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Yahuwah fait-il du favoritisme ? Un nouveau regard sur Romains 6 à 11

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Programme 174

Yahuwah fait-il du favoritisme ?

Un nouveau regard sur Romains 6 à 11

Partie 1

Eric Thomas : Yahuwah a-t-Il des favoris ? Les Juifs ont-ils un avantage que les non-Juifs n'ont pas ? Bonjour, je suis Eric Thomas et vous écoutez Radio World's Last Chance.

Dans la lettre aux Romains, l'apôtre Paul dit que l'Évangile est premièrement pour les Juifs, et ensuite pour les non-Juifs, les Gentils. Aujourd'hui, avec Jean Olivier nous allons examiner cette déclaration dans le contexte de Romains 6 à 11. Nous allons partager une perspective nouvelle et intéressante au sujet du plan du salut.

Plus tard, Elise Blanc partagera avec nous une expérience personnelle que sa famille a traversée récemment et la promesse qui leur a donné du courage dans des moments difficiles. Restez à l'écoute pour une nouvelle promesse inspirante !

Jean ?

Jean Olivier : As-tu déjà eu une crise d'identité, Eric ?

Eric : Tu veux dire dire : est-ce que j'ai perdu 10 kilos, échangé ma vieille berline contre un coupé sport rouge vif et commencé à me chercher une femme trophée ?

Jean : Eh bien, je suppose que c'est un type de crise d'identité, pour les non-croyants du moins. Mais maintenant que tu en parles, c’est vrai tu as l'air un peu plus mince…

Eric : Ha, non, j’ai toujours été en forme optimale. Et toi ? Tu as déjà eu une crise d'identité ?

Jean : Oui, en fait… Quand j'avais 10 ans…

Eric : Tu as échangé ton vieux vélo contre un nouveau ?

Jean : Non, ce n’était pas ça, ma crise d'identité. Quand j'ai une crise, je fais les choses en grand !

Eric : Qu’est-ce qui s'est passé ?

Jean : J'ai reçu le plus grand choc de ma vie. J'ai découvert que j'étais… un non juif !

Eric : C'était ça, ta grande crise d'identité ?

Jean : Eh bien, oui. Dans toutes les histoires de la Bible, les Juifs étaient les gentils, dans le sens les bons personnage, et les non juifs étaient les méchants. On adorait Yah, alors je supposait qu’on était juifs, nous aussi.

Eric : Naturellement.

Jean : Il m'a fallu un peu d'adaptation mentale pour accepter que j'étais l'un de ces "horribles" non juifs.

Eric : Je vois. Je comprends que ça a pu être un choc, pour un enfant.

Jean : Eh bien, avec le temps, j'ai amorti ce choc, mais un verset de la lettre aux Romains a continué à me déranger pendant un certain temps. Il pourrait donner l'impression que Yahuwah fait du favoritisme. Voyons ce verset. Lisons Romains, chapitre 1, verset 16.

Eric : Bien sûr ! Donne-moi juste un instant…

Nous y voilà. Il est écrit : « Car je n'ai point honte de l'Evangile : c'est une puissance de Yahuwah pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec (ou : du non-Juif, dans une autre version) »

Jean : Ce verset ne te donne-t-il pas l'impression d'être un perdant, ou du moins, un parent pauvre ?

Eric : Un « second rôle » ?

Jean : Oui. Un peu comme une mention honorable, un prix de consolation pour avoir concouru même si tu n'étais pas assez bon pour gagner.

Eric : Oui, je suppose que ça sonne un peu comme ça, si on le prend sous un certain angle, du moins.

Jean : Bien sûr, nous savons que ce n'est pas vrai. Notre Père céleste aime tout le monde. Mais Paul faisait valoir un point. Allons maintenant au chapitre 9 de la lettre aux Romains.

Paul, comme nous le savons, était l'apôtre des non juifs. Pierre a été envoyé vers les Juifs, Paul vers les non juifs. Mais Paul désirait toujours que les membres de son propre peuple acceptent la vérité.

Eric : Romains 9. Quels versets ?

Jean : Lisons les cinq premiers.

Eric : « Je dis la vérité en Christ, je ne mens point, ma conscience m'en rend témoignage par le Saint-Esprit : 2 J'éprouve une grande tristesse, et j'ai dans le coeur un chagrin continuel. 3 Car je voudrais moi-même être anathème et séparé de Christ pour mes frères, mes parents selon la chair, 4 qui sont Israélites, à qui appartiennent l'adoption, et la gloire, et les alliances, et la loi, et le culte, et les promesses, 5 et les patriarches, et de qui est issu, selon la chair, le Christ, qui est au-dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement. Amen ! (ou, une autre version : Dieu soit béni éternellement. Amen !) »

Ouah ! Ça en dit long sur Paul. Dire qu'il pouvait souhaiter être perdu lui-même si seulement le reste des Israélites pouvait être sauvé par ça ? Ça c'est une déclaration. Ça me rappelle ce que Moïse a dit quand il a supplié Yah de pardonner à Israël.

Jean : Ça montre un amour profond pour les perdus, n'est-ce pas ?

Eric : Oui, vraiment.

Jean : Paul a peut-être été désigné apôtre des non juifs, mais il aspirait toujours sincèrement au salut de ses propres frères de sang. Mais il s'empresse de souligner que le rejet du Messie par les Juifs ne signifie pas que la parole de Yahuwah aurait échoué. Loin de là.

Reprenons là où on s’est arrêtés. Continuons la lecture au verset 6, de Romains 9.

Eric : « Ce n'est point à dire que la parole de Yahuwah soit restée sans effet. Car tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas Israël. »

Jean : Ok. La parole de Yahuwah n'a donc pas échoué, bien que la majorité des Juifs ait rejeté le Messie. Paul explique ensuite un point essentiel : tous ceux qui descendent d'Abraham par le sang, tous ceux qui sont issus de cette lignée, ne doivent pas nécessairement être considérés comme des Israélites. « Car tous ceux qui descendent d'Israël ne sont pas Israël. » Ou, dans une autre version : « car ceux qui sont issus d'Israël ne sont pas tous Israël » Ou encore : « ce ne sont pas tous ceux qui descendent du patriarche Israël qui constituent Israël ».

Très bien. Continuons. Verset 7.

Eric : « et, pour être la postérité d'Abraham, ils ne sont pas tous ses enfants; mais il est dit: En Isaac sera nommée pour toi une postérité, »

Jean : Il fait référence à ce que Yah a dit à Abraham dans Genèse 21. Le verset suivant ?

Eric : « c'est-à-dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Yahuwah, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la postérité. 9 Voici, en effet, la parole de la promesse : Je reviendrai à cette même époque, et Sara aura un fils. 10 Et, de plus, il en fut ainsi de Rébecca, qui conçut du seul Isaac notre père; 11 car, quoique les enfants ne fussent pas encore nés et qu'ils n'eussent fait ni bien ni mal,-afin que le dessein d'élection de Yahuwah subsistât, sans dépendre des oeuvres, et par la seule volonté de celui qui appelle,- 12 il fut dit à Rébecca : L'aîné sera assujetti au plus jeune; 13 selon qu'il est écrit : J'ai aimé Jacob Et j'ai haï Esaü. »

Jean : C'est là un passage important pour tous ceux qui, comme moi à l'âge de 10 ans, se sont inquiétés de ne peut-être pas être des descendants directs d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. Ce passage établit que l'ADN d'une personne, son droit d'aînesse, ne garantit en rien le salut. Parmi les fils d'Abraham, Ismaël et les fils des concubines d'Abraham et de sa troisième femme Keturah, ont tous été rejetés. Seul Isaac a été choisi.

De la même façon, Ésaü a été rejeté alors que Jacob a été choisi. C'est la prérogative de Yahuwah de choisir qui Il veut.

Eric : Ça semble un peu… injuste, non ? Je veux dire : les arabes, en tant que descendants d'Ismaël, pourraient se sentir un peu exclus, par exemple. Et nous sommes encore plus éloignés, peut-être !

Jean : Eh bien, continuons à lire. A quel verset est-on maintenant ?

Eric : Au verset 14.

« Que dirons-nous donc ? Y a-t-il en Yahuwah de l'injustice ? Loin de là ! 15 Car il dit à Moïse : Je ferai miséricorde à qui je fais miséricorde, et j'aurai compassion de qui j'ai compassion. »

Jean : Tu vois, Paul a anticipé ton inquiétude. Il en vient maintenant à l'essentiel de ce passage. Et c'est magnifique. Allons-y.

Eric : « Ainsi donc, cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Yahuwah qui fait miséricorde. 17 Car l'Ecriture dit à Pharaon : Je t'ai suscité à dessein pour montrer en toi ma puissance, et afin que mon nom soit publié par toute la terre. 18 Ainsi, il fait miséricorde à qui il veut, et il endurcit qui il veut. »

Jean : C’est là un point très important. Le salut… ne dépend pas… de votre effort ou de votre désir. Il ne dépend pas non plus du mien. Il ne dépend certainement pas du fait d'être né juif. Il dépend entièrement de la volonté de Yah et de Sa miséricorde.

Eric : D'accord… ça semble très bien, mais… honnêtement, ce n'est pas tout à fait rassurant quand il est dit aussi que Yah « endurcit qui Il veut » endurcir. Je veux dire, ça ressemble de très près à ce qu’on appelle la doctrine de la prédestination.

C'est comme si… : Oups ! Tu es quelqu'un que Yah a choisi d'endurcir ! C'est dommage, c'est triste, mais on ne peut rien y faire. Ça craint d'être toi !

Jean : Ok. Alors, examinons quelques passages des Écritures où il est dit que Yahuwah a « endurci » le cœur de quelqu'un, et puis, comparons-les avec d'autres passages des Écritures. Parce que, rappelons-nous que toute interprétation doit être cohérente et harmonieuse avec l’ensemble des Écritures.

Très bien, passons à Exode 10 et commençons à lire au verset 1.

Eric : « Yahuwah dit à Moïse : Va vers Pharaon, car j'ai endurci son coeur et le coeur de ses serviteurs, pour faire éclater mes signes au milieu d'eux. 2 C'est aussi pour que tu racontes à ton fils et au fils de ton fils comment j'ai traité les Egyptiens, et quels signes j'ai fait éclater au milieu d'eux. Et vous saurez que je suis Yahuwah. »

Jean : Donc, l'Écriture affirme sans équivoque que Yahuwah a « endurci » le cœur de Pharaon. Le mot traduit en français par « endurci » vient du mot hébreu : chazaq.

C'est le mot Strong numéro 2388. Dans la concordance Strong, il est dit qu’il signifie : être ou devenir ferme, ou fort ; renforcer. Il peut aussi être traduit par… tu es prêt pour ça ? … confirmer.

Maintenant, quand on utilise cette définition du mot, qu'est-ce que ça donne ?

Eric : « Yahuwah dit à Moïse : Va vers Pharaon, car j'ai confirmé son coeur et le coeur de ses serviteur… »

Jean : Nous ne devons jamais oublier que c'est satan qui force la volonté. Yahuwah protège la liberté de choix. Il n'a pas décidé arbitrairement de faire de Pharaon le grand méchant de cette histoire. Pharaon a pris ses propres décisions, tout comme nous le faisons tous. Toujours.

Pharaon était une âme à sauver, lui aussi. Il aurait pu choisir de coopérer avec Moïse pour accomplir la volonté de Yah. Mais il ne l'a pas fait. C'était son choix. Il a résisté à l'attraction de l’Esprit Saint. Yahuwah a donc permis que le cours naturel des événements se produise. A chaque fois que Pharaon a rejeté les appels de l'Esprit Saint, il s'est endurci dans sa ligne de conduite. Yahuwah l'a simplement confirmé.

Eric : Je suppose que ça va dans le sens des paroles de Paul dans Romains 8, où il dit que : « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Yah, de ceux qui sont appelés selon son dessein. »

Jean : Exactement. Et plus encore, allons dans 2 Pierre 3 et lisons le verset 9. Tout passage de l'Écriture qui prête à confusion, ou qui donne l'impression que le Père joue une sorte de loterie divine pour choisir qui sera sauvé et qui sera perdu, devrait être lu dans le contexte de 2 Pierre 3:9.

Eric : « Yahuwah ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance. »

Jean : Yahuwah ne veut pas que quiconque périsse, et ça incluait aussi le Pharaon d’Egypte. Mais Il ne force jamais la volonté. Si une personne s'obstine à résister à l'Esprit de Yah, le Père prend du recul – Il est très poli – et Il permet aux actions de la personne de confirmer ses choix.

Eric : Ok, ça sonne mieux comme ça. Et c'est cohérent avec le caractère d'amour de Yahuwah.

Jean : Un autre point à retenir, c’est que le salut dépend de la foi.

Eric : Et selon Paul, Yahuwah : « a départi (ou : distribué) à chacun » une « mesure de foi ». Chacun a été doté d'une foi suffisante pour être sauvé, s'il c’est ce qu’il ou elle choisit.

Jean : Exactement. Mais cette foi doit être mise en pratique. Quand vous entendez l'Évangile, vous devez choisir de croire. Passons à Marc 4. Il y a ici une parabole qui illustre vraiment ce point. Commençons au verset 3.

Eric : « Ecoutez. Un semeur sortit pour semer. 4 Comme il semait, une partie de la semence tomba le long du chemin : les oiseaux vinrent, et la mangèrent. 5 Une autre partie tomba dans un endroit pierreux, où elle n'avait pas beaucoup de terre; elle leva aussitôt, parce qu'elle ne trouva pas un sol profond; 6 mais, quand le soleil parut, elle fut brûlée et sécha, faute de racines. 7 Une autre partie tomba parmi les épines : les épines montèrent, et l'étouffèrent, et elle ne donna point de fruit. 8 Une autre partie tomba dans la bonne terre : elle donna du fruit qui montait et croissait, et elle rapporta trente, soixante, et cent pour un. »

Jean : Maintenant, continuons un peu plus loin, où il explique cette parabole. Verset 14.

Eric : « Le semeur sème la parole. 15 Les uns sont le long du chemin, où la parole est semée; quand ils l'ont entendue, aussitôt Satan vient et enlève la parole qui a été semée en eux. 16 Les autres, pareillement, reçoivent la semence dans les endroits pierreux; quand ils entendent la parole, ils la reçoivent d'abord avec joie; 17 mais ils n'ont pas de racine en eux-mêmes, ils manquent de persistance, et, dès que survient une tribulation ou une persécution à cause de la parole, ils y trouvent une occasion de chute. 18 D'autres reçoivent la semence parmi les épines; ce sont ceux qui entendent la parole, 19 mais en qui les soucis du siècle, la séduction des richesses et l'invasion des autres convoitises, étouffent la parole, et la rendent infructueuse. 20 D'autres reçoivent la semence dans la bonne terre; ce sont ceux qui entendent la parole, la reçoivent, et portent du fruit, trente, soixante, et cent pour un. »

Jean : C’est toujours une question de choix personnel. Quand nous entendons la vérité, est-ce nous la rejetons immédiatement ? Est-ce que nous l'acceptons pour ensuite laisser les soucis de la vie nous détourner de l'obéissance ? Ou est-ce que nous l'embrassons pleinement, en la laissant nous transformer par la foi ?

Le problème, à l'époque de Yahushua – et, pour être précis, c'était un problème qui remontait à des siècles – était que les Juifs ne voulaient pas être sauvés par la foi. Quand vous êtes sauvé par la foi, vous vous reposez totalement et complètement sur le salut que Yahuwah a fourni. Vous reconnaissez que vous ne pouvez rien faire. Mais les Juifs ne voulaient pas admettre ça.

Eric : Ça chatouille notre orgueil personnel, si je puis dire, ça ronge notre fierté personnelle, de devoir admettre qu'on ne peut rien faire pour se sauver soi-même.

Jean : Ils ne voulaient pas être sauvés par la foi seule. Ils préféraient avoir leur mot à dire, leur rôle à jouer pour parvenir à leur salut. Ils voulaient que leurs propres efforts comptent pour quelque chose, alors quand Yahushua est venu prêcher le véritable évangile du royaume, ils l'ont rejeté.

Paul déclare clairement que c'est ça, la raison pour laquelle les Juifs ont rejeté leur Messie. Lisons-le, dans Romains 9, versets 30 à 32.

Eric : Très bien, il est est écrit : « Que dirons-nous donc ? Les païens (ou : les nations, les non-juifs), qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi, 31 tandis qu'Israël, qui cherchait une loi de justice, n'est pas parvenu à cette loi. 32 Pourquoi ? Parce qu'Israël l'a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement. »

Jean : Ils ont donc entendu l'Évangile, mais il ne plaisait pas à leur orgueil. Et, ils l'ont rejeté.

Eric : Maintenant, beaucoup de chrétiens croient que tous les Juifs seront sauvés à la fin. J'ai toujours pensé qu'il s'agissait plutôt d'une question individuelle. Mais en t’écoutant maintenant, est-ce que ça signifie que Yahuwah n'a plus de projets pour les Juifs ? Je pense à la lamentation de Yahushua sur Jérusalem quand il a dit : « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu ! 38 Voici, votre maison vous sera laissée déserte »

Est-ce que ça signifie que toutes les prophéties et les promesses ne concernent plus que l'Israël spirituel ? Ceux qui croient parmi les non-juifs ?

Jean : C'est une bonne question. Il est absolument clair que le salut est, et a toujours été, individuel. Allons au chapitre 11 de Romains. Voyons ça. Commençons au verset 1.

Eric : « Je dis donc : Yahuwah a-t-il rejeté son peuple ? Loin de là ! Car moi aussi je suis Israélite, de la postérité d'Abraham, de la tribu de Benjamin. 2 Yahuwah n'a point rejeté son peuple, qu'il a connu d'avance. Ne savez-vous pas ce que l'Ecriture rapporte d'Elie, comment il adresse à Yah cette plainte contre Israël : 3 Seigneur, ils ont tué tes prophètes, ils ont renversé tes autels; je suis resté moi seul, et ils cherchent à m'ôter la vie ? 4 Mais quelle réponse Yahuwah lui fait-il ? Je me suis réservé sept mille hommes, qui n'ont point fléchi le genou devant Baal. »

Jean : Maintenant, remarquons ce qu'il dit ensuite. Il établit une comparaison entre les jours d'Elie et les Juifs de l'ère chrétienne. Continuons.

Eric : « De même aussi dans le temps présent il y a un reste, selon l'élection de la grâce. 6 Or, si c'est par grâce, ce n'est plus par les oeuvres; autrement la grâce n'est plus une grâce. Et si c'est par les oeuvres, ce n'est plus une grâce; autrement l'oeuvre n'est plus une oeuvre. 7 Quoi donc ? Ce qu'Israël cherche, il ne l'a pas obtenu, mais l'élection l'a obtenu, tandis que les autres ont été endurcis, 8 selon qu'il est écrit : Elohim leur a donné un esprit d'assoupissement, Des yeux pour ne point voir, Et des oreilles pour ne point entendre, Jusqu'à ce jour. »

Jean : Voilà encore ce mot : endurcir. Ceux qui rejettent l'attraction de l'Esprit de Yah seront renforcés et confirmés dans leur choix. Mais Yah a toujours eu un reste parmi les Juifs. Ceux qui ont cru en Lui, et Lui obéissent, et ce n'est pas différent aujourd'hui. Il y a des Juifs qui croient en l'Évangile, et il y en aura encore plus qui accepteront le salut à l'avenir.

Eric : C'est logique. Et c'est conforme au caractère d'amour du Père.

Nous allons faire une courte pause, amis auditeurs, nous revenons dans un instant.

* * *

Partie 2

Eric : Donc, comme nous l’avons dit dans notre première partie : il y a, et il y a toujours eu, un reste parmi les Juifs, qui seront sauvés.

Jean : Tout comme il y aura un reste dans chaque culture, chaque tribu, chaque nation, chaque peuple et religion.

Eric : Et Yahuwah a toujours des projets pour eux. Je veux juste te demander, franchement : est-ce que tu as parfois eu le sentiment que Yahuwah préfère ceux qui sont d’une lignée juive ?

Jean : Tu veux dire : est-ce qu'Il a des favoris ?

Eric : Eh bien, peut-être pas… Je veux dire, ça sonne faux, à mon sens. Mais… oui, je suppose que parfois, même si je sais intellectuellement que Yahuwah ne fait pas de favoritisme, je peux avoir le sentiment, l’impression qu'Il préfère les Juifs.

Tu sais, il y a le verset qui dit : « Car celui qui vous touche touche la prunelle de Son oeil. »

Jean : Je comprends, et je pense que beaucoup de gens peuvent ressentir ça. Je connais des gens qui insistent sur le fait qu'ils sont des descendants des « tribus perdues » d'Israël. Ils ne peuvent pas le prouver par leur ascendance, ou leur nom de famille, mais ils sont convaincus que, génétiquement, ils descendent d'une manière ou d'une autre de l'une des tribus perdues d'Israël. Une femme m'a dit qu’elle est convaincue dans son cœur que c’est vrai et c’est donc ce qu'elle croit, ce que je respecte.

Et, bien sûr, j’ai eu ma propre crise d'identité quand j'ai découvert, enfant, que j'étais un non-juif.

A chaque fois que vous ressentez ceci, si vous vous retrouvez dans ce questionnement, rappelez-vous l'histoire de Corneille. C'était un centurion romain vivant à Césarée. On lui a demandé d'aller chercher Pierre à Joppé.

Eric : Oui, Yah a envoyé à Pierre une vision dans laquelle il a vu une grande nappe tendue où se trouvaient toutes sortes d'animaux, purs et impurs. Dans cette vision, il lui a été dit de se lever, de tuer et de manger.

Jean : Ce qui, bien sûr, l'a horrifié en tant que Juif observant la Torah. Voyons ce passage, c’est dans Actes 10. Qu'a dit Pierre quand on lui a dit de tuer et de manger ces animaux impurs ?

Eric : Verset 14 : « Mais Pierre dit : " Certainement pas, Seigneur ! Car je n'ai jamais rien mangé de souillé ni d'impur. »

Jean : Pour ceux qui disent que la loi a été clouée à la croix, je veux juste souligner que ça s'est produit un certain nombre d'années après l'ascension de Christ. Qu’a dit la voix en réponse à l'objection de Pierre ?

Eric : « Et pour la seconde fois la voix se fit encore entendre à lui : Ce que Yah a déclaré pur, ne le regarde pas comme souillé. »

Jean : Ce n’est pas là une autorisation soudaine de manger des aliments impurs. Yahuwah n'a jamais déclaré que les aliments impurs étaient soudainement purs. C’était une leçon sur les préjugés, et c’est comme ça que Pierre l'a compris. Il s’est rendu avec les messagers à Césarée, dans la maison d'un centurion romain, et en voyant tous ces « païens incirconcis » rassemblés là, qu'est-ce qu’il a dit ? Versets 28 et 29.

Eric : « Vous savez, leur dit-il, qu'il est défendu à un Juif de se lier avec un étranger ou d'entrer chez lui; mais Yahuwah m'a appris à ne regarder aucun homme comme souillé et impur. C'est pourquoi je n'ai pas eu d'objection à venir, puisque vous m'avez appelé; je vous demande donc pour quel motif vous m'avez envoyé chercher. »

Jean : Pierre n'a manifestement pas interprété la vision comme signifiant qu'il pouvait désormais manger tout ce qu'il voulait. C’était une leçon sur les préjugés et le racisme, et il a clairement compris la leçon.

A ce moment-là, Corneille explique sa propre expérience. Un ange est venu lui dire que sa prière a été exaucée et lui a demandé d'envoyer chercher Pierre. Reprenons la lecture au verset 33. C'est la fin de l'explication de Corneille.

Eric : « Aussitôt j'ai envoyé vers toi, et tu as bien fait de venir. Maintenant donc nous sommes tous devant Yah, pour entendre tout ce que le Seigneur t'a ordonné de nous dire. 34 Alors Pierre, ouvrant la bouche, dit : En vérité, je reconnais que Yahuwah ne fait point acception de personnes (ou : je reconnais que Yahuwah ne fait pas de favoritisme, je me rends vraiment compte que Yahuwah ne fait pas de différence entre les hommes, je reconnais que Yahuwah n'a point égard à l'apparence des personnes, selon les version), mais qu'en toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable (ou : est accepté par Lui). »

Jean : Voilà ta réponse : Yahuwah ne fait pas de favoritisme. Il accepte toute personne, de n'importe quel milieu, qui vient à Lui pour le salut.

Eric : Eh bien, serait-il juste de dire que les Juifs ont été avantagés ?

Jean : Je pense que c'est juste de le dire. Quiconque possède un plus haut niveau de vérité a aussi un plus grand avantage. Quelqu'un qui a été élevé dans un foyer chrétien, en croyant à la bonté et à l'amour du Père, aura un avantage, je suppose qu'on peut le dire, sur quelqu'un qui a été élevé dans un foyer non croyant en craignant les démons.

Mais, n'oublions pas, comme nous l'avons déjà dit, que chaque système de croyance contient suffisamment de vérité pour que, si cette portion de vérité est suivie, cela conduira le chercheur sincère vers une vérité encore plus grande.

Eric : Oui. Yahuwah s'en est assuré.

Jean : Ce ne serait pas juste autrement.

Il y a aussi la parabole de Christ sur l'intendant fidèle. Voyons-la rapidement. C’est dans Luc 12, je crois. Oui, Luc 12. Commençons à lire les paroles de Christ, à partir du verset 42.

Eric : « Quel est donc l'économe fidèle et prudent que le maître établira sur ses gens, pour leur donner la nourriture au temps convenable ? 43 Heureux ce serviteur, que son maître, à son arrivée, trouvera faisant ainsi ! 44 Je vous le dis en vérité, il l'établira sur tous ses biens. 45 Mais, si ce serviteur dit en lui-même : Mon maître tarde à venir; s'il se met à battre les serviteurs et les servantes, à manger, à boire et à s'enivrer, 46 le maître de ce serviteur viendra le jour où il ne s'y attend pas et à l'heure qu'il ne connaît pas, il le mettra en pièces, et lui donnera sa part avec les infidèles. 47 Le serviteur qui, ayant connu la volonté de son maître, n'a rien préparé et n'a pas agi selon sa volonté, sera battu d'un grand nombre de coups. 48 Mais celui qui, ne l'ayant pas connue, a fait des choses dignes de châtiment, sera battu de peu de coups. On demandera beaucoup à qui l'on a beaucoup donné, et on exigera davantage de celui à qui l'on a beaucoup confié. »

Jean : Les juifs de l'époque biblique, et les chrétiens aujourd'hui, ont été bénis d’une abondance de vérité. Est-ce qu’il y a un avantage à cela ? Bien sûr ! Mais à qui on a beaucoup donné, on exigera davantage, on attendra beaucoup d’eux.

Un chrétien hypocrite d’aujourd'hui, tout comme un pharisien hypocrite de l'époque de Yahushua, est dans une position bien plus mauvaise qu'un hindou ou un musulman d’aujourd'hui, ou qu'un samaritain ou un grec de l'époque de Christ. Il y a beaucoup d'hindous et de musulmans très sincères, si on veut l’admettre. S'ils vivent à la hauteur de toute la lumière qu'ils ont reçu, à l’endroit où ils sont, en essayant de mener une vie honnête en accord avec la vérité qu'ils ont reçu, ils sont dans une bien meilleure situation qu'un chrétien qui a été exposé à une grande lumière et qui la rejette parce qu'elle ne lui convient pas.

Eric : Ou qui utilise la lumière qu'il a pour juger les autres et leur trouver des défauts.

Jean : Exactement.

Yahuwah, en tant que Père aimant, veut que tout le monde soit sauvé. Passons maintenant à Romains 11. Paul décrit un processus fascinant par lequel Yahuwah cherche à attirer les Juifs vers la vérité.

Vous voyez, nous avons tous été façonnés par notre éducation, par les croyances dans lesquelles nous avons été élevés, par nos expériences passées. Je sais que beaucoup de chrétiens ont tendance à mépriser la psychologie moderne, mais je vais prendre un risque et dire que je crois… que Yahuwah est le plus grand psychologue qui soit.

Eric : Oui… Ok. Je comprends ce que tu veux dire. Après tout, il est notre Créateur. C’est Lui qui a câblé notre cerveau.

Jean : Et Il sait comment notre éducation culturelle a façonné nos pensées et nos émotions.

Je ne veux pas trop m'éloigner du sujet, mais c'est pourquoi j'insiste sur le fait que ce n'est pas à nous de convaincre les autres de péché. C'est l’oeuvre de l’Esprit Saint. L'Esprit de Yah connaît le meilleur moyen d'atteindre le cœur de chacun et le fait de la manière la plus douce possible.

Nous ne voyons que l'extérieur. Il est facile pour nous de piétiner les autres sans penser à ce à quoi il ou elle peut être confronté(e) à ce moment-là.

Eric : Et malheureusement, c'est justement ce genre de comportement qui détourne beaucoup de gens de Yah.

Jean : Oui.

Pour revenir à notre sujet, Romains 11 nous révèle un plan fascinant que Yahuwah a mis en œuvre, dans Ses efforts pour attirer au salut un reste parmi les Juifs.

Eric : Quel est ce plan ?

Jean : Eh bien, ça peut, ça peut sembler drôle, mais je peux le prouver à partir des Écritures : Yahuwah va rendre les Juifs… jaloux.

Eric : Jaloux ? Oui, c'est un peu drôle. Mais comment ça va fonctionner ?

Jean : Eh bien, commençons par lire Éphésiens 2. Garde ton doigt sur Romains 11 parce qu’on va y revenir dans un instant, mais lisons Éphésiens chapitre 2, versets 11 à 13, qui décrit la condition des non-juifs avant que l'Évangile ne leur soit prêché.

Eric : « C'est pourquoi, vous autrefois païens dans la chair, appelés incirconcis par ceux qu'on appelle circoncis et qui le sont en la chair par la main de l'homme, souvenez-vous 12 que vous étiez en ce temps-là sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Yahuwah dans le monde. 13 Mais maintenant, en Yahushua-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. »

Jean : Voilà donc où en étaient les non juifs au départ : sans espoir et sans Yah, exclus du droit de cité , ou de la citoyenneté en Israël et des promesses faites à Israël. Mais maintenant, depuis le temps de Christ, l'Évangile est allé vers les nations des non juifs. Ça crée une situation dans laquelle Yahuwah peut être miséricordieux envers tous.

Revenons maintenant à Romains 11 et lisons les versets 30 à 32. Il s'adresse ici aux non-juifs au sujet des Juifs. Allons-y.

Eric : Très bien, il est écrit : « De même que vous avez autrefois désobéi à Yahuwah et que par leur désobéissance vous avez maintenant obtenu miséricorde, 31 de même ils ont maintenant désobéi, afin que, par la miséricorde qui vous a été faite, ils obtiennent aussi miséricorde. 32 Car Yah a renfermé tous les hommes dans la désobéissance, pour faire miséricorde à tous. »

Qu'est-ce que ça veut dire ?

Jean : Fondamentalement, quand l'Évangile a été rejeté par les Juifs en tant que nation – nous savons qu'il y en a eu beaucoup qui l'ont reçu et accepté, mais ce n’est pas le cas de la majorité – l'Évangile a alors été apporté aux non juifs. Cela devait avoir un double effet. Premièrement, bien sûr, parce que Yahuwah voulait que les non juifs soient sauvés. Mais deuxièmement, Yahuwah savait que la réaction émotionnelle des Juifs en voyant l'Évangile apporté aux non juifs serait la jalousie.

Ça peut sembler étrange, mais quiconque a déjà passé du temps à lire le Talmud peut comprendre.

Eric : Ah, le Talmud. Pour ceux qui ne le sauraient pas, le Talmud est la tradition orale des Juifs qui a été mise par écrit. C’est un ouvrage incroyablement raciste. Il contient des passages qui établissent clairement la supériorité supposée des Juifs.

Maintenant, je tiens à préciser que ce n’est pas scripturaire. C'est le texte central du judaïsme rabbinique moderne, mais il ne fait pas partie de la Bible. Il contient même des déclarations qui justifient le fait de profiter des non-Juifs, et de les classer comme inférieurs aux Juifs.

Par exemple, laissez-moi vous lire un extrait… Le Schene luchoth haberuth, page 250b du Talmud, déclare, je cite : « Bien que le non-Juif ait la même structure corporelle que le Juif, il se compare au Juif comme un singe se compare à un humain. » Fin de citation.

Ensuite, l'Ereget Raschi Erod, 22-30 du Talmud déclare, je cite : « L'Akum (le non-Juif) est comme un chien. Oui, les Écritures enseignent qu'il faut honorer le chien plus que le non-Juif. » Fin de citation. Donc, oui. Le texte central du judaïsme rabbinique est extrêmement raciste et enseigne aux juifs à se sentir supérieurs à tous les non-juifs.

Jean : Tous les juifs n'adhèrent pas à ces croyances, mais elles sont enseignées dans le Talmud. Heureusement, Yahuwah accepte chacun là où il est. Si quelqu'un s'est vu inculquer de telles croyances dès le ventre de sa mère, oui. Il est probable que cette personne méprise les non-Juifs. C'est ce qu'on leur a enseigné. Donc, Yahuwah, en tant que maître psychologue, a mis en œuvre un plan pour oeuvrer en eux, à partir de là où ils sont, et ce plan, comme expliqué dans Romains 11, est : de les rendre jaloux.

Eric : Où est-ce ? Je veux dire, c'est comme une nouvelle information pour moi. Je trouve ça plutôt drôle, en fait ! Mais si ça fonctionne, ça veut dire que plus de gens seront sauvés. C’est quel verset ?

Jean : Paul explique aux croyants non-juifs de Rome que les Juifs ont toujours eu, et continueront d'avoir, un reste de personnes qui accepteront la vérité, c'est-à-dire : le salut par la foi. Mais la majorité des Juifs, comme nous l'avons dit plus tôt, n’a pas voulu d'un salut gratuit. Ils voulaient oeuvrer pour l'obtenir. Ok, commençons à lire au verset 5, de Romains 11.

Eric : « De même aussi dans le temps présent il y a un reste, selon l'élection de la grâce. 6 Or, si c'est par grâce, ce n'est plus par les oeuvres; autrement la grâce n'est plus une grâce. Et si c'est par les oeuvres, ce n'est plus une grâce; autrement l'oeuvre n'est plus une oeuvre. 7 Quoi donc ? Ce qu'Israël cherche, il ne l'a pas obtenu, mais l'élection l'a obtenu, tandis que les autres ont été endurcis, 8 selon qu'il est écrit : Yahuwah leur a donné un esprit d'assoupissement, Des yeux pour ne point voir, Et des oreilles pour ne point entendre, Jusqu'à ce jour. 9 Et David dit : Que leur table soit pour eux un piège, Un filet, une occasion de chute, et une rétribution ! 10 Que leurs yeux soient obscurcis pour ne point voir, Et tiens leur dos continuellement courbé ! 11 Je dis donc : Est-ce pour tomber qu'ils ont bronché ? Loin de là ! Mais, par leur chute, le salut est devenu accessible aux païens, afin qu'ils fussent excités à la jalousie. 12 Or, si leur chute a été la richesse du monde, et leur amoindrissement la richesse des païens, combien plus en sera-t-il ainsi quand ils se convertiront tous. »

Jean : Vous avez entendu ? Verset 11 : « le salut est devenu accessible aux païens, afin qu'ils fussent excités à la jalousie (ou : pour rendre Israël envieux, dans une autre version) » Ça ne signifie pas que Yahuwah aime moins les non-juifs ou apprécie davantage les Juifs. Ça signifie simplement qu'Il sait comment atteindre chacun là où il se trouve, et qu'Il a mis en place un processus pour atteindre autant de Juifs que possible.

Eric : Donc, les prophéties se sont d'abord adressées aux Juifs. Le Messie est juif. Les promesses ont d'abord été données aux Juifs, et pourtant, ce sont les non-juifs qui embrassent la vérité et qui héritent des promesses. Oui, je comprends que ça puisse susciter de la jalousie. C'est brillant !

Jean : Yahushua compare ce processus au travail d'élagage que les arboriculteurs font sur les arbres. Garde ton doigt sur Romains 11 et allons dans Jean 15. Commençons à lire au verset 1. Le reste de Romains 11 aura beaucoup plus de sens.

Eric : Très bien. « Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. 2 Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il porte encore plus de fruit. 3 Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. 4 Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi. 5 Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. 6 Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent. 7 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. 8 Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. »

Jean : Quand les Juifs ont rejeté le Messie, ils ont été retranchés, ou « taillés », on pourrait dire, de la vraie vigne. Mais il y a encore de l'espoir pour eux ! Et Romains 11 nous dit comment. Continuons au verset 13.

Eric : « Je vous le dis à vous, païens (ou : à vous qui êtes d'origine non juive, dans une autre version) : en tant que je suis apôtre des païens (ou : des non-juifs), je glorifie mon ministère, 14 afin, s'il est possible, d'exciter la jalousie de ceux de ma race, et d'en sauver quelques-uns. 15 Car si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une vie d'entre les morts ? 16 Or, si les prémices sont saintes, la masse l'est aussi; et si la racine est sainte, les branches le sont aussi. »

Jean : Vous voyez ? Il a l'espoir qu'il y aura encore des Juifs qui accepteront le salut. Il dit que leur acceptation de l'Évangile les sauvera d'une mort certaine. Maintenant il va expliquer comment ça va se dérouler. Verset 17.

Eric : « Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, 18 ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. 19 Tu diras donc : Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. 20 Cela est vrai; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains; 21 car si Yah n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. »

Jean : Le Messie a été envoyé à Israël. On pourrait dire que la vigne, le cep originel, est juive. Par conséquent, les Juifs sont les branches naturelles. Oui, ils ont été taillés à cause de leur incrédulité, mais il y a encore de l'espoir pour eux : ils peuvent être greffés à nouveau !

Continuons. Verset 22.

Eric : « Considère donc la bonté et la sévérité de Yahuwah : sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Yah envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché. 23 Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront entés; car Yahuwah est puissant pour les enter de nouveau. 24 Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier. »

Jean : Il y a donc un espoir égal pour les Juifs et les non-juifs. Et beaucoup d'entre les deux groupes seront sauvés. Les Juifs rebelles qui ont rejeté le Messie peuvent à nouveau être greffés sur l'arbre original. Ils sont les branches « naturelles ». Voilà ce que ça veut dire : que l'Évangile est « premièrement pour le Juif ». C'est le processus par lequel les Juifs peuvent encore être sauvés.

Continuons au verset 25. Paul promet que de nombreux Juifs finiront, à la fin, par embrasser la vérité et seront sauvés.

Eric : « Car je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous regardiez point comme sages, c'est qu'une partie d'Israël est tombée dans l'endurcissement, jusqu'à ce que la totalité des païens soit entrée. 26 Et ainsi tout Israël sera sauvé, selon qu'il est écrit : Le libérateur viendra de Sion, Et il détournera de Jacob les impiétés; 27 Et ce sera mon alliance avec eux, Lorsque j'ôterai leurs péchés. 28 En ce qui concerne l'Evangile, ils sont ennemis à cause de vous; mais en ce qui concerne l'élection, ils sont aimés à cause de leurs pères. 29 Car Yahuwah ne se repent pas de ses dons et de son appel. 30 De même que vous avez autrefois désobéi à Yahuwah et que par leur désobéissance vous avez maintenant obtenu miséricorde, 31 de même ils ont maintenant désobéi, afin que, par la miséricorde qui vous a été faite, ils obtiennent aussi miséricorde. 32 Car Yahuwah a renfermé tous les hommes dans la désobéissance, pour faire miséricorde à tous. »

Jean : Quand Yahushua reviendra, on verra que la parole de Yah n'a pas échoué. Les promesses faites à Israël seront toutes accomplies. Les branches naturelles greffées à nouveau, tout comme les branches sauvages qui ont aussi été greffées, constitueront collectivement l'Israël de Yah et toutes Ses promesses s'accompliront.

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Vous écoutez Radio World's Last Chance.

Radio WLC : Enseigne les esprits et prépare les cœurs au retour soudain de Christ.

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Courrier des Auditeurs

Eric : C'est l'heure de notre Courrier des Auditeurs ! La question d'aujourd'hui nous vient de la Perle de l'Océan Indien, ou la goutte d'eau de l'Inde.

Jean : Le Sri Lanka ?

Eric : Ding ! Ding ! Ding ! Oui. On dit aussi que le Sri Lanka est la source originelle de la cannelle. Son drapeau national est l'un des plus anciens du monde, il date de l’an 162 avant notre ère.

Jean : Ouah. Je ne savais pas qu'il y avait des drapeaux aussi anciens. Alors, quelle est la question d'aujourd'hui ?

Eric : Eh bien, Ayaansh a une bonne question. Il nous écrit : « Chers frères, je vous remercie pour vos émissions. Un ami m'a fait part de l'une d'elles et j'ai vraiment envie d'en entendre davantage. Je n'ai pas de radio à ondes courtes et je n'ai pas le temps de m'asseoir pour écouter un enregistrement sur YouTube. Existe-t-il un autre moyen d'écouter vos programmes radio ? »

Jean : En fait, oui. Merci de poser la question. Sur notre site web, vous pouvez cliquer sur l'icône Radio WLC. Sur cette page, sélectionnez la langue de votre choix. Ensuite, vous avez plusieurs options. Vous pouvez télécharger chaque programme radio sous la forme d'un fichier MP3. Vous pouvez aussi télécharger notre application mobile sur votre téléphone. Il vous suffit de cliquer sur l'application de votre choix. Nous avons une application mobile pour les appareils Apple et une autre pour Android.

Eric : Donc, oui. Il y a plusieurs façons d'écouter nos émissions. Mettez vos écouteurs et vous pourrez les écouter depuis votre téléphone !

Ok, nous avons encore le temps pour une rapide question. Magdalena de Cordoue, en Espagne, nous écrit : « Je voudrais exprimer ma gratitude pour le ministère de WLC. J'ai beaucoup appris grâce aux articles, aux cours en ligne et aux vidéos de votre site web. Ils ont été une ressource merveilleuse pour notre famille alors que nous sommes en train de passer au culte à la maison.

Je voudrais apporter ma contribution, d'une manière ou d'une autre. Est-ce que vous acceptez les dons ? Comment est-ce que peux vous aider dans votre ministère ?

Jean : Eh bien, merci, Magdalena. C'est très gentil de votre part et je parle au nom de l'équipe en vous remerciant pour votre réponse aimable et généreuse. En fait, nous n'acceptons pas de dons. Mais il y a un moyen pour vous de nous aider.

Les Écritures font référence à plusieurs reprises aux orphelins, aux veuves et à ceux qui sont dans le besoin. Nous avons en fait une branche de notre ministère qui donne à ceux qui sont honnêtement dans le besoin. Le problème est que, bien que les membres de notre équipe soient répartis dans le monde entier, dans nos vies individuelles, nous ne connaissons que ceux qui se trouvent dans notre sphère d'influence locale. Nous avons besoin d'aide pour identifier ceux qui sont vraiment dans le besoin.

Eric : C'est vrai. Trouver et identifier qui est sincèrement dans le besoin est tout aussi important que l’acte de lui envoyer de l’aide ou des fonds. Donc, même si nous n'acceptons pas de dons, nous avons besoin de votre aide. Nous considérons ceux qui nous aident à identifier les personnes vraiment dans le besoin comme des partenaires égaux dans cette action.

Jean : Et c'est quelque chose que vous pouvez faire à votre niveau local. La plupart d'entre nous ont grandi en pensant que la dîme était quelque chose que nous donnions uniquement à l'église – quelle que soit l'église dont nous étions membres. Mais si vous vous penchez sur le sujet et lisez ce que la Bible dit au sujet des dîmes et des offrandes, vous verrez qu'une grande partie de ces dîmes et offrandes devait être dépensée pour aider les orphelins et les veuves. Accueillir les démunis lors des fêtes annuelles, ce genre de choses.

Eric : C'est vrai. Je me souviens avoir été surpris de le découvrir.

Donc, si vous connaissez des personnes dans votre entourage qui sont honnêtement dans le besoin, leur donner directement vos dons est une excellente façon de rendre les dîmes et offrandes à Yahuwah. Et, encore une fois, nous serions heureux d'entendre parler de personnes que vous connaissez et qui sont dans une nécessité absolue. Rendez-vous sur notre site web et recherchez le ministère des aumônes de WLC (sur la partie anglaise du site : WLC Alms Ministry). Lisez attentivement les critères qui doivent être remplis pour recevoir de l'aide, avant de nous écrire.

Jean : Proverbes 19:17 : « Celui qui a pitié du pauvre prête à Yahuwah, Qui lui rendra selon son oeuvre. » Ou, dans une autre version : « Qui use de grâce envers le pauvre prête à Yahuwah, et il lui rendra son bienfait. » Ou encore : « Si vous aidez les pauvres, vous prêtez à Yahuwah et Il vous le rendra ! »

Eric : C’est une belle promesse ! Si vous avez des questions ou des commentaires, amis auditeurs, nous aimerions aussi vous entendre. Il vous suffit de vous rendre sur notre site Web, WorldsLastChance.com, et de cliquer sur Contactez-nous.

A suivre : votre promesse quotidienne, avec Elise Blanc.

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Promesse Quotidienne

Vous écoutez [Elise Blanc] pour votre promesse quotidienne de la Parole de Yah.

J'aime beaucoup partager des histoires vraies qui illustrent les promesses qui nous sont faites dans les Écritures. Personnellement, je trouve que c'est une source d'inspiration pour notre foi d'entendre les nombreuses façons dont Yahuwah a aidé les autres. Cela m'encourage parce que je sais que ce qu'Il a fait pour les autres, Il peut le faire pour vous et moi aussi.

Mais aujourd'hui, je vais faire quelque chose d'un peu différent. Je vais partager avec vous une histoire personnelle.

Mon fils est malade depuis de nombreuses années. Dès l'âge de 10 ans, il se plaignait d'être toujours fatigué, d’avoir des difficultés à respirer quand il courait, et suite à un après-midi passé à jouer avec ses amis, il restait malade au lit pendant des semaines, avec des températures basses. Je l'ai emmené chez sa pédiatre qui lui a suggéré d'essayer un inhalateur. Mais… il n'allait pas mieux. Finalement, après l’avoir consultée pendant plusieurs mois, elle m'a demandé si je lui accordais suffisamment d'attention à la maison. Elle a suggéré qu'il n'y avait rien de vraiment grave chez lui, qu'il faisait juste semblant d'être malade pour attirer l'attention. C'était mon signal pour aller chercher un autre docteur, car elle avait manifestement épuisé tous les moyens qu'elle connaissait.

Les années passant, mon fils est devenu de plus en plus malade. À l'âge de 13 ans, il passait la majeure partie de sa journée au lit, faible et épuisé. À 14 ans, il était cloué au lit. Je l'ai emmené chez un docteur après l’autre. Je leur disais : « Je connais mon fils. Il est malade. Il n'est pas déprimé. Il est malade ! » Ils faisaient tous une série de tests, essayaient différentes choses, mais finalement, après plusieurs mois, ils finissaient par me dire que mon fils était déprimé ou qu'il faisait semblant juste pour attirer l'attention.

Un médecin n'a pas mâché ses mots et m'a dit : « Tous les symptômes que vous lui demandez, il les a. Il n'y a aucune raison médicale pour qu'il ait tous ces symptômes. Il aurait tout intérêt à voir un thérapeute ». Mon insistance sur le fait que je le connaissais et qu'il était malade n'a pas suffi à obtenir un diagnostic. Tout ce que je pouvais faire, c'était prier, et prier encore, et continuer à essayer de trouver des réponses.

Finalement, il y a quelques jours seulement, le quinzième docteur que nous avons vu a enfin pu nous donner un diagnostic. Mon fils souffre d'une infection à streptocoques, et ce depuis tant d'années qu'elle est devenue systémique. L'absence de traitement pendant si longtemps a endommagé ses organes internes. Ça correspond à ce que j’ai toujours dit aux docteurs : qu'il est tout le temps fatigué, que le moindre effort l'aggrave, mais que son état s'améliore légèrement quand il est sous antibiotiques. La bonne nouvelle, c'est qu'il peut enfin aller mieux. Il lui faudra du temps pour se rétablir complètement parce qu'il a été malade si longtemps, mais aujourd'hui, à 18 ans, il peut enfin se rétablir et retrouver une vie normale.

Alors que je repensais à toutes ces années pendant lesquelles j'ai lutté pour trouver des réponses, étant la seule voix à insister sur le fait que quelque chose n'allait pas, alors que je pensais aux larmes que j'ai versées et à mes prières pour obtenir un diagnostic, je me suis souvenu de la parabole du Sauveur dans Luc 18.

Le chapitre commence ainsi : « Yahushua leur adressa une parabole, pour montrer qu'il faut toujours prier, et ne point se relâcher. » La parabole parle d'une veuve qui allait se présenter devant un juge injuste, insistant pour que justice lui soit rendue. Pendant un certain temps, le juge a rejeté ses requêtes. Mais il a fini par être tellement irrité par sa persistance qu'il lui a finalement rendu justice.

Yahushua termine l'histoire en disant : « Entendez ce que dit le juge inique. Et Yahuwah ne fera-t-il pas justice à ses élus, qui crient à lui jour et nuit, et tardera-t-il à leur égard ? Je vous le dis, il leur fera promptement justice. »

Dans la vie, nous n'obtenons pas toujours des réponses immédiates à nos prières. Parfois, ça peut même prendre des années. Mais je suis ici pour vous dire qu'à travers tout cela, notre Père céleste aimant entend nos prières et nous envoie la force pour nous soutenir à travers chaque épreuve.

Nous avons reçu de grandes et précieuses promesses. Commencez dès maintenant à les réclamer!

* * *

Partie 3

Eric : Cette étude a été très intéressante et j'aime le fait qu'il y ait encore de l'espoir pour les Juifs d’aujourd’hui. Yah a un plan pour conduire ceux dont les cœurs peuvent être attirés dans une relation salvatrice à Lui.

Jean : C'est bien de ça qu'il s'agit : le désir de Yahuwah de sauver parfaitement tous ceux qui viennent à Lui.

Les actions de Yahuwah révèlent Son cœur caché, intérieur. Et ce qui est révélé, c’est un amour si vaste, une bonté si profonde, une patience si longue que quiconque, indépendamment de ses péchés ou erreurs passés, peut trouver le salut. C'est à ce point qu’Il nous aime.

Eric : C'est magnifique.

Jean : Pour terminer, lisons Ephésiens 2, versets 4 à 10. Et pendant nous le lisons, j’invite nos auditeurs à fermer les yeux, si la situation le permet, et à s'imprégner de ces mots qui montrent jusqu'où Yahuwah ira pour vous sauver… parce qu'Il vous aime.

Eric : « Mais Yahuwah, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, 5 nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c'est par grâce que vous êtes sauvés ); 6 il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Yahushua-Christ, 7 afin de montrer dans les siècles à venir l'infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Yahushua-Christ. 8 Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Yah. 9 Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie. 10 Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Yahushua-Christ pour de bonnes oeuvres, que Yahuwah a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. »

Jean : La pleine gloire de Yah et Ses plans pour Ses enfants ne seront pleinement vus et saisis que lorsque Son royaume sera établi sur la terre. Seuls ceux qui en feront l'expérience sauront ce que c'est.

Eric : Ça me rappelle les paroles de Paul dans 1 Corinthiens 2 verset 9 qui nous dit : « Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des choses que Yahuwah a préparées pour ceux qui l'aiment. »

Jean : Amein. Son amour est insondable. Nous le découvriront pendant toute l'éternité. Alors, n’abandonnez pas, ne renoncez donc pas à témoigner auprès des autres. Yahuwah Lui-même ne le fait pas ! Il y a encore beaucoup d'âmes à sauver.

Eric : Merci, Jean.

Notre temps est écoulé. Rejoignez-nous demain, et d'ici là, rappelez-vous : Yahuwah vous aime, et vous pouvez compter sur Lui, Lui faire confiance en toute sécurité, car Il en est digne !

* * *

Fin

Vous étiez à l’écoute de Radio WLC.

Cette émission, ainsi que les épisodes précédents de Radio WLC peuvent être téléchargées sur notre site web. Elles sont parfaitement appropriées pour être partagées avec des amis et pour des études bibliques ! Elles sont également une excellente ressource pour ceux qui adorent Yahuwah seuls à la maison. Pour écouter les émissions déjà diffusés, visitez notre site Web : WorldsLastChance.com. Cliquez sur l'icône Radio WLC affiché sur notre page d'accueil.

Dans ses enseignements et ses paraboles, le Sauveur n'a pas donné de "signes des temps" à surveiller. Au lieu de cela, l'idée maîtresse de son message était : une vigilance constante. Rejoignez-nous demain pour un autre message rempli de vérité, alors que nous explorons divers sujets centrés sur le retour du Sauveur et comment vivre en étant constamment prêt à l'accueillir chaleureusement quand il viendra.

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