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While WLC continues to uphold the observance of the Seventh-Day Sabbath, which is at the heart of Yahuwah's moral law, the 10 Commandments, we no longer believe that the annual feast days are binding upon believers today. Still, though, we humbly encourage all to set time aside to commemorate the yearly feasts with solemnity and joy, and to learn from Yahuwah's instructions concerning their observance under the Old Covenant. Doing so will surely be a blessing to you and your home, as you study the wonderful types and shadows that point to the exaltation of Messiah Yahushua as the King of Kings, the Lord of Lords, the conquering lion of the tribe of Judah, and the Lamb of Yahuwah that takes away the sins of the world.
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Né de Yahuwah

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Programme 198

Né de Yahuwah

Partie 1

Thomas Rolland : La Bible se réfère à plusieurs reprises aux croyants comme étant "nés de Yah". Mais savez-vous ce que cela signifie, à la fois littéralement et pour la vie spirituelle ?

Bonjour, je suis Thomas Rolland et vous écoutez Radio World's Last Chance.

Il nous arrive si souvent d'utiliser des termes techinques et du jargon religieux. Nous définissons en général les mots et les expressions en fonction de la manière dont ils sont utilisés plutôt que d'avoir une compréhension claire de la définition réelle, ce qui peut nous faire perdre des nuances de sens. Cela peut être un problème, en particulier dans le domaine de la religion. La religion peut avoir son propre lexique. Nous n'apprenons pas la ces termes à l'école, nous sommes juste censés… je ne sais pas : absorber leur signification par osmose ?

Quoi qu'il en soit, aujourd’hui nous allons parler de ce que signifie "être né de Yah". Jean ? Qu'est-ce que cela signifie d'être "né de Yah" ? Que signifie l'expression, mais aussi, comment cela se traduit-il concrètement dans la vie du croyant ?

Jean Olivier : Ce sont de bonnes questions. Commençons par lire l'un des nombreux passages de l'Écriture qui utilisent cette expression. Allons dans 1 Jean 5, et lisons le verset 18. C'est un bon point de départ pour notre discussion sur ce sujet.

Thomas : "Nous savons que quiconque est né de Yahuwah ne pèche point; mais celui qui est né de Yahuwah se garde lui-même, et le malin ne le touche pas."

Jean : Une lecture en marge de "se garde lui-même" dit : "veille sur lui-même". Mais l’expression sur laquelle j’aimerais me concentrer est : "né de Yahuwah", ou "né de Dieu" comme nous avons l'habitude de le lire dans les traductions modernes.

" Né de Yah ", ou " né de n'importe qui ", n'est une chose que nous disons couramment en français moderne.

Thomas : Oui, c'est un peu bizarre, n'est-ce pas ?

Jean : Ça vient du mot grec gennao. Lisons la définition de ce mot.

Thomas : "Procréer". Il est traduit par " engendrer " 49 fois, et par " naître " 39 fois. "Accoucher, concevoir ou faire."

"Gennao, en tant que verbe, signifie ‘engendrer’ et, à la voix passive, signifie ‘naître’. Il est principalement utilisé pour les hommes ‘engendrant’ des enfants. Une femme ‘met au monde’ un enfant, ‘accouche’ ou ‘porte’ l'enfant. … Il est utilisé pour l'acte de [Yah] dans la naissance de Christ. … Il est utilisé métaphoriquement dans les écrits de l'apôtre Jean, de l'acte gracieux de [Yahuwah] conférant à ceux qui croient la nature et la disposition d' ‘enfants’, en leur communiquant la vie spirituelle."

Jean : Si on lit ce verset dans plusieurs traductions différentes, la plupart disent : "né de Yah", mais l'une d'entre elles traduit cette phrase par : "engendré par Yah". Je pense que cela l’exprime d'une manière qui est plus facile pour nous, lecteurs modernes, pour saisir ce que Jean essayait de transmettre. Lisons 1 Jean chapitre 5, les quatre premiers versets, dans cette version.

Thomas : "Tous ceux qui croient que Yahushua est le Christ ont été engendrés par [Yah], et tous ceux qui aiment le Père aiment l'enfant qu'Il a engendré. C'est à cela que nous reconnaissons que nous aimons les enfants de [Yahuwah] : lorsque nous aimons [Yahuwah] et que nous obéissons à Ses commandements. Car c'est cela l'amour de [Yahuwah] : garder Ses commandements. Et Ses commandements ne nous pèsent pas, parce que tous ceux qui ont été engendrés par [Yah] triomphent du monde."

 

Jean : Jean avait saisi une vérité éternelle d'une immense importance, à savoir : la parenté entre le Christ et les croyants.

Quand nous étions trinitaires, nous croyions que Yahushua était Dieu. Nous pensions qu'il était à la fois "Dieu le Fils" et le "Fils de Dieu", pour utiliser la terminologie trinitaire. Cela le plaçait en quelque sorte à un niveau qui était bien au-delà de notre portée. On nous a dit qu’il est venu nous révéler le Père. On nous a dit qu'il était à la fois 100 % humain tout en étant 100 % divin, ce qui est une dichotomie que personne n'arrive à comprendre, et qui est donc balayée comme un "mystère divin".

Mais est-il possible de s’identifier à quelqu'un qui est divin ? La divinité semble tellement au-dessus de l'humanité que même les déclarations claires de l'Écriture selon lesquelles Yahushua est l’ "unique-engendré du Père" ont été interprétées comme faisant référence au fait qu’il aurait "mis de côté sa divinité" pour revêtir une nature humaine.

Encore une fois, pour la plupart, cela semble tellement au-delà de notre capacité à comprendre, ou même à nous rattacher, en tant qu'humains.

Thomas : N’est-ce pas curieux la façon dont, à chaque fois que la doctrine de la trinité commence à être exposée pour la contradiction ridicule qu'elle est, toute question honnête est instantanément balayée par ce soit disant : "mystère trop grand pour que l'esprit humain puisse le comprendre" ?

Jean : Eh bien, que peuvent-ils dire d'autre ? Ça n'a tout simplement aucun sens, et quand vous l'étudiez vraiment, en comparant les Écritures avec les Écritures, il devient clair que c'est une doctrine qui n'est pas du tout soutenue par les Écritures.

Thomas : C'est vrai. Et si vous avez manqué nos émissions à ce sujet, amis auditeurs, vous pouvez toujours retrouver sur notre site web ou notre chaîne YouTube. Nous avons aussi plusieurs d'articles, en différentes langues, qui traitent de ce sujet.

Jean : Sachant ce que nous savons maintenant, qu'une divinité trine est une doctrine adoptée de l'ancien paganisme, nous connaissons maintenant la vérité sur ce que cela signifie pour Yahushua d'être le "fils unique-engendré de Yah". Ça signifie qu'il est pleinement humain. Comme nous l'avons abordé dans d’autres programmes, pour être le Messie, pour nous sauver de nos péchés, il devait être pleinement humain.

Étant pleinement humain, il n'a pas eu de préexistence. Comme tous les êtres humains, il est venu à l’existence dans le ventre de sa mère. C'est ce que le mot "engendrer" signifie. Yahuwah l'a littéralement engendré dans le ventre de Marie. La seule différence entre Christ et nous, c’est que, en tant que second Adam qui nous a rachetés là où le premier Adam est tombé, il avait une nature non déchue. Mais il était pleinement humain.

Thomas : Ça établit vraiment un lien entre nous et Yahushua, n'est-ce pas ?

Jean : Absolument. Nous sommes aussi des enfants de Yah. Tu es un fils de Yah. Je suis un fils de Yah. Par la foi, nous avons été adoptés dans la famille de Yahuwah. Nous sommes considérés comme Ses enfants, au même titre que Yahushua.

Maintenant. Appliquons cette compréhension à ce que Jean dit sur les croyants qui sont "nés de Yah" ou "engendrés par Yah". Ce que cela signifie au niveau pratique, c'est que Yahuwah nous aide, et Il nous aide de plusieurs façons. Continuons à lire dans 1 Jean 5, les verset 14 à 18.

Thomas : "Et voici l'assurance que nous avons auprès de lui : chaque fois que nous demandons quelque chose selon Sa volonté, Il nous écoute. Et si nous savons qu'Ìl nous écoute pour tout ce que nous demandons, alors nous savons que nous obtenons les demandes que nous Lui avons adressées. Si quelqu'un voit un autre chrétien commettre un péché n'entraînant pas la mort, il doit prier, et [Yahuwah] accordera la vie à la personne qui commet un péché n'entraînant pas la mort. Il y a un péché qui entraîne la mort. Je ne dis pas qu'il doit prier à ce sujet. Toute injustice est un péché, mais il y a tel péché qui n'entraîne pas la mort. Nous savons que tous ceux qui sont engendrés par [Yahuwah] ne pèchent pas, mais [Yahuwah] protège celui qu'Il a engendré, et le malin ne peut pas le toucher."

Jean : Cela ne dit pas que les croyants sont soudainement purs, parfaits et sans péché.

C'est ce que je croyais, avant. Que les justes atteindraient un état de perfection avant le retour de Christ.

Thomas : Moi aussi. Mais, ça me semble maintenant une norme impossible à atteindre !

Jean : C’est ça. Romains 8 nous dit que "l'esprit charnel est inimitié contre [Yahuwah], car il n'est pas soumis à la loi de [Yahuwah] et ne peut l'être".

C'est un choix de mots important. Il n’est pas dit qu'il ne veut pas l'être ; il est dit qu'il ne peut pas l'être, même s'il le veut.

C'est l'une des façons dont nous pouvons savoir que Yahushua avait la nature d'Adam avant la chute, parce qu'avec une nature déchue, il est tout simplement impossible d'être soumis à la loi de Yah.

Thomas : Et nous savons qu'il a parfaitement respecté la loi de Yah.

Jean : Il ne faut donc pas interpréter ce que Jean dit ici dans 1 Jean 5. Il ne dit pas que les croyants gardent soudainement la loi parfaitement. Cela ne sera pas possible tant que nous ne serons pas dotés de natures supérieures au retour de Christ.

Mais ce qu'il dit, c'est que les croyants ont été dotés d'une inimitié tout à fait contre nature, envers leur propre nature déchue. Il n'est pas naturel pour nous de haïr le péché. C'est un don divin.

C'est la lutte dont Paul parle dans Romains 7 et 8. Lisons-le. C'est un passage important parce qu'il décrit comment Yahuwah aide ceux qui sont "nés de" Lui, qui sont engendrés par Lui. Commençons au verset 4.

Thomas : "C'est pourquoi, mes frères, vous aussi, vous êtes morts à la loi par le corps de Christ, afin d’être mariés à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, pour que nous portions du fruit pour [Yahuwah]. En effet, lorsque nous étions dans la chair, les passions pécheresses suscitées par la loi agissaient dans nos membres pour porter du fruit pour la mort. Mais maintenant, nous avons été délivrés de la loi, étant morts à ce qui nous retenait, afin de servir dans la nouveauté de l'Esprit et non dans l'ancienneté de la lettre."

Jean : 1 Jean 5:18 dit : "Nous savons que tous ceux qui sont engendrés par [Yahuwah] ne pèchent pas, mais [Yahuwah] protège celui qu'Il a engendré, et le malin ne peut pas le toucher".

Eh bien, voici comment Yahuwah protège ceux qu'Il a engendrés, pour que le malin ne puisse pas nous toucher.

Lisons maintenant Romains 7, du verset 14 jusqu'à la fin du chapitre. Et pendant que nous lisons, rappelons-nous que la bataille décrite ici a lieu parce que l'âme ne veut plus céder à ses inclinations naturelles. Elle veut faire ce qui est juste, même si, ayant une nature déchue, elle n'a pas le pouvoir (ou la puissance) de faire ce qui est juste.

Thomas : "Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. 15 Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. 16 Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. 17 Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. 18 Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. 19 Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. 20 Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. 21 Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. 22 Car je prends plaisir à la loi de Yah, selon l'homme intérieur; 23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. 24 Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?. 25 Grâces soient rendues à Yahuwah par Yahushua-Christ notre Seigneur !. Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Yah, et je suis par la chair esclave de la loi du péché."

Jean : Nous n'avons jamais pleinement apprécié ce passage, mais c'est là un conflit qui devrait nous encourager, et non nous décourager. Pourquoi ? Parce que c'est un conflit que seuls ceux qui sont engendrés par Yahuwah ont !

Notons le verset 22 : "Car je prends plaisir à la loi de Yah, selon l'homme intérieur". Bien sûr, il ne peut pas garder la loi de Yah, parce qu'il a une nature déchue, mais il y prend plaisir néanmoins.

Romains 8:7 : "car l'affection de la chair (ou l’esprit charnel) est inimitié contre Yahuwah, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Yahuwah, et qu'elle ne le peut même pas".

Pour qu'il y ait un tel niveau de conflit, ça signifie que quelque chose de fondamental a changé. Ce qui était détestable pour lui est maintenant quelque chose qu'il veut, c'est-à-dire la pureté et l'unité avec le Père.

C'est un don divin que Yahuwah donne à Ses enfants, ceux qu'Il a "engendrés". Il leur donne surnaturellement un amour pour la pureté et la sainteté qui n'est pas naturel pour la nature déchue. Voilà comment Il "protège" les croyants pour que le malin ne les touche pas.

Thomas : C'est vraiment encourageant ! Donc, oui. Il se peut que nous trébuchions encore, et tombions encore dans le péché. Nous avons toujours notre nature déchue. Mais quand nous sommes engendrés par Yahuwah, le désir de sainteté est là. Ce qui était autrefois une acceptation facile du péché est maintenant une bataille, tandis que nous luttons contre lui.

Jean : Exactement. Ne laissez pas satan implanter en vous la pensée que, le simple fait que vous vous battiez et échouiez souvent serait la preuve que vous n'êtes pas vraiment converti. Au contraire, le fait que vous ne désiriez plus le péché et que vous vouliez même ne faire qu'un avec Yah, le fait que vous luttiez contre le péché révèle que vous avez été engendré par Yahuwah et qu'Il vous a doté d'une inimitié contre le péché et d'un désir de sainteté.

Et ce que révèle ce passage de 1 Jean 5, c'est que c'est un don, un cadeau qu'Il ne cesse de donner.

Thomas : Qu’est-ce que tu veux dire ?

Jean : Eh bien, relisons le verset 18 de 1 Jean 5.

Thomas : "Nous savons que tous ceux qui sont engendrés par [Yahuwah] ne pèchent pas, mais [Yahuwah] protège celui qu'Il a engendré, et le malin ne peut pas le toucher".

Jean : Il faut s’intéresser un peu à la grammaire grecque pour comprendre cela. Il y a une signification ici qui est perdue dans nos traductions modernes. La première utilisation de "engendrer" dans ce verset est au temps parfait. Ça signifie que, dans le texte original en grec, il décrit un état continu, en cours, qui commence par un événement passé et continue sans s'arrêter.

Thomas : D'accord…

Jean : Ce que Jean décrit ici, c'est la relation continue entre Yahuwah et Ses enfants. Nous n'avons pas été engendrés une seule fois à la conversion. Nous continuons à être engendrés à chaque instant de notre existence en tant que fils et filles de Yah. En d'autres termes, nous sommes élevés par Yahuwah, continuellement.

Quand nous appliquons ce concept à la terminologie "né de nouveau", il devient clair que lorsque nous naissons de nouveau, lorsque nous sommes engendrés par Yahuwah, nous entrons dans une nouvelle relation. Et cette relation avec Lui en tant que notre Père aimant, nous aidant tout au long du chemin, est continuelle.

Thomas : C'est magnifique. Et porteur d'espoir. Il continue à nous élever, à nous éduquer spirituellement.

Jean : Voilà pourquoi Paul a pu écrire ce qu'il a écris dans Romains 8, après avoir décrit la terrible lutte dans Romains 7.

Lison-le. Commençons au verset 1.

Thomas : "1 Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Yahushua-Christ. 2 En effet, la loi de l'esprit de vie en Yahushua-Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort. 3 Car chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force, Yahuwah a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, 4 et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit. 5 Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. 6 Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix; 7 car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Yah, et qu'elle ne le peut même pas. 8 Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Yahuwah. 9 Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Yahuwah habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. 10 Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'esprit est vie à cause de la justice."

Jean : Voilà l'effet pratique sur la vie, quand nous sommes engendrés par Yahuwah. Quand nous sommes élevés par Lui. C'est un don extraordinaire. Voilà à quoi ressemble la vie quand vous êtes un frère, une sœur, de Yahushua et un enfant de Yahuwah.

* * *

Partie 2

Jean : Ok, nous sommes toujours dans 1 Jean 5:18.

"Nous savons que tous ceux qui sont engendrés par [Yahuwah] ne pèchent pas." Tout le monde. C'est plus qu'un seul. C'est tous. Ça fait référence à tous les croyants. Puis Jean continue et passe du pluriel au singulier (dans cette version), en disant: "mais [Yahuwah] protège celui qu'il a engendré, et le malin ne peut pas le toucher."

Bien sûr, cela peut se référer au croyant individuel, mais ça se réfère également de manière spéciale à Yahushua. Ça devient clair quand on examine la grammaire grecque.

Thomas : La grammaire ! Perso, je n'aime pas ça en français, et encore moins dans une langue que je ne parle pas !

Jean : Je comprends, mais c'est intéressant. Le verbe grec utilisé ici est au temps aoriste. Ça signifie qu'il fait référence à un événement unique qui s'est produit dans le passé.

 

Thomas : Ah, ok. Donc ça peut se référer au moment de la conversion quand le croyant individuel saisit le salut par la foi, et ça peut aussi se référer au point d'origine de Yahushua, quand Yahuwah l'a conçu dans le ventre de Marie.

Jean : C'est ça. Je ne sais pas pourquoi nous ne l'avions jamais vu avant, quand nous étions trinitaires, mais les récits évangéliques soulignent que le point d'origine de Yahushua, comme tu le dis, a été la conception, quand le Saint-Esprit est venu couvrir Marie de Son ombre.

Luc dit : "C'est pourquoi…" c’est-à-dire : c’est précisément pour cette raison…" Quelle raison ?

Thomas : Le Saint-Esprit venu couvrir une vierge de Son ombre, créant un œuf fécondé en elle.

Jean : C'est exact. C'est pourquoi [c’est précisément pour cette raison] que le bébé qui sera engendré sera appelé saint et Fils de [Yahuwah]. Vous pouvez lire cela dans le premier chapitre de Luc.

Yahushua a été littéralement engendré par Yahuwah quand Marie est tombée enceinte par l’Esprit Saint.

Nous devenons des enfants de Yahuwah – nous sommes engendrés par Lui – quand notre foi saisit la promesse du salut.

Thomas : C'est magnifique, et c'est tellement encourageant. Je suppose qu'un thème aussi important apparait ailleurs dans le Nouveau Testament ?

Jean : Absolument. Les autres auteurs du Nouveau Testament l'avaient clairement compris et une fois que vous l'avez en tête, d'autres passages de l'Écriture prennent vie. Par exemple, regardons Hébreux 2, verset 17.

Thomas : "En conséquence, il a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères, afin qu'il fût un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Yahuwah, pour faire l'expiation des péchés du peuple".

Jean : Regardons maintenant Hébreux 4, versets 14 à 16.

Thomas : "Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Yahushua, le Fils de Yah, demeurons fermes dans la foi que nous professons. 15 Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché. 16 Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins."

Jean : Yahushua était pleinement humain, tout comme nous. La seule différence est qu'il avait la nature d'Adam avant la chute. Cela devait être le cas, s'il voulait vaincre exactement là où Adam est tombé.

Dans son humanité même, dans ses luttes et ses tentations, dans chaque détail de sa vie, Yahushua est notre frère. Il est le premier né et nous sommes tous enfants de Yahuwah et cohéritiers de Christ.

Revenons à Romains 8, et lisons les versets 13 à 17.

Thomas : "Si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, 14 car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Yahuwah sont fils de Yahuwah. 15 Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père ! 16 L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Yahuwah. 17 Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Yahuwah, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui."

Jean : Être enfantés ou élevé par Yahuwah apporte avec soi tant de bénédictions ! Oui, cela apporte le don de l'inimitié contre le mal, qui n'est pas naturel pour nos natures déchues mais nous coopérons alors avec Yah dans la bataille contre le mal. Cela apporte aussi le statut élevé de la filiation : être considérés comme des fils et des filles du Très-Haut. Cela s'accompagne également d'une communion très étroite avec Christ lui-même. Il est notre frère aîné. Ce qui fait de nous des cohéritiers de Christ, des héritiers de Yah ! C'est un don et un héritage extraordinaires !

Thomas : En ce qui me concerne, ça me donne aussi de l'assurance. Savoir que Yahushua a été tenté de toutes les manières, comme j'ai été, je suis, et je serai tenté, signifie qu'il comprend. Il comprend ce que c'est que d'être stressé, fatigué, à bout. Quand satan arrive et nous culpabilise, pour essayer de nous séparer de Yah, savoir que notre frère aîné a été tenté exactement comme nous le sommes, me donne la confiance nécessaire pour aller chercher de l'aide auprès de Yahuwah, au lieu de rester à l'écart.

Jean : Se sentir libre d'aller vers Yahuwah pour de l'aide, pour du réconfort, pour de la compréhension, et savoir que nous ne serons pas jugés… tout cela est le privilège d'avoir été engendré par Yahuwah, accepté comme Ses propres fils et filles.

Revenons à 1 Jean. Lisons du chapitre 2, verset 28, jusqu'au chapitre 3, verset 1.

Thomas : "Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il paraîtra, nous ayons de l'assurance, et qu'à son avènement nous ne soyons pas confus et éloignés de lui. 29 Si vous savez qu'il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de lui. 1 Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Yahuwah ! Et nous le sommes."

Jean : Donc ici, Jean dit qu'une marque d’identification, ou une preuve, de la paternité de Yahuwah est que la personne fait ce qui est juste.

Thomas : Alors… quel rôle jouons-nous dans cela ? Comment pouvons-nous atteindre le point où nous sommes " engendrés par Yahuwah " ? Parce que c'est un don merveilleux. Comment pouvons-nous atteindre ce type de relation avec Lui ?

Jean : C'est une bonne question. Passons à Matthieu 13 et lisons les versets 18 à 23. Ici, Yahushua raconte la parabole du semeur, et il identifie différentes catégories de croyants.

Thomas : "Vous donc, écoutez ce que signifie la parabole du semeur. 19 Lorsqu'un homme écoute la parole du royaume et ne la comprend pas, le malin vient et enlève ce qui a été semé dans son coeur : cet homme est celui qui a reçu la semence le long du chemin. 20 Celui qui a reçu la semence dans les endroits pierreux, c'est celui qui entend la parole et la reçoit aussitôt avec joie; 21 mais il n'a pas de racines en lui-même, il manque de persistance, et, dès que survient une tribulation ou une persécution à cause de la parole, il y trouve une occasion de chute. 22 Celui qui a reçu la semence parmi les épines, c'est celui qui entend la parole, mais en qui les soucis du siècle et la séduction des richesses étouffent cette parole, et la rendent infructueuse. 23 Celui qui a reçu la semence dans la bonne terre, c'est celui qui entend la parole et la comprend; il porte du fruit, et un grain en donne cent, un autre soixante, un autre trente."

Jean : Notre "nouvelle naissance", où nous entrons dans cette relation Père/enfant avec Yahuwah commence quand nous faisons le choix conscient, de notre propre volonté, d'accepter la "semence". La semence, bien sûr, est le message de l'Évangile. C’est : recevoir la semence dans une bonne terre.

Mais si nous embrassons vraiment la relation permanente d'être engendré par Yahuwah, nous ne nous arrêterons pas là. Nous continuerons, donnant à ce qui a été planté le temps de germer, de grandir et de mûrir. Nous continuerons à produire du "bon fruit".

Jean y fait allusion dans 1 Jean 2, versets 28 et 29.

Thomas : "Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il paraîtra, nous ayons de l'assurance, et qu'à son avènement nous ne soyons pas confus et éloignés de lui. 29 Si vous savez qu'il est juste, reconnaissez que quiconque pratique la justice est né de lui. "

Jean : Quand vous appliquez ce concept d'être engendré par Yahuwah aux passages qui traitent de la nouvelle alliance, vous constatez qu'ils présentent tous systématiquement les croyants qui sont dans cette relation spéciale comme recevant d'énormes dons, et de grandes effusions d'amour. Ils s'efforcent alors, en retour, de vivre dans l'obéissance à la volonté révélée de Yah.

C'est important, parce que même s’il est bien probable que nous ne soyons jamais parfaits tant que nous aurons des natures déchues, en même temps, ceux qui sont engendrés par Yahuwah font le choix conscient de mettre leurs volontés… du côté de Sa volonté.

Thomas : C'est un bon point. Yahuwah ne forcera jamais la volonté humaine, donc c’est à nous de choisir consciemment de la Lui abandonner.

Jean : Et, puisqu'Il comprend l'impossibilité de la perfection pour des natures déchues, dans Son amour et Sa bonté, Il accepte ces efforts et ces intentions comme notre bien le plus élevé. Je veux dire, c'est ce que nous faisons pour nos enfants en tant que parents, n'est-ce pas ? Vous demandez à votre jeune fils de faire quelque chose en sachant qu'il ne sera probablement pas capable de faire un aussi bon travail que vous, mais vous acceptez ses meilleurs efforts. N'est-ce pas ? C'est aussi ce que notre parent divin fait pour nous.

Tant que nous aurons une nature déchue, nous aurons toujours des défauts, mais un pardon abondant est disponible.

Thomas : Ça me rappelle ce que Christ a dit dans son sermon sur la montagne. Dans Matthieu 7, versets 17 à 20. Il est écrit : "Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. 18 Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. 19 Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu. 20 C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez."

Jean : Les personnes qui sont engendrées par Yahuwah ont été greffées. Nous avons peut-être commencé comme des branches d'un mauvais arbre, mais par la grâce divine et Son amour infini, nous avons été greffés.

Alors, pour le reste de notre temps aujourd’hui, j'aimerais examiner quelques passages de l'Écriture qui expliquent, font référence, ou simplement allusion à cette idée de la réalité permanente d'être engendré par Yahuwah. C’est fondamental pour notre appel en tant que croyants, en tant que fils et filles du Très-Haut.

Un domaine qui est affecté par cette relation est que nous sommes appelés à aimer les autres comme Yahuwah les aime – et comme Christ l'a montré, dans sa façon de traiter les autres.

Toujours dans le Sermon sur la montagne, Matthieu 5, les versets 43 à 48.

Thomas : "Vous avez appris qu'il a été dit : "Vous avez appris qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. 44 Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, 45 afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. 46 Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même ? 47 Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même ? 48 Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait."

Jean : Même si nous avons encore une nature déchue, nous pouvons choisir de traiter les autres avec la même bonté, le même respect et la même compassion que le Père. C’est ce qui révèle la relation Père/enfant que nous avons avec Lui.

Jacques fait aussi allusion à cette relation spéciale et à l'impact qu'elle a sur nous. Lisons Jacques 1, versets 17, 18 et 21, en étant attentifs à la façon dont le fait d'être engendré par Yahuwah a un impact très pratique sur nos vies.

Thomas : "toute grâce excellente et tout don parfait descendent d'en haut, du Père des lumières, chez lequel il n'y a ni changement ni ombre de variation. 18 Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité, afin que nous soyons en quelque sorte les prémices de ses créatures. . . C'est pourquoi, rejetant toute souillure et tout excès de malice, recevez avec douceur la parole qui a été plantée en vous, et qui peut sauver vos âmes."

Jean : Lisons aussi les versets 22 et 23.

Thomas : "Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l'écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. 23 Car, si quelqu'un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel".

Jean : Ceux qui sont nés de, et qui sont engendrés par, Yahuwah sont plus que des auditeurs de la Parole. Ils sont aussi des praticiens de la parole. Il pratiquent la Parole. Et cela se voit dans la façon dont ils vivent leur vie, et dont ils traitent les autres.

Souvent, dans notre Courrier des Auditeurs, nous sommes confrontés à des questions de type : ‘comment traiter quelqu'un qui ne croit comme je crois’. La réponse est toujours : vous les traitez avec la même compassion et le même amour bienveillant que le Père nous traite.

Pierre développe aussi ce thème de la naissance et de la paternité par Yahuwah. Lisons 1 Pierre, chapitre 1, les versets 3 et 23.

Thomas : "Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d'entre les morts. . . puisque vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu. "

Jean : Remarquons que dans chacun de ces passages, une réponse proactive est requise de la part de ceux qui désirent être dans cette relation spéciale d'être engendrés par Yahuwah. Tout d'abord, ils doivent sincèrement désirer la vérité, ce que Pierre appelle la "semence incorruptible" (ou impérissable). De plus, ils sont purifiés par l'obéissance, et en choisissant de se détourner de tout péché connu.

Passons maintenant à Jean 1. Nous retrouvons ce thème dans tout le Nouveau Testament, mais c'est Jean qui a le plus écrit à ce sujet. Jean 1 versets 12 à 13.

Thomas : "Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Yahuwah, 13 lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Yah."

Jean : Cette idée d'une renaissance ou d'une nouvelle naissance est une idée que Jean a apprise de Yahushua lui-même.

Nous savons comment Nicodème est venu parler en privé avec le Sauveur, au début de son ministère. Il était curieux de connaître ce nouveau maître, mais il avait une réputation à maintenir ! Il est donc venu la nuit, quand personne ne pouvait le voir. Lisons comment Yahushua a expliqué le salut à Nicodème. Il n'avait pas besoin d'enseigner en paraboles. Nicodème connaissait les Écritures et Yahushua lui a parlé clairement, d'une manière dont il n'avait pas encore parlé, même à ses propres disciples.

Jean 3 versets 3 à 7.

Thomas : "Yahushua lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Yah. 4 Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ? 5 Yahushua répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Yah. 6 Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit. 7 Ne t'étonne pas que je t'aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau."

 

Jean : Yahushua explique ici comment les croyants sont régénérés par la foi. Ils sont "nés d'en haut". Ils sont "engendrés par Yahuwah". C'est ainsi que cette inimitié surnaturelle contre leurs propres natures déchues est implantée.

Thomas : N'est-il pas intéressant de noter que c'est dans cette même conversation qu'apparaît l'un des passages les plus connus de l'Écriture ? Jean 3:16 et 17 : "Car Yah a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17 Yah, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. "

Jean : Et comment sommes-nous sauvés ? En devenant des fils et des filles de Yahuwah, en naissant de nouveau et en étant élevés – ou "engendrés" – par Lui. C'est pourquoi, ou je devrais dire, c’est comment, 1 Jean 3:9 peut dire : "Quiconque est engendré par Yahuwah ne continue pas à pécher, parce que la progéniture de Yahuwah demeure en Lui ; ils ne peuvent pas continuer à pécher, parce qu'ils ont été engendrés par Yahuwah."

Thomas : En ayant l'inimitié envers le péché implantée dans nos cœurs. C'est un si grand don !

Jean : C'est vraiment le cas.

En conclusion, j’aimerais dire que naître de Yah, naître de nouveau, ou naître d'en haut, être "engendré par Yahuwah", être élevé par Lui, est bien plus vaste qu'un simple assentiment mental aux idées prêchées dans un sermon, ou lues dans un article. C’est une réalité très concrète, qui change la vie. Et les bénédictions sont profondes et permanentes ! Il ne s'agit pas d'un don ponctuel unique. C’est permanent, continuel.

Thomas : C'est logique. Après tout, Yahuwah est notre "Père". Être "engendré par" Lui, élevé par Lui, c'est plus que naître de nouveau. Comme tout parent vous le dira, la naissance n'est que le début. Il y a beaucoup plus que l'acte de procréation, ou l'acte de donner la vie, dans le rôle de parent. Il y a toutes les années qui suivent où vous vous efforcez de les former, de leur apprendre à être des individus honorables, craignant Yah. Le travail de parent ne fait que commencer à la naissance !

Jean : C'est vrai. Et il en va de même quand nous sommes élevés par Yahuwah. Il est là pour nous à chaque étape du chemin. Et ce n'est pas toujours facile. C'est pourquoi Yahushua dit : "Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos."

Yahuwah n'est pas l'un de ces parents qui font le strict minimum pendant les premières années de la vie et qui, à 18 ou 21 ans, ou autre, disent : "Voilà la porte. Tu te débrouilles tout seul." Il veut passer l'éternité avec nous, et Il fera absolument tout ce qui est en son pouvoir pour que nous y soyons avec Lui.

Thomas : Amein !

Restez à l'écoute, amis auditeurs ! A suivre notre Courrier des Auditeurs.

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Courrier des Auditeurs

Thomas : La question d'aujourd'hui vient de Durham, en Angleterre. Julia nous écrit : "Mon père a toujours été très violent verbalement et émotionnellement. Je sais que Christ est mort pour tout le monde, mais cela me dérange de penser que mon géniteur n'aura jamais à répondre du mal qu'il a fait. Il semble pouvoir valser dans la vie, détruire la vie des autres sans jamais être tenu pour responsable du mal qu'il cause. Où est la justice dans tout cela ? Mes sentiments sont vraiment contradictoires à ce sujet. Je sais que je suis censée lui pardonner, mais j'ai l'impression que si je le fais, cela signifiera que tout ce qu'il a fait est normal, alors que ce n'est pas le cas. Pouvez-vous m'aider à résoudre ce problème ? Ça me ronge de l'intérieur et je ne veux pas continuer à porter ce fardeau. Comment puis-je lui pardonner alors qu'il continue à faire et à dire les mêmes choses nuisibles et qu'il n'a jamais cessé ?"

Jean : Je veux juste dire, Julia, que nous sommes désolés d’apprendre la douleur que tu as traversée. Ce n'est jamais la volonté de Yah que quelqu'un souffre comme tu as souffert en tant qu’enfant.

Je crois que nous avons affaire ici à plusieurs problèmes interconnectés, et c'est ce qui cause à Julia cette difficulté. Tout d'abord, il y a le désir tout à fait naturel de justice. Son commentaire sur le fait que son père semble valser dans la vie sans avoir à répondre de la façon dont il détruit la vie des autres le montre bien.

Deuxièmement, Julia a un besoin très sain que son père se repente. Nous ne voulons pas pardonner à un délinquant si c'est pour qu'il continue son chemin de la même façon et recommence.

Troisièmement, il y a une différence entre "vengeance" et "revanche". Commencçon par regarder la définitions de ces deux mots.

Thomas : Vengeance : "Infliger une douleur ou une blessure en retour d'une blessure reçue."

Hm. Pour moi, ça ressemble tout simplement à une punition.

Jean : Continuons à lire.

Thomas : "Selon l'usage moderne, infliger une douleur délibérément et malicieusement, contrairement aux lois de la justice et de l'humanité, en retour d'une blessure, d'une douleur ou d'un mal reçu ; exercer une vengeance malveillante sur quelqu'un qui blesse ou offense". Fin de citation.

 

Jean : Julia a été blessée, elle a été gravement lésée par la personne qui est censée l'aimer et la protéger le plus : son père. Et d'après ce qu'elle écrit, il n'a pas changé. Il continue à faire du mal aux gens qui l'entourent.

Julia a un désir très naturel de justice. Je tiens à souligner qu'il n'y a rien de mal à son désir de justice. Passons au chapitre 9 de Jérémie et lisons les versets 23 et 24. C'est un passage fascinant qui nous donne un aperçu de la pensée de Yahuwah.

Thomas : "Ainsi parle Yahuwah : Que le sage ne se glorifie pas de sa sagesse, Que le fort ne se glorifie Pas de sa force, Que le riche ne se glorifie pas de sa richesse. 24 Mais que celui qui veut se glorifier se glorifie D'avoir de l'intelligence et de me connaître, De savoir que je suis Yahuwah, Qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre; Car c'est à cela que je prends plaisir, dit Yahuwah."

Jean : Vous avez entendu cela ? C'est important. Yahuwah exerce quoi ?

Thomas : La bonté, le droit et la justice.

Jean : Et en quoi il prend plaisir ?

Thomas : La bonté, le droit et la justice.

Jean : Une autre version dit qu’Il "fait Ses délices" de la bonté, du droit et de la justice.

Yahuwah se réjouit, Il prend un grand plaisir et une grande satisfaction dans la justice. Il n'y a donc rien de mal à vouloir la justice. L'injustice est l'un des attributs du diable.

Thomas : Je suis heureux de l’entendre. Parfois, en tant que chrétiens, nous avons cette idée confuse que puisque nous sommes censés tendre l'autre joue, nous serions censés continuer à supporter les abus.

Je vois cela dans les relations abusives. Et les abus peuvent aller dans les deux sens. Nous avons tendance à penser que les hommes maltraitent les femmes, mais les femmes peuvent aussi maltraiter les hommes. Ça va dans les deux sens. Et pour ceux qui sont assis en toute sécurité en dehors de la situation, il est facile de dire à la personne maltraitée qu'elle n'a qu'à prier davantage, pardonner davantage et rester dans la situation, qu’il suffit de tendre l'autre joue en espérant que l'agresseur se convertira.

Jean : Il est vrai – et triste – que souvent, quand cela concerne une relation conjugale, nous avons tendance à attendre des personnes abusées qu'elles supportent un comportement que nous ne tolérerions pas nous-mêmes dans une autre relation. Si nous ne supportons pas que quelqu'un nous trompe ou nous mente, si nous ne supportons pas que quelqu'un s'emporte contre nous ou lève la main sur nous, nous ne devrions pas attendre de quelqu'un d'autre qu'il (ou elle) supporte ce que nous ne supportons pas nous-mêmes.

Mais Jérémie nous dit que Yahuwah prend plaisir, qu’Il se réjouit – Il se satisfait dans la bonté, le droit et la justice.

Thomas : D'accord, mais attends une seconde. Oui, Yahuwah se réjouit de la justice. Mais on nous dit aussi de tendre l'autre joue. Comment réconcilier cela ? Est-ce que quelqu'un qui est dans une relation abusive est censé continuer à la supporter ? Je parle de toute relation abusive. En tant que chrétien, quelle doit être notre réaction ? Parce que, d'après mon expérience personnelle, il y a beaucoup de frustration quand une personne vous fait du tort… et continue à vous faire du tort en toute conscience.

Quand Pierre a demandé s'il devait pardonner sept fois à son frère, Yahushua lui a dit de pardonner soixante-dix fois sept fois. A mes yeux, c’est comme si, peu importe le nombre de fois que son frère lui ferait du tort, il était censé continuer à lui pardonner. Cela signifie-t-il – et je pose la question parce que je ne sais pas – cela signifie-t-il qu'un enfant maltraité, un conjoint maltraité, est simplement censé continuer à supporter la maltraitance ? Ou que nous devons rester dans une amitié ou un partenariat commercial où la personne nous fait du tort continuellement ?

Jean : Pas du tout. D’abord, soit dit en passant, 70 fois 7 fois est un nombre défini, ce n’est pas illimité. Ensuite, passons au chapitre 7 de Jean. Au chapitre 6, Yahushua a dit à la foule qu'il était le pain de vie. Cette parole a amené beaucoup de gens à se détourner de lui et a irrité les dirigeants juifs parce qu'ils comprenaient la signification de ce qu'il disait. Maintenant, lisons le verset 1 de Jean 7.

Thomas : "Après cela, Yahushua parcourait la Galilée, car il ne voulait pas séjourner en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir."

Jean : Il n'y a rien de mal à mettre un terme aux abus. Et comme nous ne pouvons pas contrôler le comportement d'une autre personne, la seule façon de mettre un terme aux abus est souvent de sortir de la situation. Chaque situation est différente. Nous devons prier pour les personnes qui se trouvent dans de telles situations, mais nous ne devrions jamais, depuis notre place confortable à l’extérieur de la situation, juger quelqu'un qui fait ce qu'il faut pour mettre fin aux abus, même si cela signifie qu'il doit quitter la situation.

Ce qui nous ramène donc au problème de Julia, car ce qui cause le plus de ressentiment dans ces situations, c'est que l'autre personne, l'agresseur, ne change souvent jamais. Et nous ne pouvons pas obliger quelqu’un à changer ! Ce n'est même pas en notre pouvoir. Le ressentiment et la frustration tendent à s'accumuler donc, et à s'accompagner d'un désir de vengeance. Et malheureusement, c'est à ce moment-là que les gens commencent à s'en prendre aux autres, à essayer de se faire justice eux-mêmes.

Thomas : Parfois, certains ont peur de pardonner. Ils pensent que s'ils pardonnent, ça signifie que ce qui s'est passé n'était pas si mal ou si mauvais après tout. Comment répondre à cela ?

Jean : Je dirais qu'il faut comprendre ce qu'est le vrai pardon.

Le pardon ne consiste pas à dire que le mal qui s'est produit n'était pas si grave après tout, ou que tout va bien maintenant. Ce n'est pas dire qu'il faut tout oublier et faire comme si rien ne s'était passé. Parfois, ce n'est pas possible. Parfois, il faut sortir d'une mauvaise situation, comme Yahushua l'a fait en concentrant son ministère en Galilée plutôt qu'en Judée.

Ce que Julia souhaite et n'obtient pas, c'est la repentance. Le vrai repentir, c'est plus que d'être désolé d'avoir fait quelque chose. C’est être tellement désolé que vous cessez de faire ce qui cause tant de mal à une autre personne.

Maintenant, je ne connais pas Julia personellement, mais souvent, dans ce genre de situation, les gens sont prêts à pardonner si l'autre cesse de leur faire du mal.

Thomas : Ça semble raisonnable.

Jean : Mais ça conditionne le pardon à la repentance. Et les deux ne sont pas liés, en réalité. C'est pourquoi il est important de définir nos termes.

Vous voyez, le pardon est simplement un choix que nous faisons.

Thomas : Ce qui n'excuse pas le mal que l'autre personne a fait.

Jean : Pas du tout. Le pardon signifie simplement que nous allons cesser d'essayer de nous venger, nous n'allons pas essayer d’agir dans la vengeance envers l'autre personne. C'est tout. Nous allons le mettre de côté, et continuer notre vie.

Thomas : Mais comment faire ça quand on a subi un préjudice grave ? Parce que nous savons que nous ne pouvons pas contrôler le comportement d'une autre personne. Il est difficile de "mettre ça de côté", comme tu dis, et de passer à autre chose quand cette personne ne s'est pas repentie. Quand elle continue à avoir le même comportement néfaste. Comment peut-on mettre ça de côté et aller de l'avant ?

Jean : En comprenant ce qu’est la rétribution. La vengeance et la rétribution ne sont pas la même chose. Lisons la définition de rétribution.

Thomas : "Le fait d'infliger de la douleur à un autre, en retour d'une blessure ou d'une offense. Une telle infliction, lorsqu'elle procède d'une malice ou d'un simple ressentiment, et qu'elle n'est pas nécessaire aux fins de la justice, est une vengeance et un crime des plus odieux. Lorsqu'un tel châtiment découle d'un simple amour de la justice et de la nécessité de punir les délinquants pour faire respecter les lois, il s'agit d'une forme de rétorsion qui est justifiée et juste. Dans ce cas, la rétribution est un juste châtiment, une récompense ou une punition. C'est dans ce dernier sens que le mot est utilisé dans les Écritures et qu'il est fréquemment appliqué aux punitions infligées par Dieu aux pécheurs. "

Jean : Julia, et tous ceux à qui il a été fait du mal, veulent que justice soit rendue. C'est un attribut divin ! Yahuwah Lui-même se réjouit de la justice. Les sentiments de vengeance s'éveillent quand a l'impression que la justice ne sera jamais rendue. C'est à cause de notre sentiment d’injustice, et notre réaction émotionnelle est de refuser le pardon jusqu'à ce que la personne se repente, c'est-à-dire jusqu'à ce qu'elle cesse de nous faire du tort.

Mais le pardon est un choix, que nous avons à faire. Il ne dépend pas des actions ou de l'inaction de notre agresseur. Nous pouvons faire le choix de le mettre de côté et d'aller de l'avant quand nous comprenons correctement la rétribution. La rétribution divine est la réponse de Yahuwah à notre désir frustré de justice.

Allons dans Deutéronome 32 et lisons le verset 35. C'est ce qui nous permet de pardonner même si la personne qui nous a fait du tort continue à le faire. Deutéronome 32:35.

Thomas : "A moi la vengeance et la rétribution, Quand leur pied chancellera ! Car le jour de leur malheur est proche, Et ce qui les attend ne tardera pas."

Jean : N'oubliez pas que la rétribution, c’est la justice. Ce n'est pas une vengeance humaine. C'est la justice divine. C'est un point tellement important que Paul a cité ce verset dans la lettre aux Romains. Lisons-le. Romains 12. Lisons les versets 17 à 19, pour avoir le contexte.

Thomas : "Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. 18 S'il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. 19 Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère; car il est écrit : A moi la vengeance, à moi la rétribution, dit Yahuwah."

Jean : Quand nous savons que Yahuwah a promis de nous rendre justice, nous pouvons alors nous en remettre à Lui en toute sécurité. C'est ça le pardon. Choisir de ne pas chercher se faire justice nous-mêmes. Voilà ce que c’est. Ça ne signifie pas que ce qu'ils ont fait était bien. Ça ne signifie même pas que nous devons rester en relation avec l'agresseur. Ça signifie simplement que nous allons cesser d'essayer de nous venger. Nous laisserons cela à Yahuwah, sachant que Sa justice est meilleure que tout ce que nous pourrions faire.

Thomas : Et ce sera de la pure justice, rien de plus. Je pense que parfois, dans nos efforts frustrés pour nous faire justice, nous allons trop loin. Avec Yahuwah, nous pouvons avoir confiance que la vraie justice sera rendue.

Jean : Et c'est à ce moment-là que nous pouvons pardonner. À ce moment-là, peu importe que la personne qui nous a fait du tort se soit " repentie " ou non. Nous pouvons toujours faire le choix conscient de ne pas chercher à nous venger. Nous pouvons faire le choix conscient de mettre l'affaire de côté et d'aller de l'avant. C'est cela, le pardon. Et la raison pour laquelle nous pouvons faire ce choix est que nous avons l'assurance de Yahuwah qu'Il obtiendra justice pour nous.

Thomas : C'est très réconfortant. Quand nous savons que Yahuwah obtiendra justice pour nous, nous n'avons même pas besoin de garder rancune. Nous pouvons laisser tomber. Nous pouvons lâcher prise.

Jean : C’est le pardon, et cela nous guérit.

Thomas : Des conseils que nous pouvons tous mettre en pratique.

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

Le vendredi 6 mars 2015 a été un jour de tragédie et de miracles pour la famille Beck. Lynn Beck, âgée de 25 ans, rentrait chez elle en voiture à Springville, dans l'Utah aux États-Unis, après avoir rendu visite à ses parents à Salem. Sa fille Lily, âgée de 18 mois, se trouvait dans la voiture.

Personne ne sait exactement ce qui s'est passé, mais vers 22h30 ce soir-là, alors qu'elle était à mi-chemin de son domicile, la voiture de Lynn a heurté une barrière de béton en traversant un pont. La voiture, avec la mère et la fille à bord, s'est immobilisée à l'envers sur les rives rocheuses de la rivière Spanish Fork. Le véhicule a été partiellement submergé par les eaux glacées et rapides. Cette nuit-là et le lendemain matin, les températures avoisinaient le point de congélation.

Bien que le pont soit très fréquenté, personne n'a vu la voiture en contrebas car la barrière de ciment leur cachait la vue. Samedi, peu après midi, un pêcheur a vu la voiture renversée et a prévenu les autorités. Rapidement, la police et les secouristes sont arrivés sur place. Alors qu'ils étaient rassemblés, tout le monde a clairement entendu une voix d'adulte appeler "Aidez-moi ! Aidez-moi !"

L'officier Jared Warner se souvient : "[Ce n'était] pas seulement dans nos têtes. Pour moi, c'était clair comme de l'eau de roche. Je me souviens avoir entendu une voix qui ne ressemblait pas à celle d'un enfant et qui disait ‘Aidez-moi’."

L'officier de police de Spanish Fork, Tyler Bedd est d'accord, déclarant à télévision locale, que : "Quelqu'un a dit 'aidez-moi' à l'intérieur de cette voiture".

Les secouristes ont rapidement retourné la voiture. Lynn était morte sur le siège avant, mais Lily était encore en vie, attachée à son siège auto à l'arrière ! Elle était suspendue au-dessus de l'eau qui s'engouffrait par les vitres brisées de la voiture. Un pompier a sauté dans la rivière glacée et a coupé les sangles du siège auto, extrayant avec précaution l'enfant inconsciente. Une ligne humaine s'est formée et la petite fille est passée rapidement d'une personne à l'autre. L'eau était si froide que quatre pompiers et trois policiers ont été traités pour hypothermie dans un hôpital local.

La question est de savoir qui a appelé les secours. Lynn est morte dans l'accident et la petite Lily était non seulement trop jeune pour appeler à l'aide, mais elle était inconsciente à cause de l'exposition à l'eau glacée. Mais quelqu'un l'a fait et la vie de Lily a été épargnée. Les officiers qui ont entendu la voix appeler à l'aide sont tous d'accord pour dire que c'est une aide divine qui a sauvé la vie de Lily.

Dans Matthieu 18, verset 10, Yahushua dit : "Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits; car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux."

Le Psaume 34, verset 8, nous dit : "L'ange de Yahuwah campe autour de ceux qui le craignent, Et il les arrache au danger."

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

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Partie 3

Thomas : Rejoignez-nous à nouveau demain, amis auditeurs, et d'ici là, souvenez-vous : Yahuwah vous aime. . . et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance en toute sécurité, car Il en est digne !

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Fin

Vous avez écouté la radio WLC.

Ce programme, ainsi que les épisodes passés de Radio WLC, sont disponibles en téléchargement sur notre site web. Ils sont parfaits pour partager avec vos amis et pour étudier la Bible ! C'est aussi une ressource merveilleuse pour ceux qui adorent Yahuwah seuls ou à la maison. Si vous souhaitez écouter les programmes de Radio WLC, visitez notre site web à l'adresse WorldsLastChance.com.

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