qui vous croyez !

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Programme 197

Le Consolateur : Ce n'est pas qui vous croyez !

Partie 1

Thomas Rolland : L'une des promesses les plus précieuses que Christ ait donnée aux disciples, juste avant sa crucifixion, a été la promesse de la venue du Consolateur.

Bonjour, je suis Thomas Rolland et vous écoutez Radio WLC.

Nous avons toujours – du moins j'ai toujours – supposé que le "Consolateur" était l’Esprit Saint. Mais aujourd'hui, avec Jean Olivier nous allons présenter des preuves assez convaincantes pour prouver que le Consolateur est en fait quelqu'un d'autre. Vous allez vouloir entendre ce que nous avons à dire.

Plus tard, dans notre Courrier des Auditeurs, nous répondrons à la question : "Est-ce un péché de se mettre en colère ?" Je pense que la plupart d'entre nous se mettent en colère à un moment ou à un autre. Est-ce un péché ? Et comment les chrétiens d'aujourd'hui peuvent-ils gérer leurs problèmes de colère ? Restez à l'écoute pour le savoir.

Jean ? Tu as vraiment piqué mon intérêt quand tu m'as dit que tu avais creusé dans les Écritures et découvert que l'identité du Consolateur est différente de ce que nous avions toujours supposé. Que peut-on dire à ce sujet ?

Jean Olivier : Eh bien, c'est un peu un cas d'erreur d'identité. Pour moi, c'est aussi un changement de paradigme. J'ai passé toute ma vie à croire que l’Esprit Saint était le Consolateur, et j'ai découvert que ce n'était pas le cas. Ou, pas vraiment. Pour être honnête, c'est un peu désorientant.

Ça me rappelle un cas d'erreur d'identité qui s'est produit en octobre 2012. Un homme du nom de Gilberto Araújo, originaire d'Alagoinhas, au Brésil, marchait dans la rue quand il a croisé un de ses amis. L'ami a dû le regarder deux fois, tellement il était choqué. Gilberto a voulu savoir ce qui se passait et son ami lui a dit : "Tu es mort ! Ta famille est en ce moment à ton enterrement."

Thomas : Quoi ?

Jean : Oh oui, c'est arrivé. Gilberto s’est touché et a dit quelque chose comme : " Je ne pense pas être mort, mon frère ", mais son ami a insisté : " Il y a un cercueil et tu es dedans ! "

Thomas : Ouah. Alors, qu'est-ce qu'il a fait ?

Jean : Eh bien, il est parti voir ce qui se passait. Il a en quelque sorte gâché son propre enterrement. Il est entré. Les gens ont commencé à crier. Certains se sont évanouis. D'autres ont paniqué et se sont enfuis en courant. C’était le chaos et la confusion.

Thomas : On peut l'imaginer… Comme dans des films du genre apocalypse zombie, ou quelque chose comme ça, voir la personne morte entrer dans la pièce.

 

Jean : Il a essayé de dire à sa famille et ses amis qu'il n'était pas mort, mais ils ont tous paniqué et, bien sûr, il était là, allongé dans le cercueil.

Thomas : Qu'est-ce qui s’est passé ? Il avait un jumeau ou quelque chose comme ça ?

Jean : Non, non. C'était une erreur d'identité. Gilberto travaillait comme laveur de voitures. L'homme dans le cercueil, qui ressemblait de façon remarquable à Gilberto et avait à peu près le même âge, était aussi laveur de voitures et s'appelait Genivaldo Santos Gama. Apparemment, ils se ressemblaient beaucoup.

Le dimanche précédent, Genivaldo a été assassiné. La police, supposant qu'il s'agissait de l'autre laveur de voitures, Gilberto, a appellé le frère de Gilberto, José Marcos, et lui a dit : "Hé, ton frère a été assassiné et il est à la morgue. Pourrais-tu venir faire une identification officielle ?"

Thomas : Et son propre frère n’a pas pu le distinguer ?

Jean : Eh bien, il était préparé à voir ce qu’on lui a dit qu'il allait voir, alors quand il est arrivé, il a vu ce qu'il s'attendait à voir, c'est-à-dire Gilberto, alors que c'était Genivaldo depuis le début.

Thomas : Ouah. C'est terrible. C'est presque digne d’une comédie, mais c'est horrible. J'imagine la scène quand il est entré et qu'ils pensaient tous qu'il était mort !

Jean : Apparemment, il a eu un peu de mal à convaincre tout le monde. Il disait : " Les gars ! Pincez-moi. C'est moi. Je suis vivant !" Mais ils étaient tous en train de paniquer de toute façon.

Thomas : Pourquoi est-ce qu’il n’a pas demandé à quelqu'un de leur annoncer la nouvelle ou de les prévenir par téléphone ?

Jean : Il a essayé ! En fait, il leur a téléphoné, mais ils ont considéré qu'il s'agissait d'une farce cruelle.

Thomas : Incroyable. Oui, je dirais que c'est un vrai cas d'erreur d'identité.

 

Jean : Eh bien, c'est un peu ce que nous avons fait avec l'identité du Consolateur. Lisons le passage où Yahushua promet de l'envoyer, et ensuite nous parlerons de qui est le Consolateur, et de qui il n'est pas.

Lisons Jean 15, à partir du verset 12, pour voir le contexte.

Thomas : "C'est ici mon commandement : Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. 13 Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. 15 Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. 16 Ce n'est pas vous qui m'avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. 17 Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres. 18 Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous. 19 Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait."

Jean : Il les a avertis qu'ils pouvaient s'attendre à recevoir le même mauvais traitement que lui-même a reçu.

Thomas : "Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n'est pas plus grand que son maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s'ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre."

Jean : Voilà pourquoi ils devaient-ils avoir besoin d'être réconfortés. Verset 23 : "Celui qui me hait, hait aussi mon Père." Lisons maintenant les versets 25 à 27.

Thomas : "Mais cela est arrivé afin que s'accomplît la parole qui est écrite dans leur loi : Ils m'ont haï sans cause. 26 Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l'Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi; 27 et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement."

Jean : Voici donc un indice au sujet du Consolateur. Il vient du Père. Passons maintenant à Jean 16. Depuis Jean 14, jusqu’à Jean 16, Christ ne cesse de parler du Consolateur.

Commençons au verset 1. Remarquons ici comment Yahushua explique pourquoi ils vont vouloir et avoir besoin d'un Consolateur. Remarquons ensuite ce que sera l’oeuvre du Consolateur une fois qu'il sera venu.

Thomas : "Je vous ai dit ces choses, afin qu'elles ne soient pas pour vous une occasion de chute. 2 Ils vous excluront des synagogues; et même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. 3 Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi. 4 Je vous ai dit ces choses, afin que, lorsque l'heure sera venue, vous vous souveniez que je vous les ai dites. Je ne vous en ai pas parlé dès le commencement, parce que j'étais avec vous. 5 Maintenant je m'en vais vers celui qui m'a envoyé, et aucun de vous ne me demande : Où vas-tu ? 6 Mais, parce que je vous ai dit ces choses, la tristesse a rempli votre coeur. 7 Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m'en vais, je vous l'enverrai. 8 Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement : 9 en ce qui concerne le péché, parce qu'ils ne croient pas en moi; 10 la justice, parce que je vais au Père, et que vous ne me verrez plus; 11 le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé. 12 J'ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. 13 Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. 14 Il me glorifiera, parce qu'il prendra de ce qui est à moi, et vous l'annoncera. 15 Tout ce que le Père a est à moi; c'est pourquoi j'ai dit qu'il prend de ce qui est à moi, et qu'il vous l'annoncera."

Jean : Il y a beaucoup de choses dans ce passage. Tout d'abord, bien sûr, la raison pour laquelle ils auront besoin d'un consolateur : ils vous excluront, ou vous excommunieront ; celui qui vous tuera pensera qu'il sert Yah… c'est une persécution lourde qui est décrite ici. Ils auront besoin d'être consolés.

Mais ce n'est pas tout. Le Consolateur aura une tâche spéciale à accomplir. Que dit Yahushua aux disciples au verset 12 ?

Thomas : "J'ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter (ou les supporter, dans une autre version) maintenant."

Jean : Donc une partie de l’oeuvre du Consolateur serait d'enseigner aux apôtres ce que, à ce stade, ils n'étaient pas prêts à apprendre. Qu'est-ce que le Consolateur devait faire d'autre ? Versets 8 à 11.

Thomas : "Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement : 9 en ce qui concerne le péché, parce qu'ils ne croient pas en moi; 10 la justice, parce que je vais au Père, et que vous ne me verrez plus; 11 le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé."

Jean : Il est important de noter que le Consolateur ne devait pas venir tant que Christ était là. C'est pourquoi il dit, au verset 7 : "Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m'en aille". Il est avantageux, il est nécessaire pour atteindre le but, qu'il s'en aille, car s'il ne le faisait pas, le Consolateur ne viendrait pas à eux.

Nous avons toujours pensé que le Consolateur était l’Esprit Saint, et cette séparation et désignation distinctes semblent confirmer l'existence d'une divinité trinitaire. Après tout, le "Consolateur" dans ces passages est une entité à part entière.

Eh bien, après des recherches approfondies et minutieuses, nous croyons que le Consolateur est Yahushua lui-même. Non pas une troisième personne désincarnée d'une divinité trois-en-un, mais Christ ressuscité lui-même.

Thomas : D'où tiens-tu cela ? Parce qu'en lisant Jean, on a l'impression que Yahushua fait référence à quelqu'un d'autre. Il ne dit pas : "Je reviendrai vers vous". Il dit que le Consolateur – il – viendra à vous. Je dois partir, mais je vous l'enverrai. On ne dirait pas qu'il parle de lui-même.

Jean : C'est une question juste. Très bien. Passons à Luc 9 et lisons les versets 18 à 22.

Thomas : "Un jour que Yahushua priait à l'écart, ayant avec lui ses disciples, il leur posa cette question : Qui dit-on que je suis ? 19 Ils répondirent : Jean Baptiste; les autres, Elie; les autres, qu'un des anciens prophètes est ressuscité. 20 Et vous, leur demanda-t-il, qui dites-vous que je suis ? Pierre répondit : Le Christ de Yahuwah. 21 Jésus leur recommanda sévèrement de ne le dire à personne. 22 Il ajouta qu'il fallait que le Fils de l'homme souffrît beaucoup, qu'il fût rejeté par les anciens, par les principaux sacrificateurs et par les scribes, qu'il fût mis à mort, et qu'il ressuscitât le troisième jour."

Jean : Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres où Yahushua se réfère à lui-même à la troisième personne. Nous ne nous désignons généralement pas nous-mêmes à la troisième personne. Nous utilisons plutôt des pronoms personnels et disons "je" ou "moi" ou "moi-même". Mais à plusieurs reprises, Yahushua s'est référé à lui-même à la troisième personne.

Un autre endroit où il l'a fait, c'est dans Marc 2. Lisons les versets 1 à 11, pour avoir le contexte.

Thomas : "Quelques jours après, Yahushua revint à Capernaüm. On apprit qu'il était à la maison, 2 et il s'assembla un si grand nombre de personnes que l'espace devant la porte ne pouvait plus les contenir. Il leur annonçait la parole. 3 Des gens vinrent à lui, amenant un paralytique porté par quatre hommes. 4 Comme ils ne pouvaient l'aborder, à cause de la foule, ils découvrirent le toit de la maison où il était, et ils descendirent par cette ouverture le lit sur lequel le paralytique était couché. 5 Yahushua, voyant leur foi, dit au paralytique : Mon enfant, tes péchés sont pardonnés. 6 Il y avait là quelques scribes, qui étaient assis, et qui se disaient au dedans d'eux : 7 Comment cet homme parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Yah seul ? 8 Yahushua, ayant aussitôt connu par son esprit ce qu'ils pensaient au dedans d'eux, leur dit : Pourquoi avez-vous de telles pensées dans vos coeurs ? 9 Lequel est le plus aisé, de dire au paralytique : Tes péchés sont pardonnés, ou de dire : Lève-toi, prends ton lit, et marche ? 10 Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés : 11 Je te l'ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison."

Jean : Il aurait pu tout aussi bien dire : "Je veux que vous sachiez que j'ai le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés". C'est probablement ainsi que vous ou moi l'aurions formulé. Mais ce n’est pas ce qu’il a fait. Il l'a formulé à la troisième personne : "Je veux que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les péchés". Encore une fois, il parle de lui-même, mais à la troisième personne. Ce n'est pas inhabituel de la part de Christ.

Mais il y a plus, quand il se réfère au Consolateur dans Jean 14 à 16. Ici, Yahushua parle de son moi futur, de son moi ressuscité, après sa mort et sa résurrection. Il ne parle pas de son moi présent, c'est pourquoi il dit qu'il est avantageux pour les disciples qu'il s'en aille. Il est avantageux qu'il meure pour leurs péchés. Ensuite, il reviendra lui-même auprès d'eux en tant que leur Consolateur.

Le Sauveur ressuscité et glorifié est le Consolateur. Retournons à Jean 14 et lisons les versets 16 à 18.

Thomas : "Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, 17 l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. 18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous."

Jean : Très bien, ce sont les versets 16 et 17. Vous seriez justifiés de dire : " Vous voyez, c'est l'Esprit de vérité ! Le Saint-Esprit !" Mais continuons à lire. Que dit le verset 18 ?

Thomas : "Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous."

Jean : Christ lui-même est le Consolateur. Il est littéralement venu à plusieurs reprises auprès des disciples après sa résurrection.

Nous avons déjà largement abordé la doctrine de la trinité dans d'autres programmes. Il s'agit d'une doctrine issue du paganisme. Aucun des apôtres ne croyait en une divinité trois-en-un, ni ne l'a enseignée. En fait, cette croyance a suscité de nombreuses controverses quand elle a été officiellement introduite pour la première fois dans la théologie de l'Église au quatrième siècle. Certaines personnes ont même perdu la vie en s’opposant à cette nouvelle croyance.

Thomas : Si vous avez manqué ces émissions, vous pouvez toujours les écouter sur notre site web, ou notre chaîne YouTube.

Jean : Exact. C’est ainsi que les chrétiens d'aujourd'hui ont hérité de la doctrine de la trinité. Et nous avons superposé cette interprétation à l'ensemble des Écritures et nous pensons qu'elle est là quand nous lisons, parce que c'est ce que nous nous attendons à voir. Tout comme Jose, le frère de Gilberto. La police lui a dit que son frère était mort, alors il a confirmé ce qu'il croyait déjà être la vérité. Mais ce n'était pas la vérité. C'était faux.

Eh bien, nous avons superposé une troisième personne de la divinité à ces passages parlant du Consolateur, mais ici même, dans Jean 14, verset 18, Christ identifie qui est le Consolateur ! Il dit : "Je ne vous laisserai pas orphelins", la King James dit " Je ne vous laisserai pas sans consolation", et il ajoute : "Je… viendrai à vous."

Thomas : Ouah. Comment se fait-il que je n'ai jamais vu cela auparavant ?

Jean : Personne d’entre nous ne l'a vu. Nous avons superposé la doctrine de la trinité à l'Écriture, mais elle n'est pas dans l’Ecriture.

Thomas : Ok, nous devons faire une courte pause. A notre retour, voyons ce que signifie le mot "Consolateur" dans les textes originaux.

Jean : Très bien.

Thomas : A tout de suite.

* * *

Partie 2

Thomas : J'aime l'idée que Christ ressuscité est lui-même notre Consolateur. Que signifie le mot "consolateur " dans le texte original ? Et est-ce une traduction exacte ?

Jean : Oui. Lisons la définition du mot dans le dictionnaire biblique.

 

Thomas : Très bien. Voyons voir. Ça vient de parakletos. Cela signifie : un intercesseur, un consolateur, ou un avocat.

Il est dit, je cite : "Parakletos est celui qui est convoqué, appelé à ses côtés, spécialement appelé à son aide et est utilisé pour le Christ dans son exaltation à la droite de Dieu, plaidant avec Dieu le Père pour le pardon de nos péchés ; et le Saint-Esprit destiné à prendre la place du Christ avec les apôtres (après l'ascension du Christ vers le Père), pour les conduire à une connaissance plus profonde de la vérité de l’Évangile, et leur donner la force divine nécessaire pour leur permettre d'affronter les épreuves et les persécutions au nom du royaume divin".

Jean : Cette définition, vue sous un angle trinitaire, semble confirmer la conception traditionnelle selon laquelle le Consolateur est le Saint-Esprit.

Thomas : Oui, j'ai remarqué l'expression "Dieu le Père". Celui qui a écrit cette définition était très probablement trinitaire. C'est le cas de la plupart des chrétiens.

Jean : Bien sûr. Mais la vérité est que parakletos n'apparaît que cinq fois dans le Nouveau Testament et quand on laisse l'Écriture s'interpréter elle-même, il est très clair que le Consolateur dont il est question est, en effet, Yahushua. Il est traduit quatre fois par "consolateur" et une fois par "avocat".

Lisons une autre définition du même mot.

Thomas : Je cite : "Convoqué, appelé à ses côtés, particulièrement appelé à l'aide. Celui qui plaide la cause d'un autre devant un juge, un plaideur, un conseiller de la défense, un assistant juridique, un avocat. Celui qui plaide la cause d'autrui auprès de quelqu'un, un intercesseur. Du Christ, dans son exaltation à la droite de Dieu, plaidant auprès de Dieu le Père pour le pardon de nos péchés. Dans le sens le plus large, un assistant, un secoureur, une aide."

Jean : Je dirais que c'est une description parfaite du rôle de Yahushua en tant que notre Sauveur, médiateur et avocat, n'est-ce pas ?

Thomas : Oh, oui. Ça correspond tout à fait.

Jean : Passons maintenant à 1 Jean, chapitre 2, où parakletos est utilisé : 1 Jean 2, versets 1 à 2.

Thomas : "Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat (ou un défenseur dans une autre version)…"

Jean : Parakletos.

Thomas : "…auprès du Père, Yahushua Christ le juste. 2 Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. "

Jean : Ce verset ne parle clairement pas de la version trinitaire du Saint-Esprit, ou de "Dieu le Saint-Esprit", "troisième personne" d'une divinité trinitaire. Il fait référence à Yahushua. Christ lui-même est notre avocat, et il est notre Consolateur.

Le mot "auprès de" ou "avec" – "nous avons un avocat auprès du Père" – est le mot pros, en grec. Il signifie : "dans le voisinage immédiat". Yahushua, le Sauveur ressuscité, est avec le Père, il est dans Sa proximité immédiate dans les Cieux.

Examinons maintenant un commentaire intéressant que Yahushua a fait quand il conversait avec la femme au puits. Il a été en fait assez direct dans cette conversation, lui disant des choses qu'il n'avait pas encore dites, même aux Juifs.

Lisons Jean 4, les versets 23 et 24.

Thomas : "Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. 24 Yah est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité."

Jean : Nous adorons Yahuwah par l'esprit de vérité. Ce qui est intéressant dans cette déclaration, c'est qu'il se réfère à deux périodes différentes. "L'heure vient", dit Christ, "et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité."

L'heure qui vient concerne les apôtres et nous. À tous ceux qui croient aux mérites du Christ ressuscité. Le "elle est déjà venue" se réfère à Christ. Il adorait Yahuwah par l'esprit de vérité, le propre esprit de Yahuwah.

Thomas : Maintenant, n'allez pas imposer la " troisième personne de la divinité " à ce que nous disons ici, les amis ! Je le sais, parce que, quand j’ai étudié personnellement cette idée – qu'il n'y a pas de trinité, que c'est une doctrine adoptée du paganisme -, j'ai cherché chaque utilisation du mot "esprit" dans l'Écriture. De Genèse à Apocalypse, il signifie toujours la même chose : c'est simplement un "souffle". Voilà c'est qu'est l’Esprit Saint. C'est le souffle de Yahuwah.

C'était l'agent actif dans la Création ; c'est l'agent actif dans notre re-création, et c'est ce qui habite en nous par la foi, nous permettant de L'adorer en esprit et en vérité.

Jean : On peut voir cela dans un autre passage de Jean. Jean, plus que tout autre auteur de l’Évangile, avait saisi les profondes vérités spirituelles de l'Évangile.

Passons à Jean 7 et lisons les versets 37 à 39. C'est un passage très intéressant.

Thomas : "Le dernier jour, le grand jour de la fête, Yahushua, se tenant debout, s'écria : Si quelqu'un a soif, qu'il vienne à moi, et qu'il boive. 38 Celui qui croit en moi, des fleuves d'eau vive couleront de son sein, comme dit l'Ecriture. 39 Il dit cela de l'Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui; car l'Esprit n'était pas encore, parce que Yahushua n'avait pas encore été glorifié."

 

Jean : Ce passage nous donne un détail important. L’Esprit Saint, qui est une effusion spéciale sur les croyants, n'avait pas encore été donné… parce queYahushua n'était pas encore glorifié. Il ne s'agit pas ici de la montagne de la transfiguration. Ça, c'était simplement un avant-goût. Ce n’est pas resté, et seuls trois des disciples ont eu le privilège d'en être les témoins.

La glorification à laquelle il est fait référence ici, la glorification qui était la condition préalable au don de l'Esprit de Yah, s'est produite quand Christ est ressuscité. Il y est fait allusion dans Jean 14, que nous avons déjà regardé dans notre première partie, mais j’aimerais y retourner et souligner quelque chose, maintenant que nous savons que c'est Yahushua lui-même qui est le Consolateur et notre Avocat.

Thomas : Quel verset ?

 

Jean : Les versets 16 à 21.

Thomas : "Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous"

Jean : Vous avez entendu ? Christ dit qu'il demandera au Père d’envoyer un autre consolateur. Qui était le premier consolateur ?

Christ lui-même ! Il réconfortait les disciples, ici. Il allait être trahi et tué dans peu de temps, et il réconfortait les disciples.

Continuons à lire. Verset 17.

Thomas : "l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. 18 Je ne vous laisserai pas orphelins, je viendrai à vous. 19 Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; mais vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi. 20 En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous. 21 Celui qui a mes commandements et qui les garde, c'est celui qui m'aime; et celui qui m'aime sera aimé de mon Père, je l'aimerai, et je me ferai connaître à lui."

Jean : Ici encore, Christ réconforte les disciples. Il dit : " Je ne vous laisserai pas orphelins (ou sans consolation), je viendrai à vous." Et la façon dont il est venu aux disciples, et la façon dont il vient à nous, c'est par l'esprit de vérité, l'esprit régénérateur de Yah.

Le Consolateur qui devait venir est le même être qui les réconfortait au moment où il leur parlait, sauf qu'il a été ressuscité ; il a été glorifié. C'est Christ ressuscité et glorifié qui est l'autre Consolateur.

Thomas : C'est magnifique. Ça me rappelle quand Yahushua a dit : "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. 29 Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. "

Jean : Il est le Consolateur. Il l'a toujours été, avant sa mort et après sa résurrection. Il est notre Consolateur et notre Avocat. Notre Médiateur.

Regardons maintenant ce que Paul dit dans à Romains 7, verset 4.

Thomas : "De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Yahuwah."

Jean : Les croyants meurent avec Christ (par la foi), pour ressusciter avec lui. Mais remarquons comment Paul décrit cela ici. Il dit que nous sommes morts à la loi par le corps de Christ, pour que nous puissions "appartenir à un autre". Qui est cet "autre" ? Paul le dit juste après : "à celui qui est ressuscité des morts".

Nous avons donc ici, à nouveau, ce concept du Christ présent avec les disciples avant sa mort et devenant un "autre" à sa résurrection et glorification.

Thomas : Le même être, bien sûr.

Jean : Bien sûr, mais maintenant il est le Christ ressuscité, et c'est le Christ ressuscité qui est notre Consolateur, l' "autre" Consolateur que Yahuwah devait nous envoyer après sa mort.

Les disciples ont connu Yahushua dans la chair. Ce n'est pas notre cas, parce que quelque chose a changé. Lisons 2 Corinthiens 5, versets 16 et 17. Paul, avec sa profonde connaissance théologique, soulève ici un point intéressant, qui fait écho à ce qu’il a écrit dans Romains. 2 Corinthiens 5, versets 16 à 17.

Thomas : "Ainsi, dès maintenant, nous ne connaissons personne selon la chair; et si nous avons connu Christ selon la chair, maintenant nous ne le connaissons plus de cette manière. 17 Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles."

Jean : Et 1 Corinthiens 15:42 à 49 ?

Thomas : "Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Le corps est semé corruptible; il ressuscite incorruptible; 43 il est semé méprisable, il ressuscite glorieux; il est semé infirme, il ressuscite plein de force; 44 il est semé corps animal (ou naturel), il ressuscite corps spirituel. S'il y a un corps animal (ou naturel), il y a aussi un corps spirituel. 45 C'est pourquoi il est écrit : Le premier homme, Adam, devint une âme vivante. Le dernier Adam est devenu un esprit vivifiant. 46 Mais ce qui est spirituel n'est pas le premier, c'est ce qui est animal (naturel); ce qui est spirituel vient ensuite. 47 Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre; le second homme est du ciel. 48 Tel est le terrestre, tels sont aussi les terrestres; et tel est le céleste, tels sont aussi les célestes. 49 Et de même que nous avons porté l'image du terrestre, nous porterons aussi l'image du céleste."

Jean : Cela parle de la transformation qui se produira chez les croyants quand ils seront rescuscités et transformés au retour de Yahushua. Ils sont une chose dans la chair, puis ils sont ressuscités et transformés en… une "autre" chose.

Paul l’explique dans 2 Corinthiens : "Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Yah."

Ce même changement s'est produit en Christ. Il n'était pas pécheur, bien entendu, mais il a porté notre péché. Il était de chair, et a résisté au péché dans la chair.

Thomas : Esaïe 53 : "Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. 3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas."

Jean : C'était Christ dans la chair. Puis il a été tué, ressuscité et glorifié. Il est devenu "un autre".

Ce que cela nous explique, c'est que, tout comme " si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle création (ou créature selon les versions) ", il en va de même pour Yahushua. Lui aussi a été ressuscité en tant que nouvelle création. Le vieil homme, l'ancienne humanité, a été emportée avec lui dans la tombe. Puis le second Adam a été ressuscité en tant que nouvelle création. Et les croyants sont de nouvelles créations en lui.

Rappelez-vous que quand Yahushua parlait aux disciples du Consolateur, il n'était pas encore mort. Il allait mourir le lendemain, mais il n'était pas encore mort. Sa propre personne ressuscitée, encore une fois, était l'autre parakletos. C'est le parakletos promis, le Consolateur promis, qui est ressuscité, qui demeure dans le voisinage immédiat du Père, et qui demeure avec nous et en nous.

C'est un exercice intéressant que de comparer et de contraster le premier Consolateur – Christ sous la forme d'une chair pécheresse – au second Consolateur, le Consolateur n° 2, le Seigneur ressuscité. Lisons cette liste de quelques comparaisons.

Thomas : Voyons voir… Le Consolateur n°1. Yahushua selon la chair…

Jean : est devenu Yahushua selon l'Esprit en tant que Consolateur n°2.

Thomas : La " vieille humanité " sous le premier Consolateur est devenue la " nouvelle humanité " sous le second Consolateur.

Jean : Le premier Adam… le deuxième Adam.

L’ancienne création… la nouvelle création.

Thomas :

– Le mortel se transforme en immortel.

– Le terrestre devient céleste.

– Le naturel se transforme en spirituel.

– La chair et le sang deviennent l'esprit qui donne la vie.

Jean : Et quand, par la foi, nous mourons avec Christ, nous ressuscitons aussi avec lui, en tant que nouvelle création (ou créature). En tant qu’une autre création.

Thomas : Paul parle de cela. Donne-moi juste un instant pour le retrouver… Voilà ! Galates 2, verset 20. Il est écrit : "J'ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n'est plus moi qui vis, c'est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi. "

Jean : C’est une merveilleuse description. Et c'est précisément la raison pour laquelle, dans les chapitres 14 à 16 de Jean, Yahushua dit à ses disciples qu'il est dans leur intérêt qu'il s'en aille. Lisons-le à nouveau. Jean 16, verset 7.

Thomas : " Cependant je vous dis la vérité : il vous est avantageux que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous; mais, si je m'en vais, je vous l'enverrai."

Jean : Ils ne comprenaient pas. Ils voulaient juste le garder avec eux. Mais Yahushua savait qu'en tant qu'autre Consolateur, en tant que Consolateur ressuscité, il pouvait en fait être plus proche de chacun d'entre eux, comme de chacun d'entre nous. Que vous soyez en Amérique du Sud ou en Afrique, aux Philippines, en Chine, ou en Europe… Yahushua peut être aussi proche de vous qu'il l'est de quelqu'un à l'autre bout du monde, mais c'est seulement en tant que Consolateur ressuscité qu'il peut le faire.

C'est précisément ce dont Yahushua a parlé dans Jean 14 quand il a dit : "Je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, 17 l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. "

Thomas : Ah, je vois. Yahushua demeurait avec eux dans la chair, mais en s'en allant, en mourant et en ressuscitant, il pouvait demeurer en eux.

Jean : Exactement. C'est en demeurant en eux dans l'esprit, que le Christ ressuscité peut demeurer avec eux – et avec nous – pour toujours.

Jean 14, le chapitre qui commence ce passage réconfortant des Écritures, s'ouvre sur l'assurance suivante : "Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi."

Quelle est la suite ?

Thomas : "Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. 3 Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. "

Jean : Lisons Jean 14, verset 18, à nouveau et cette fois-ci, lisons aussi les versets 19 et 20.

Thomas : "Je ne vous laisserai pas orphelins (ou sans consolation), je viendrai à vous. 19 Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus; mais vous, vous me verrez, car je vis, et vous vivrez aussi. 20 En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous."

Jean : Yahushua est dans le Père. Ça signifie que, quand vous êtes en Yahushua, vous êtes aussi dans le Père et le Père est en vous. Voilà à quel point nous pouvons être proches, si proches, de notre Créateur et de notre Sauveur. Voilà le privilège et le réconfort à la disposition des croyants aujourd'hui, par le Christ ressuscité.

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Courrier des Auditeurs

Jean : D'où vient notre question aujourd'hui pour notre Courrier des Auditeurs ?

Thomas : Ah… eh bien, je ne sais pas. C’est une question anonyme.

Jean : Dommage, j'aime bien échanger des anecdotes sur les différents endroits du monde.

Thomas : Ok. Alors voici quelques anecdotes sur la terre en général. L'endroit le plus sec de la terre est le désert d'Atacama, qui se trouve juste à côté de la plus grande étendue d'eau de la planète : l'océan Pacifique.

Jean : Je me demande ce qui fait que des conditions météorologiques soient telles qu'il y ait un désert juste à côté de l'océan.

Thomas : Je ne sais pas, mais j'ai lu qu'il y a des endroits où il n'a – littéralement – jamais plu.

Jean : Surprenant. Alors, quelle est notre question pour aujourd'hui ?

Thomas : La question est la suivante : "J'ai besoin d'aide. Parfois, je suis tellement en colère que ça me fait peur. Je n'aime pas me sentir comme ça, mais je ne peux pas m'en empêcher. Après coup, je me sens tellement coupable. Je sais que je ne devrais pas me sentir comme ça, mais c'est le cas. Comment faire pour ne pas être tout le temps en colère ? En tant que chrétien, je pense que je devrais mieux contrôler mes émotions. Je ne peux pas imaginer que me sentir ainsi honore Yahuwah. J'ai prié et prié encore, mais pour l’instant il n'y a aucune différence. Aidez-moi, s’il vous plait !"

Jean : Hm. Eh bien, il y a deux questions dont nous devons aborder. La première est la colère elle-même et la seconde est la culpabilité que cette personne semble ressentir en luttant avec ses propres émotions.

Il dit qu'après s'être mis en colère, il se sent "tellement coupable". Mais de quoi se sent-il coupable ? De s'être mis en colère ? Ou de ce qu'il fait quand il est en colère ?

Thomas : Hm, c'est une bonne question. J'ai l'impression qu’il se sent coupable de ressentir de la colère.

Jean : C'est l'impression que j'ai aussi. Parlons donc de la culpabilité et de la colère. Se sentir en colère, en soi, n'est pas un péché. Les Écritures révèlent qu'il y a des moments où Yahuwah Lui-même est en colère.

Thomas : Oui, mais c'est… Yah. Sa colère est sainte.

Jean : Et la tienne ne l'est pas ?

Thomas : Euh… Honnêtement ? Non. Je suppose que Yahuwah se met en colère contre le péché et l'injustice faite aux autres. De mon côté, je me mets en colère pour d'autres choses, comme, disons, la façon dont les gens me traitent.

 

Jean : Ça ne fait pas automatiquement de la colère humaine un péché. La colère peut être une réaction très juste face à l'injustice. Elle peut être la petite voix tranquille qui affirme que ce qu'on vous a fait est mal.

Nous considérons la colère comme une émotion négative. Nous n'aimons pas ressentir des émotions négatives. L’auditeur nous dit la même chose : "Je n'aime pas me sentir comme ça". Mais ça ne fait pas de l'émotion elle-même un péché. Nous en reparlerons dans un instant. Pour l'instant, comprenons ce qu'est la culpabilité. Qu'est-ce que la "culpabilité" ? Comment est-elle définie ?

Thomas : Euh, c'est… : être responsable d'avoir commis une infraction, d'avoir fait quelque chose de mal.

Jean : C'est la clé pour déterminer si vous avez péché ou non, quand vous étiez en colère. Les émotions elles-mêmes ne sont pas un péché, ou Yahuwah ne pourrait pas les ressentir. C'est ce que vous faites quand vous ressentez ces émotions qui détermine si vous avez fait quelque chose pour lequel vous vous sentez coupable.

Quand vous êtes en colère, que faites-vous ? Vous proférez des jurons, des insultes, des gros mots ? Ce serait un péché.

Est-ce que vous vous emportez et frappez votre femme ? Votre mari ? Ce serait un péché. Il n'y a jamais d'excuse à la violence physique contre un conjoint. Jamais.

Est-ce que vous giflez-vous votre enfant ? Vous donnez un coup de pied au chien ? Vous répandez des rumeurs contre un collègue de travail ? Tous ces actes sont des péchés. Ce sont des actions qui sont mauvaises parce qu'elles causent du tort à autrui.

Thomas : Tu dis donc que le péché entre en jeu quand la colère quitte le domaine des émotions pour entrer dans celui de l'action causant du tort à autrui. C'est cela le péché.

Jean : Exactement. C'est la définition de la culpabilité : quand nous sommes responsables d'avoir fait quelque chose de mal ou d'avoir causé du tort à quelqu'un d'autre. Faire et causer. Ce sont des verbes d'action. Voilà la différence.

Il y a un autre point que je voudrais aborder. Alors, très rapidement, parlons de la façon de gérer la colère. La première chose…

Thomas : La prière.

Jean : Bien sûr. Et c'est ce qu'il fait. Il prie déjà à ce sujet, donc la première chose à faire, après la prière, serait d'essayer d'analyser ce qui provoque la colère à l'intérieur. Si vous vous mettez facilement en colère, il y a généralement une autre raison que la provocation immédiate du moment. Il peut s'agir de stress, à la maison ou au travail. Il peut s'agir d'un chagrin, d’une douleur. Le chagrin se manifeste souvent par de la colère. Il peut aussi s'agir d'un traumatisme non résolu. Parfois, ces traumatismes remontent à une enfance marquée par les abus. Les problèmes et les blessures non guéries de l'enfance peuvent nous affecter toute notre vie s'ils ne sont pas résolus.

Si c'est ce qui semble être à l'origine de la colère, il peut être très utile de consulter un thérapeute qualifié. Il n'y a pas de honte ou de péché à demander de l'aide.

Thomas : C'est vrai. Quand nous sommes malades, nous allons voir un médecin ou nous utilisons des remèdes maison pour nous soigner. Dans un cas comme dans l'autre, nous prenons les devants pour obtenir l'aide dont nous avons besoin pour aller mieux. Il ne devrait pas y avoir de honte à demander de l'aide pour des blessures émotionnelles.

Jean : C'est vrai.

Les troubles de l'humeur, le syndrome de stress post-traumatique ou des déséquilibres hormonaux peuvent aussi être à l'origine de la colère. Mais ce n'est pas pour autant qu’on peut dire qu'on fait du mal à quelqu'un d'autre. Ce n'est pas un péché.

Une fois que vous savez ce qui provoque la colère, vous pouvez commencer à identifier les éléments déclencheurs. Le stress de la conduite aux heures de pointe est-il un déclencheur ? Ok. Une fois que vous le savez, vous pouvez le contourner. Demandez à votre patron si vous pouvez arriver au travail une demi-heure plus tôt et partir une demi-heure plus tard.

Ce n'est peut-être pas toujours possible, mais ce que je veux dire, c'est qu'une fois que vous connaissez la cause de la colère, vous pouvez identifier ce qui déclenche les accès de colère. Peut-devez-vous quitter le travail à l'heure prévue, mais passer une heure dans un café du coin, ou un endroit calme, pour éviter l'intensité de la circulation à l'heure de pointe. Si vous connaissez vos déclencheurs, vous pouvez les éviter ou vous éloigner de la situation.

Thomas : En parlant de s'éloigner, l'exercice physique est d'une grande aide quand vous faites face à des émotions accablantes, qu'il s'agisse de colère, de chagrin ou toute autre émotion. Vous pouvez les canaliser en faisant de l'exercice. Ça aide beaucoup.

Jean : Parfois, on a l'impression que la colère nous frappe comme un éclair venu d'un ciel bleu et qu'on est instantanément en colère sans savoir pourquoi. Si c'est le cas, apprenez à identifier les signes physiques d'alerte. Votre rythme cardiaque s'accélère-t-il ? Votre visage devient-il rouge et chaud ? Vos poings sont-ils serrés ?

En reconnaissant rapidement ces signes, vous pouvez prendre des mesures pour maîtriser vos émotions avant de vous emporter. Encore une fois, c'est l'emportement lui-même qui est un péché, pas les émotions elles-mêmes.

Et voici le point suivant qu'il me semble important d'aborder. Souvent, les chrétiens ont l'impression qu'ils sont censés être heureux ! Heureux ! Heureux ! Tout le temps. Et s'ils ne le sont pas, ils se sentent coupables.

Thomas : J'ai connu des gens comme ça. S'ils ne ressentent pas la "joie du Seigneur" à chaque instant, ils se sentent coupables. J'ai remarqué que dans de tels foyers, il n'y a pas de reconnaissance saine de ce que chacun ressent réellement. Si vous vous sentez déprimé ou avez le morel bas ou quoi que ce soit d'autre qu'heureux-heureux, c'est refoulé. Supprimé.

Jean : Ce qui n'est pas du tout sain. Nous appelons ces émotions "négatives", mais négatif n'est pas automatiquement synonyme de "péché".

C'est un point important, car il semble que beaucoup de chrétiens conservateurs ne le comprennent pas. Nier les émotions négatives, les supprimer, peut conduire à des problèmes de santé mentale. Ça ne résout rien.

Mais ensuite, le fait d'ajouter un fardeau de culpabilité pour avoir ressenti ces émotions ne fait qu'aggraver le problème. Et si vous êtes une personne qui gère la culpabilité, la dépression, le stress ou le chagrin en vous mettant en colère… oui, vous pourrez avoir des problèmes avec la colère. Le simple fait qu'il s'agisse de ce que nous appelons une émotion négative ne signifie pas automatiquement que c'est un péché de se sentir ainsi.

Prenons quelques exemples dans les Écritures : "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?"

Thomas : C'est ce que Yahushua a dit à la croix. "Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?

Jean : Pas seulement. Tournons-nous vers le Psaume 22 et lisons les versets 2 et 3.

Thomas : "Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? 3 Mon Dieu ! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos."

Jean : Yahushua sur la croix citait en fait ce Psaume de David, parce qu'il résumait parfaitement ses sentiments d'horreur, de déchirement et d'abandon, sans parler de la culpabilité de nos péchés qui pesait sur lui. Ce sont toutes des émotions très négatives, mais ce n'est pas un péché de les ressentir !

Thomas : J'ai entendu des prédicateurs dire en plaisantant que David était le premier maniaco-dépressif du monde. Certains de ses Psaumes sont pleins d'angoisse, voire de dépression extrême, d'anxiété et de troubles émotionnels.

Jean : Ils couvrent certainement toute la gamme des émotions humaines. Mais les émotions ne sont pas un péché. C'est le fardeau que j’aimerais enlever à nos auditeurs. Ce n'est pas un péché de se sentir déprimé. Ce n'est pas un péché de se sentir triste.

Prenons l’exemple de Job. Parmi tous ceux qui, dans les Écritures, ont eu des raisons de se lamenter et d'être déprimés, c'est bien Job. Non seulement il a perdu toutes ses richesses, mais il a aussi perdu sa réputation. Les gens ont commencé à faire de mauvaises suppositions à son sujet, ce qui a ajouté l'insulte à la blessure. Mais le pire, c'est qu'il a perdu ses enfants. Tous les dix. Pouvez-vous imaginer ce chagrin ? Je ne peux même pas imaginer.

Thomas : Non. C'est au-delà de l'imagination.

Jean : Et quand ses soi-disant "amis" sont venus le réconforter et ont plutôt remué le couteau dans la plaie, oui, Job s'est plaint. Il a dit qu'il souhaitait ne jamais être né. C'étaient ses émotions. Elles étaient négatives. Elles étaient brutes. Et elles étaient honnêtes. Mais ce n'était pas un péché.

Il a frôlé la limite quand il a finalement commencé à remettre Yah en question – c'est pourquoi il a dit plus tard qu'il s'était repenti dans la poussière et les cendres. Mais les émotions qu'il a ressenties n'étaient pas un péché. C'étaient juste ses sentiments et, honnêtement, je pourrais dire qu'il était justifié de se sentir ainsi !

Passons à Job 42 et lisons le verset 7. C'est après que Yahuwah ait fini d'interroger Job et que Job ait exprimé son remords d'avoir remis en question les desseins divins. Job 42:7.

Thomas : "Après que Yahuwah eut adressé ces paroles à Job, il dit à Eliphaz de Théman : Ma colère est enflammée contre toi et contre tes deux amis, parce que vous n'avez pas parlé de moi avec droiture comme l'a fait mon serviteur Job."

Jean : Job n'a pas péché en ressentant des émotions de chagrin, de perte, de colère et même de ressentiment. Nous n'avons pas été créés pour être des automates. Nous avons été créés pour être des êtres émotionnels, et ce n'est donc pas un péché d'éprouver toute la gamme de ces émotions. Je ne voudrais pas que quelqu'un garde ce fardeau. Ne vous laissez pas entraîner par le malentendu selon lequel les émotions négatives sont un péché. C'est un fardeau de l’ennemi. Rejetez-le.

Passons à Apocalypse 21, et lisons les versets 2 à 4, qui parlent du moment où le Royaume de Yah aura été établi. Le péché et les pécheurs n'existeront plus. Que se passera-t-il alors ? Apocalypse 21:2 à 4.

Thomas : "Et je vis descendre du ciel, d'auprès de Yah, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s'est parée pour son époux. 3 Et j'entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Yah avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. 4 Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu."

Jean : Nous aimons passer directement à la partie "il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur". Mais juste avant il est dit que Yahuwah "essuiera toutes les larmes" de nos yeux. C'est une merveilleuse promesse. Imaginez : être réconforté par le Père Lui-même.

Mais pour que Yahuwah essuie toutes les larmes de nos yeux, ça signifie qu'il y a des larmes à essuyer.

Thomas : C'est vrai. C'est un bon point.

Je ne pense pas avoir jamais exprimé clairement que je pensais pécher quand je ressentais des émotions négatives, mais j'ai parfois éprouvé un vague sentiment de culpabilité en les ressentant.

Jean : N'oubliez pas que ce que nous considérons comme de la "culpabilité" peut aussi parfois être du chagrin. Ce n'est pas un péché d'avoir du chagrin.

Thomas : Oui, j'apprécie cette précision. Il est utile de mettre des mots sur tout cela.

À suivre, votre promesse quotidienne.

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

Le 2 mai 2021, Jonathan Bauer et sa fille de 13 ans, Eva, sont sortis faire des courses. Le temps était agréable quand ils sont passés sur le pont de la route 90 au-dessus de la baie reliant leur ville balnéaire à la terre ferme de l’état du Maryland. C'est un long pont de plus de 2 kilomètres.

Ce qu'il faut savoir sur cette baie, c'est qu'elle est peu profonde. Le pont s'élève à sept mètres et demi au-dessus de l'eau. Alors que Jonathan et Eva traversaient le pont pour rentrer chez eux, ils ont soudainement vu un pick-up noir faire une queue de poisson. Il a heurté une barrière en béton et a fait se retourner le véhicule qui se trouvait juste devant eux. L'accident, qui s'est produit à grande vitesse sur l'autoroute, a provoqué un carambolage de cinq voitures. Quand le pick-up s'est finalement arrêté sur son côté, sa benne et l'habitacle arrière pendaient par-dessus la rambarde du pont, au-dessus des eaux de la baie. Après s'être assuré qu'Eva allait bien, Jonathan s'est précipité vers le pick-up. Le chauffeur en est sorti en grimpant par la fenêtre, s’est laissé tomber sur le trottoir, avant de se précipiter vers la rambarde pour regarder en bas.

Jonathan ne comprenait pas ce que disait l'homme, qui parlait en espagnol, mais il a regardé en-bas et, à sa grande horreur, il a vu un siège auto et, flottant à quelques mètres de là, une petite fille qui semblait avoir environ deux ans. Ses yeux étaient remplis de terreur alors qu'elle se débattait pour rester à flot. Jonathan s’attendait à ce que l'homme fasse quelque chose, mais il est devenu rapidement évident qu'il était soit en état de choc ou qu'il ne savait pas nager. Si l'enfant devait être sauvée, Jonathan était son meilleur espoir.

Mais, comme je l'ai dit, cette baie est peu profonde. La profondeur maximale qu'il pouvait espérer était d'environ 1 mètre 20. C'est peu quand on saute d'une telle hauteur, et Jonathan ne savait même pas s'il y avait des rochers sous l'eau. Jetant un rapide coup d'œil à sa fille, il a fait un acte de foi et a sauté du pont dans les eaux froides de la baie.

À sa grande surprise, il n’a pas été blessé ! Il a rapidement attrapé l'enfant et s’est mis debout dans l'eau peu profonde. La petite fille ne respirait plus. Il l'a mise sur son épaule et lui a donné des coups dans le dos avec le plat de la main, encore et encore. L'eau de mer est sortie des poumons, mais elle ne respirait toujours pas. Finalement, elle eut un haut-le-cœur et a aspiré une bouffée d'air. C'était le son le plus doux que Jonathan ait jamais entendu. Ses petits bras l’ont agrippé autour du cou et il l’a serrée contre lui pour essayer de réchauffer son corps. Un bateau est venu transporter Jonathan et la petite fille jusqu'à une rampe de mise à l'eau où une ambulance attendait pour emmener l'enfant à l'hôpital.

Ce soir-là, Jonathan, sa femme et sa fille étaient très reconnaissants de la façon dont les choses s'étaient déroulées. La journée aurait pu se terminer en tragédie, mais ça n’a pas été le cas.

Dans le Psaume 18, David déclare : "Oui, tu fais briller ma lumière; Yahuwah, mon Elohim, éclaire mes ténèbres. Avec toi je me précipite sur une troupe en armes, Avec mon Dieu je franchis une muraille. Les voies de Elohim sont parfaites, La parole de Yahuwah est éprouvée; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en lui. Car qui est Elohim, si ce n'est Yahuwah; Et qui est un rocher, si ce n'est notre Elohim ? C'est Elohim qui me ceint de force, Et qui me conduit dans la voie droite. Il rend mes pieds semblables à ceux des biches, Et il me place sur mes lieux élevés. Tu me donnes le bouclier de ton salut, Ta droite me soutient, Et je deviens grand par ta bonté. Tu élargis le chemin sous mes pas, Et mes pieds ne chancellent point."

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

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Partie 3

Thomas : Je tiens à vous remercier d’avoir été à l’écoute, amis auditeurs. Rejoignez-nous à nouveau demain, et d'ici là, souvenez-vous : Yahuwah vous aime… et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance en toute sécurité, car Il en est digne !

* * *

Fin

Vous avez écouté la radio WLC.

Ce programme, ainsi que les épisodes passés de Radio WLC, sont disponibles en téléchargement sur notre site web. Ils sont parfaits pour partager avec vos amis et pour étudier la Bible ! C'est aussi une ressource merveilleuse pour ceux qui adorent Yahuwah seuls ou à la maison. Si vous souhaitez écouter les programmes de Radio WLC, visitez notre site web à l'adresse WorldsLastChance.com.

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Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité sur WBCQ, à 9330 kilohertz sur la bande des 31 mètres.

La radio de la dernière chance du monde ! Préparer un peuple au retour prochain du Sauveur !

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